Listing 1 - 10 of 56 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
L’œuvre de Jean-Luc Marion de l’Académie française, s’est progressivement imposée sur la scène philosophique française et internationale depuis plus de trois décennies. Lorsqu’il récapitule son itinéraire de recherche, J.-L. Marion distingue trois « moments » : les études cartésiennes, la phénoménologie et la théologie. De nombreux travaux, plusieurs thèses de doctorat lui ont été déjà consacrés dans ces différents champs où elle continue cependant de s’élaborer, suscitant l’admiration, mais aussi, le plus souvent en raison de sa haute technicité conceptuelle, de lourdes incompréhensions. Le présent ouvrage, issu d’une séance publique de débats et intégrant les «réponses» du principal intéressé, n’a pas pour seule ambition de lever celles-ci ; en ouvrant les trois volets de l’œuvre, il engage un dialogue direct avec l’auteur, interrogeant l’une des pensées philosophiques les plus fécondes de notre temps
Choose an application
Ces Etudes heideggériennes de Philippe Capelle-Dumont sont consacrées aux divers types de rapports que Heidegger a pratiqués et théorisés entre le geste philosophique et plusieurs moments de de la grande tradition théologique, ce depuis les premiers travaux phénoménologiques jusqu’aux derniers écrits. Prolongeant son essai Philosophie et théologie dans la pensée de Martin Heidegger (1998) traduit en plusieurs langues, elles examinent jusqu’en leur points critiques les analyses forgées par le penseur allemand sur saint Paul, saint Augustin, Maître Eckhart, la mystique médiévale, le judaïsme et les concepts fondamentaux de de la théologie ; elles s’efforcent en même temps de rejoindre les motifs à partir desquels ces analyses furent élaborées pour en interroger les thèses principales.
Theology --- Philosophy, German --- Théologie --- Philosophie allemande --- History --- Histoire --- Heidegger, Martin, --- Religion. --- Théologie --- Théologie et philosophie
Choose an application
On la croyait effacée, au mieux marginalisée. En quelques années cependant, la question philosophique de Dieu a été replacée au centre des débats métaphysiques et politiques. Elle s'est en même temps considérablement renouvelée, donnant lieu à des productions historiques remarquables et à maints essais systématiques refondateurs. Étant admis qu'elle a honorablement survécu à la "mort de Dieu", la "question de Dieu" exige encore de soigneuses délimitations entre les domaines spéculatif, confessionnel et politique. S'il faut parler de "Dieu" comme tel en effet, de quoi parle-t-on ? Et qui en parle ? Le présent ouvrage affronte le défi de cette interrogation radicale : en relisant à nouveaux frais les plus grands moments de la thématisation philosophique de Dieu, de sa réappropriation critique et ses "preuves" à sa "démonstration" ; en déployant les logiques critériologiques induites par la séquence "en tant que Dieu". Léon Bloy écrivait : " Ce que Dieu fait sans la participation de l'homme est toujours bien fait" ! Il considérait cependant que le christianisme a voulu "laisser les mots rendre hommage à la transcendance divine". Il n'est pas sûr en effet que l'homme soit, quant à "Dieu", condamné au mutisme. Ni, surtout, incapable d'en bien parler.
Dieu (Christianisme) --- Religion --- Philosophie --- 21 --- Theodicee. Natuurlijke godsleer. Natuurlijke theologie
Choose an application
Phénoménologie" et " christianisme" : tels sont les deux axes de questionnement que Michel Henry a réunis dans une tension inédite pendant la dernière et féconde période de sa vie. À deux reprises - le 23 mai 1997 et le 19 janvier 2001-, il vint débattre à l'Institut catholique de Paris des thèses exposées dans ses deux ouvrages: C'est moi la vérité. Pour une philosophie du christianisme (1996) et Incarnation (2000). Ce sont les interventions produites en ces deux circonstances exceptionnelles que le présent volume rassemble enfin. Plus encore, après sa disparition survenue le 3 juillet 2002, c'est à l'auteur d'une stupéfiante trilogie dont Paroles du Christ (2002) constitue le dernier volet, que, dans sa conception même, il veut rendre hommage. Le lecteur qui en sillonnera les pages se trouvera du même coup en présence de l'ensemble des données d'un débat philosophique fondamental qui concerne aussi bien l'ambition contemporaine de la phénoménologie que la posture philosophique du christianisme.
Henry, Michel, --- 1 HENRY, MICHEL --- 141.332 --- Filosofie. Psychologie--HENRY, MICHEL --- 141.332 Theosofie --- 1 HENRY, MICHEL Filosofie. Psychologie--HENRY, MICHEL --- Christianity --- Phenomenology --- Theosofie --- Philosophy, Modern --- Religions --- Church history --- Phenomenology. --- Christianity. --- Henry, Michel --- Henry, Michel, - 1922-2002.
