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Friendship in literature --- Petrarca, Francesco --- Pétrarque --- Petrarch --- Petracco, Francesco --- Petrarca, Francesco (1304-1374) --- Criticism and interpretation. --- Friends and associates. --- Petrarca, Franciscus, --- Petrarch, --- Petrarch, Francesco, --- Petrarcha, Franciscus, --- Petrark, --- Petrarka, Franchesko, --- Peṭrarḳa, Frants'esḳo, --- Pétrarque, --- Петрарка, Франческо, --- פטררקא, פרנצ׳סקו --- Petrarque (francesco), ecrivain italien, 1303-1374 --- Critique et interpretation
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Ce livre fournit — avec présentation, annotation, appendices, bibliographie et index — l’édition critique et la traduction française de la, jusqu’ici inédite, Vieille Logique (Vetus Logica) tout uniment intitulée Points communs de logique (Communia logice) dans le manuscrit 16617 du fonds latin de la Bibliothèque nationale de France à Paris — l’appellation Pseudo-Robert Grosseteste étant tirée d’une attribution (fautive) d’un second manuscrit, salmantin : voir, dans la même collection, Les philosophies morale et naturelle. Le manuscrit 16617 est singulier parce que, encore considéré aujourd’hui comme « d’une suprême importance pour l’histoire de la logique au XIIIe siècle », il a été originellement conçu et constitué comme document relatif au trivium (logique, grammaire, rhétorique) par Pierre de Limoges, un des premiers socié- taires du Collège de Sorbonne (maître ès arts au moins dès les années 1260), et légué par lui (†1306) à cette illustre institution, où — déjà en accord avec la perspective prévalant toujours aujourd’hui — ce document fut enchaîné sans dou- te pendant plus d’un siècle « inter libri logicales » dans la Grande bibliothèque, c’est-à-dire en tant que livre de référence pour la logique dans la Libraria communis. Ces Communia logice sur la « Vieille Logique », qui s’ouvrent par un débat sur la nécessité de cette dernière, constituent un riche texte didascalique en forme de polycommentaire questionné — sur l’Introduction de Porphyre, les Catégories et le De l’interprétation d’Aristote, l’Anonyme Six principes, les Différences topiques et le Livre des divisions de Boèce — à rapprocher de la production artienne de Pierre d’Auvergne (recteur de l’Université de Paris en 1275), devenu lui aussi sociétaire du Collège de Sorbonne. Pour compléter ce cycle de publications originales d’une précieuse archive didactique de la deuxième moitié du XIIIe siècle, d’autres volumes suivront.
Logic, Medieval --- Grosseteste, Robertus, --- Logic --- Grosseteste, Robertus, - ca. 1168-1253 --- Philosophie --- Trivium. --- Logique médiévale. --- Scolastique. --- Étude et enseignement --- Histoire --- Aristote. --- Communia.
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Philosophie --- Trivium. --- Logique médiévale. --- Scolastique. --- Étude et enseignement --- Histoire --- Aristote. --- Communia.
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Les Communia super totam gramaticam, un commentaire questionné inédit sur l'ensemble des Institutions grammaticales de Priscien (VIe siècle) et une partie du livre III de l'Ars maior de Donat (IVe siècle), appartiennent à ce paradigme de la grammaire philosophique qui est apparu en Europe à la fin du XIIe siècle et qui, à la faveur de la découverte du tout Aristote, fleurit au long du XIIIe siècle. Cette collection de questions est contenue - en deux rédactions bien distinctes - dans les manuscrits 16617 du fonds latin de la BnF où elle côtoie des Communia sur la Vieille logique et 1986 de la BHG de l'Université de Salamanque où elle est intégrée dans une vaste somme de Communia sur la Logica Vetus et Nova et sur les philosophies morale et naturelle. Elle est l'œuvre d'un maître ès arts anonyme confondu à tort avec Robert Grosseteste dans le codex de Salamanque. Après avoir prouvé la scientificité de la grammaire, l'auteur y entreprend l'étude succincte de l'orthographe et traite ensuite longuement de chaque partie du discours dans l'ordre priscianien en déployant une sémantique dont la richesse témoigne de l'éclectisme intellectuel typique de la Faculté des arts médiévale. Les définitions derrière chaque partie du discours et l'interprétation que le grammairien philosophe en fait reflètent les propriétés du réel ou les grands principes qui régissent la nature des choses auxquelles renvoient les catégories de mots admises. Ainsi, soucieux de pousser plus loin l'effort stoïcien de Priscien (héritier lui d'Apollonius Dyscole) et profitant entre autres de la réception de la Physique et des innovations logiques et théologiques des siècles précédents, le réflexe médiéval - péremptoire en ce qui concerne notre texte - a été d'approcher les définitions des classes de mots grammaticales et leurs accidents dans une perspective hylémorphique et physique aristotélicienne, parfois néo-platonicienne. Ces principes universels de quiddité, que l'on appelle alors des « modes de signifier généraux », servent de fondement à l'étude de la syntaxe qui clôt la partie du commentaire sur Priscien. Les Communia super totam gramaticam sont édités ici dans leurs deux rédactions et traduits intégralement pour la première fois.
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Les études rassemblées ici procèdent au départ d’une question simple. Par quels singuliers détours de l’histoire quelque chose, comme la foi ou comme une certaine compréhension du divin, a-t-il pu progressivement être mis en rapport avec une discipline comme la science, compte tenu de ce que cette dernière implique de rigueur et de lois ? En d’autres termes, qu’est-ce que la « science », banalement parlant, peut bien avoir de commun avec la « religion » ? En réalité, l’on s’aperçoit qu’un rapport critique au sacré s’est instauré de longue date en Grèce antique — sa spécificité peut-être —, critique par exemple chez Xénophane de l’anthropomorphisme religieux, critique chez Platon du relâchement du discours sur les dieux — d’où l’imposition nécessaire de certains topoi rectificateurs —, des postures critiques dont la science théologique d’Aristote elle-même est l’héritière et que la théologie scientifique de Jamblique portera à un nouveau sommet par son entreprise de rationalisation absolue. Questionnement philosophico-théologique oblige, l’on comprend que la redéfinition non seulement du dieu ou des dieux, mais du rapport général au divin lui-même, s’est poursuivie sur des siècles à travers de très nombreuses étapes qui, dûment recensées et analysées ici — volets grec (ancien et byzantin), latin (antique et médiéval), arabe, italien et français —, offrent une vue sans précédent de l’ensemble du phénomène. Quel chemin ce riche mouvement d’ambition scientifique a-t-il emprunté, comment s’est-il à un moment clôturé sans pour autant cesser de nous hanter jusqu’à aujourd’hui ? Les études qui composent le présent ouvrage, prenant en compte les meilleurs indices disponibles, scrutant et comparant les arguments, tentent de manière multiple de le dire.
Esprit critique --- Théologie et philosophie. --- Critical thinking. --- Theology.
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