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Contrats --- Obligations (droit) --- Contracts --- Obligations (Law)
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La reforme du droit des contrats et des obligations est un événement historique : les articles 1101 et suivants du Code civil demeuraient inchangés depuis 1804. Elle est également d'une rare ampleur : l'ordonnance du 10 février 2016 a introduit plus de 350 nouveaux articles dans ce même code. La procédure de ratification a par ailleurs été l'occasion pour le Parlement et le gouvernement d'apporter des corrections et des précisions, pour certaines essentielles, sur le sens et la portée des règles nouvelles.En suivant l'ordre des textes, cette deuxième édition, largement enrichie, accompagne les juristes, tant dans la découverte que dans l'application du nouveau droit des contrats et des obligations. Elle distingue les simples consolidations des véritables innovations, et envisage leurs applications à venir. Consolidations. Désireux d'assurer une meilleure lisibilité du droit français, le législateur a d'abord actualisé la lettre du code, en modernisant la formulation de textes datés, et en consacrant différentes solutions jurisprudentielles connues. Chacune de ces consolidations est identifiée et rattachée à son texte ou sa jurisprudence d'origine. Innovations. Soucieux de renforcer la sécurité des échanges sans négliger la protection de la partie faible, le législateur a également consacré nombre de solutions nouvelles, dont certaines viennent rompre avec les solutions les plus classiques du droit français : création d'un nouveau vice de dépendance, généralisation de la protection contre les clauses abusives, admission de la révision pour imprévision, déjudiciarisation des sanctions de l'inexécution, consécration de la cession de dette... Chacune de ces innovations fait l'objet d'une étude approfondie qui détaille les conditions et les effets de leur mise en oeuvre. Perspectives. Comme toute loi nouvelle, l'ordonnance laisse différentes questions en suspens. Ces incertitudes devront être surmontées tant au conseil qu'au contentieux. La leçon de Portalis demeure d'actualité : c'est « par la pratique et par le choc des débats judiciaires » que la loi civile se fait et se parfait. A cette fin, l'ouvrage précise la marge de manoeuvre des contractants, en distinguant les règles impératives et supplétives, et en présentant les clauses susceptibles de répondre a leurs besoins. En cas de doutes, et ils demeurent nombreux, il présente les diverses interprétations en présence, ainsi que les arguments qui pourront être invoqués à leur soutien. L'ouvrage envisage également les conditions d'application dans le temps de la réforme, en déterminant le droit applicable à chaque situation contractuelle et extracontractuelle (règles issues du Code civil de 1804, dispositions nouvelles de l'ordonnance de 2016, corrections apportées par la loi de ratification de 2018Cet ouvrage s'adresse à tous les professionnels de la pratique et du contentieux contractuels : avocats, magistrats, notaires, juristes d'entreprises, rédacteurs d'actes et huissiers. Il sera également utile aux étudiants, et notamment à ceux d'entre eux amenés à passer les examens et concours d'entrée aux carrieres judiciaires et juridiques pendant cette période transitoire.Conclusion et validité du contrat, effets et durée du contrat, cession de contrat, interprétation du contrat, sanctions de l'inexécution, quasi-contrats, modalités de l'obligation, opérations sur obligations, actions du créancier, extinction de l'obligation, restitutions, admissibilité et modes de preuve, droit transitoire.
Obligations (Law) --- Contracts --- Contracts. --- Obligations (Law). --- France. --- Law of obligations. Law of contract --- France
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Obligations (Law) --- Contracts --- 347.4 <44> --- 347.4 <44> Verbintenissen. Overeenkomsten. Verbintenissenrecht. Obligaties. Contracten--Frankrijk --- Verbintenissen. Overeenkomsten. Verbintenissenrecht. Obligaties. Contracten--Frankrijk --- Obligations (Law) - France --- Contracts - France
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La reconnaissance de dette se présente, de prime abord, comme un acte du quotidien des plus banals : un père prête à son fils une somme d'argent pour l'aider dans un projet et celui-ci souscrit une reconnaissance de dette ; une succession s'ouvre et l'on découvre une reconnaissance de dette dressée par le défunt ; un dirigeant de société signe une reconnaissance de dette pour l'activité de la société.Cette simplicité induit une certaine évidence dans l'appréhension juridique de cet acte. Pourtant, dès lors que l'on s'intéresse davantage à la reconnaissance de dette, ce vernis de simplicité s'effrite rapidement pour laisser place à de nombreuses incertitudes : quelle capacité requérir pour la souscription d'un tel acte ? Peut-on en contrôler les vices du consentement ? La réduction de l'obligation est-elle la bonne sanction, lorsque la dette est moins importante qu'indiquée ? Et quelle doit être la sanction lorsqu'elle est plus importante ? Contenue dans un testament, la reconnaissance de dette a-t-elle la valeur d'un legs ? La récente réforme du droit des contrats a ajouté son lot de questionnements en supprimant la notion de cause, grâce à laquelle la jurisprudence contrôlait l'existence de la dette reconnue.Quel fondement utiliser en présence d'une reconnaissance de dette souscrite après le 1er octobre 2016 ? Pour répondre à l'ensemble de ces interrogations, et d'autres encore, la thèse se propose d'identifier la nature juridique de la reconnaissance de dette. Là encore, la diversité des qualifications qui lui sont prêtées témoignent de la confusion qui entoure cet acte : acte unilatéral, contrat unilatéral à titre onéreux, acte déclaratif, acte récognitif, etc.Si la nature d'aveu a finalement été retenue, le chemin vers cette qualification fut l'occasion, non seulement de définir plus distinctement les contours de notions voisines et incertaines, telles que l'acte déclaratif ou l'acte récognitif, mais encore de clarifier, grâce à l'apport de l'histoire et du droit comparé, les rapports entretenus par la reconnaissance de dette et la cause devenue contrepartie.Au-delà de ces éclairages particuliers, l'identification de la nature hybride de la reconnaissance de dette, qui emprunte autant à l'acte juridique substantiel qu'aux modes de preuve, amène à adopter un autre regard sur ces notions traditionnellement opposées, en enrichissant la classification des actes juridiques de nouvelles ramifications
Reconnaissance de dettes --- Actes juridiques --- Qualification (droit). --- Contrats. --- Droit. --- Interprétation.
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Rule of law --- Judges --- Règle de droit --- Juges --- Judicial process --- Political questions and judicial power --- Règle de droit --- Judicial process - Congresses --- Political questions and judicial power - Congresses --- France
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Contrats --- Procès --- Droit comparé
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L'ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations rénove en profondeur le Code civil de 1804. La réforme, importante tant par le nombre d'articles qu'elle modifie que par les changements qu'elle apporte, suscite de nombreuses interrogations et incertitudes. En effet, elle intègre au sein du Code civil des innovations majeures, et avec elles des questions nouvelles (introduction de l'acte juridique, consécration de nouvelles catégories de contrats, reconnaissance de la période pré-contractuelle, introduction d'un régime de la représentation, consécration de l'abus de dépendance, introduction des clauses abusives, abandon du concept de cause, admission de la révision pour imprévision, nouveaux remèdes, etc.). Cet ouvrage est constitué d'articles publiés par la Semaine juridique édition Générale dans lesquels d'éminents auteurs apportent une réflexion et un éclairage visant à répondre aux principales difficultés soulevées par les nouvelles dispositions.
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