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Dit handboek is bedoeld voor de instellingen en sociale actoren die de praktijken van Housing First (HF) willen overnemen. Het bevat concrete aanbevelingen en illustraties. Met dit handboek beschikt de lezer over een heleboel mogelijkheden om te starten met eigen HF-praktijken.Die goede praktijken komen voort uit het observatie- en analyseproces dat het evaluatieteam van HFB uitvoerde, in samenwerking met de begeleidingsteams en de partnerinstellingen diehet HFB project mee vormgeven, en dankzij verschillende ontmoetingen met spelers uit de sector van de daklozenzorg en partners van de experimentele projecten in Frankrijk (Un chezsoi d’abord) en Montréal (At home/Chez Soi).In België hadden veel instellingen niet verwacht dat het Housing First model de Atlantische Oceaan zou oversteken om huisvesting te benutten als hulpmiddel voor integratie en omdaklozen te begeleiden naar en bij hun huisvesting. Ook lijken sommige aanbevelingen in dit handboek eerder vanzelfsprekend voor de sociale actoren die reeds bezig zijn met begeleidingbij huisvesting.Toch moeten in dit handboek enkele bijzonderheden tevoorschijn komen, aangezien Housing First Belgium zich focust op een doelgroep die gewoonlijk weinig te maken heeft met dergelijkeherhuisvestingspraktijken (gezien hun grote kwetsbaarheid). Instappen in innovatieve praktijken die uitgaan van het Housing First model kan niet inderhaast gebeuren.Aan de hand van de basisprincipes van het Housing First model en van de experimenten van de teams van HFB kunnen we de lezer concrete voorstellen aanreiken over:1/ de eerste voorbereiding van een project zoals HF, idealiter in samenwerking met alle betrokken partijen.2/ de praktische uitvoering van de begeleiding als team van Housing First.

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Le présent travail a pour objectif d’étudier l’influence de la comparaison entre frères et sœurs sur l’estime de soi, le sentiment d’efficacité personnelle et les affects de l’adolescent. Comment l’adolescent vit-il la comparaison avec son frère ou sa sœur ? Que ressent-il lorsqu’on le compare ? Quels sont les effets de cette comparaison sur la perception qu’il a de lui-même ? Comment va-t-il y faire face ? Pour répondre à ces questions, un questionnaire a été soumis à 276 élèves, âgés de 12 à 18 ans. Les résultats ont révélé que ces élèves étaient finalement peu comparés, qu’ils l’étaient principalement par leurs parents et très peu par leurs professeurs. Les résultats permettent de confirmer les trois hypothèses de départ : les comparaisons entre frères et sœurs ont bien une influence sur l’estime de soi, l’efficacité personnelle perçue et les affects de l’adolescent. L’estime de soi et l’efficacité personnelle perçue varient selon l’auteur et la fréquence des comparaisons. Elles sont liées aux émotions ressenties par l’adolescent et à ses réactions face aux comparaisons. Bien que ces émotions s’avèrent peu intenses, il apparaît que le sens des comparaisons influence ses affects et la manière dont il réagit. Les résultats mettent en exergue le rôle important des personnes en charge de l’éducation dans le milieu familial, mais aussi dans le milieu scolaire. Une des missions officielles de l’école est de « promouvoir la confiance en soi et le développement de la personne de chacun des élèves ». Or, lorsqu’on prend connaissance de ces résultats en tant qu’enseignant, on peut se rendre compte de la portée que peuvent avoir nos paroles sur cette confiance en soi, qui va jouer un rôle important dans les résultats scolaires des élèves.

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Ce mémoire se veut comme une réflexion sur la problématique des personnes sans-abri, et plus précisément sur comment ces personnes se sentent perçues en rue. Via une approche quantitative, nous avons récolté l'avis de 133 personnes concernant leur perception par rapport aux gestes, paroles et comportements des personnes qu'ils côtoient le plus au quotidien, à savoir les passants, les commerçants, les travailleurs sociaux, les pairs, la police, et la famille, les amis. Pour se faire, nous avons sollicité l'aide du Relais Social et des services partenaires de la ville de Charleroi, en diffusant les questionnaires réalisés au préalable. Nous avons également par la suite sollicité l'avis des travailleurs de terrain pour venir corroborer et/ou nuancer les résultats se dégageant de l'enquête. En partie théorique, nous développerons les thématiques du sans-abrisme (définition, profil du sans-abri, leur nombre et leur identité sociale), de l'identité sociale, de la menace du stéréotype et de l'attribution causale. Pour la partie empirique, nous développerons les objectifs de recherche et les hypothèses avancées. Nous parlerons ensuite de la méthodologie utilisée, en délimitant le champ d'étude, la construction, la structure et la présentation du questionnaire. Nous présenterons ensuite les résultats collectés, et nous discuterons des hypothèses et des corrélations effectuées. Enfin, après la discussion des résultats, nous parlerons des limites et des perspectives de recherche, et nous conclurons ce travail.