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Animaux sauvages en captivité --- Jardins zoologiques --- Écologie
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Initialement publié en 1986, ce célèbre examen, par Langdon Winner, des implications politiques, sociales et philosophiques de la technologie s’avère plus actuel que jamais. Il démontre que les choix technologiques, loin d’être neutres, déterminent le genre de monde dans lequel nous vivons et le type d’être humain qui y vit, qu’en adoptant une technologie, on adopte une politique – autrement dit, que les décisions techniques sont des décisions politiques, aux conséquences majeures en matière de pouvoir, de liberté et de justice. La Baleine et le Réacteur nous encourage donc à nous défaire d’importants préjugés et lieux communs, en vue de nous permettre de reconstruire un rapport humain et politique à la technologie. Cet ouvrage ayant fait date dans l’histoire et la philosophie des sciences ressort aujourd’hui dans une édition augmentée d’un nouveau chapitre, d’une préface et d’un post-scriptum de l’auteur, ainsi que d’une postface de l’historien François Jarrige, spécialisé dans le domaine des techniques et de l’industrie. « Aucun pays nommé Technopolis n’apparaît sur la carte du monde. Pourtant, de bien des manières, nous en sommes déjà les citoyens. En constatant combien nos vies sont façonnées par les systèmes interconnectés de la technique moderne, combien nous subissons leur influence, combien nous nous soumettons à leur autorité et perpétuons leur fonctionnement, il apparait que nous sommes désormais, bon gré mal gré, les acteurs d’un nouvel ordre dans l’histoire humaine. Cet ordre transcende chaque jour davantage les frontières nationales afin d’établir des rôles et des relations reposant sur les immenses et complexes mécanismes de la production industrielle, des communications électroniques, des transports, de l’agro-industrie, de la médecine et de l’armée. Les structures et le fonctionnement de ces vastes systèmes constituent une forme typiquement moderne du pouvoir, l’agencement d’une technosociété.
Philosophie de la technique. --- Technologie --- Technique --- Société. --- Aspect politique. --- Technology
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Ce livre est un témoignage remarquable de la façon dont la révolution informatique personnelle a émergé de la contre-culture de San Francisco au début des années 1970. Ce livre ne contient aucune flatterie et certainement pas des louanges à l’égard d’un dénommé Steve Jobs. Oui, les hippies nous ont donné l’ordinateur personnel, mais leur “révolution” s’est-elle vraiment déroulée comme ils l’avaient prévu ? Theodore Roszak, l’homme qui a inventé le mot et l’idée de « contre-culture », nous propose ici un petit livre éloquent et très bien argumenté exposant le lien entre la contre-culture des années 1960 et l’avènement de la cyberculture dans les années 1970 et 1980. Discours prononcé en 1985 dans le cadre de la conférence Alvin Fine à l’université d’État de San Francisco, Du satori à la Silicon Valley présente tous les avantages d’une présentation orale : il s’agit d’un texte très court qui offre une vision claire des liens entre la mouvance hippie tournée vers les psychédéliques de l’ère Haight-Ashbury et l’essor de la culture high-tech informatique — autrement dit, des liens entre la contre-culture et la naissance du capitalisme technologique de la Silicon Valley. Toute personne intéressée par l’histoire du mouvement hippie, de la contre-culture ou de la genèse des ordinateurs devrait lire ce livre. Roszak souligne que le mouvement contre-culturel était composée de deux ailes, avec d’un côté les « réversionnaires » — les hippies qui aspiraient au « retour à la nature », à la vie communautaire, ancrée dans la terre, artisanale, autonome, et qui décriaient sincèrement le complexe militaro-industriel — et de l’autre les technophiles — celles et ceux qui aspiraient à une vie plus douce grâce aux drogues psychédéliques de synthèse et s’imaginaient que le développement du numérique, de l’informatique et de la haute technologie en général allaient nous propulser dans un monde meilleur. Un camp l’a emporté, l’autre a perdu. Nous vivons actuellement avec les conséquences de ces victoires et de ces défaites, et ce pour les années à venir.
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La 4e de couverture indique : "Au vu de la situation, la grande majorité des mouvements sociaux et écologistes échouent lamentablement, depuis des décennies, ne serait-ce qu'à freiner la catastrophe sociale et écologique en cours (de la sixième extinction de masse aux inégalités économiques phénoménales et croissantes qui caractérisent notre temps). La plupart de ces mouvements se targuent de respecter scrupuleusement les principes de la non-violence, qu'ils considèrent comme la seule méthode de lutte acceptable. Et pourtant, ainsi que Peter Gelderloos l'expose brillamment dans ce livre, cette adhérence dogmatique au concept de la non-violence est injustifiée et injustifiable. En outre, il s'agit d'une des principales raisons pour lesquelles ils sont inefficaces. En démystifiant les figures historiques inexorablement citées par la majorité de ceux qui défendent la non-violence comme un absolu - Gandhi, Martin Luther King, Nelson Mandela -, en exposant les réalités complexes derrière leurs accomplissements (souvent réduites à des simplismes mensongers), et en exposant les nombreux problèmes d'éthique qui découlent de l'absolutisation de la non-violence, Gelderloos nous offre ici un ouvrage essentiel qui devrait nous aider à sortir de l'impasse manifeste dans laquelle s'enlisent les mouvements militants. Un puissant déboulonnage de l'argumentaire fallacieux de ceux qui affirment que la non-violence est la seule méthode acceptable de lutte face à la violence du capitalisme et de l'État.
Direct action --- Nonviolence --- Radicalism
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