Choose an application
La relation entre la philosophie et la théologie sort-elle enfin de l'oubli ? Les jeux de frontières dont elle hérite en notre XXIe siècle commençant ne peuvent que susciter une réponse inquiète. Du côté des philosophes, au motif principal et irréfutable de l'aventure propre de la pensée, on a volontiers ignoré la théologie, allant jusqu'à faire de cette ignorance un titre de probité intellectuelle – ou bien élaboré à son endroit des stratégies 'repoussoir' excluant du champ théorique ses objets propres. Du côté des théologiens, là où on a cru devoir s'éloigner des tentatives médiévales d'harmonisation entre la philosophie et la théologie, l'on n'a guère toujours évité, en dépit des déclarations d'intention, de cantonner la première dans un rôle auxiliaire de la seconde. Non moins gravement, en certains lieux d'effervescence religieuse, on a relégué l'activité philosophique dans le champ des inutiles perplexités, de l'errance quand ce n'est de l'erreur. Prenant acte d'un héritage aussi contrasté, voire scandaleux, le présent ouvrage s'interroge sur le statut de cette relation comme telle et tente d'ouvrir quelques voies de compréhension permettant de favoriser le dialogue entre ses deux polarités. Trois axes en structurent le propos. Le premier ('Délimitations') analyse les principaux déplacements qui affectent aujourd'hui le commerce entre ces deux exercices de la pensée. Le deuxième ('Institutions') est consacré au problème de l'inscription philosophique au sein du régime d'autorité institutionnelle et confessante. Le troisième ('Figures') est formé d'une série de confrontations avec quelques-unes des figures contemporaines emblématiques qui ont risqué, dans la traversée de cette problématique, une élucidation de la finitude mystérieuse.
215.1 --- 215.1 Verhouding godsdienst en filosofie --- Verhouding godsdienst en filosofie --- Philosophical theology --- Philosophy and religion --- Philosophy, Modern --- Theology, Philosophical --- Theology, Doctrinal --- History --- Philosophical theology. --- Philosophy and religion - History - 20th century. --- Philosophy, Modern - 20th century.
Choose an application
La relation entre la philosophie et la théologie est co-existensive au mouvement du penser de Martin Heidegger. Elle n'a pas seulement fait l'objet d'une Conférence en 1927. Elle ne saurait constituer non plus un simple thème de relecture de son oeuvre. Après la publication, ces deux dernières décennies, de plusieurs textes majeurs de l'auteur, restés longtemps inconnus, à l'heure du renouvellement des recherches sur ses origines sociales et intellectuelles, la question appelait un nouvel examen. Philippe Capelle met en relief les trois topiques fondamentales de cette relation philosophie et théologie scripturaire, philosophie et ontothéologie, pensée de l'être et attente du dieu, ainsi que les différentes étapes de leur thématisation. Il analyse le rapport de Heidegger à la tradition théologique en faisant valoir un triple point de vue l'enracinement dans la culture catholique ; la dette vis-à-vis des schèmes fondamentaux des théologies catholique et (surtout) protestante, ainsi que de leurs principaux fondateurs : saint Paul, saint Augustin, la scolastique médiévale, Luther, Bultmann ; la provenance qui autorise paradoxalement la sortie jamais achevée de la théologie chrétienne. Rejetant toute interprétation théologique de la pensée heideggerienne, il interroge enfin le thème du " retrait " comme motif herméneutique central et comme pivot d'une approche renouvelée des rapports entre la philosophie et la théologie.
Heidegger, Martin, --- Theology --- Heidegger, Martin, - 1889-1976
Choose an application
Choose an application
Choose an application
L'alliance est la grammaire principale du monde. Phénomène commun, local et universel, le plus pauvre et le plus noble. Elle se trouve cependant aujourd'hui plus que jamais contrariée. Le monde est en dés-alliance sur le plan social, politique, anthropologique, écologique, techno-scientifique, métaphysique. Les demandes répétées de « recréer du lien » en corroborent le fait plus qu'elles n'en dessinent une alternative : affranchies de tout « principe », elles échouent à leur tour sur les rives du nihilisme. C'est que le principe est tombé dans l'oubli. Ses titres ont été, dès la fin du xixe siècle et tout au long du xxe siècle, durement contestés et ses droits confisqués. Nombre de succédanés se sont imposés, avec leurs antinomies et leurs tragédies humaines : Raison suffisante, Progrès, Destin, Cause, État. Le principe ainsi reclassé, déclassé, fut biffé derechef au titre de ce qui lui fut imputé : voracité de l'Un, maîtrise formelle de l'universalité, logique de sécurisation historique.Reconsidérer le principe autrement, i.e. comme alliance, tel est l'enjeu phénoménologique du présent ouvrage : loin de tout Deus ex machina, elle est le jeu de la différence initiatrice, de la pluralité unitaire, de la donation herméneutique. Ainsi, au principe, l'alliance fait être et fait temps. Elle est notre première promesse. [source éditeur]
Choose an application
Listing 1 - 10 of 56 | << page >> |
Sort by
|