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Book
Identification d'un nouveau parvovirus
Author:
Year: 1983 Publisher: Louvain Université Catholique de Louvain, Faculté de Médecine

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Abstract

Keywords


Book
Etude sérologique des infections à retrovirus dans la population du Bénin
Authors: ---
Year: 1989 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Au Centre National de Transfusion Sanguine (C.N.T.S.) de Cotonou, nous utilisons pour le dépistage des porteurs d’anticorps anti-VIH le test Elisa par compétition (Wellcozyme). Les sérums trouvés positifs sont adressés pour confirmation au Laboratoire de Virologie Fondamentale du Docteur Burtonboy où nous avons réalisé ce mémoire.
Le but de ce travail se résume en deux volets.
1° Etudier tous les sérums arrivés du Bénin pour confirmation par des tests globaux et des tests analytiques.
2° Mettre au point un test Elisa par compétition afin de :
- pouvoir comprendre ce qui se passe dans cette technique
- pouvoir apprécier l’influence de divers paramètres
- mesurer ses limites
- et enfin, la comparer à d’autres.
Nous avons également fait la sérologie HTLV1 de l’échantillonnage dont nous disposions. Le HTLV1 ou Human T-Lymphotropic virus type 1 est associé à des tumeurs et à des leucémies à lymphocytes T. Il appartient à la même famille des Rétrovirus que le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).


Dissertation
Identification d'un nouveau parvovirus

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Abstract

Keywords


Book
Cours pratiques de bactériologie - de sérologie et parasitologie - de virologie
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 1990 Publisher: Bruxelles: Cercle médical Saint-Luc. Centre d'impression bénévole,

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Abstract


Book
Le SIDA : problèmes et prévention en milieu éducatifs
Authors: --- ---
Year: 1991 Publisher: Louvain-la-Neuve: UCL,

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Abstract

Keywords


Book
Reconnaissance des sites antigéniques de la P25 du VIH-1 par les anticorps présents dans le sérum de sujets infectés
Authors: --- ---
Year: 1992 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Les recherches qui sont à la base de ce mémoire s’inscrivent dans le cadre d’un programme d’étude des antigènes présents sur les protéines des virus de l’immunodéficience humaine.
A mon arrivée dans le laboratoire, des anticorps (Ac) monoclonaux dirigés contre la protéine majeure de la capside du VIH-1 avaient déjà permis l’isolement d’un nombre de clones E. coli exprimant des fragments de la P25 sous forme d’une protéine recombinante. Au cours de ce travail, de nouvelles colonies ont été sélectionnées et l’ensemble a finalement permis de couvrir toute la séquence de cette protéine.
Il m’a alors été possible d’utiliser les colonies et les épitopes ainsi définis pour analyser la réponse humorale (Ac) de sujets infectés par le VIH.
Comme l’indique le titre de ce mémoire, le projet était de décomposer les Ac polyclonaux des sérums en fonction des sites antigéniques et si possible, des épitopes qu’ils reconnaissaient.
La difficulté que posait cette étude est celle du « bruit de fond » : dans le système d’expression utilisé, la protéine P25 est produite dans E. coli ; or tous les sérums reconnaissaient des protéines de cette bactérie, le problème est donc de différencier les clones n’exprimant que des protéines d’E. coli.
Dans une première étape, une méthode d’absorption a dû être mise au point.
Ensuite, pour mieux standardiser le procédé et éliminer une partie des protéines d’E. coli, une purification des protéines recombinantes a été réalisée.
Enfin, pour permettre la détection des Ac dirigés contre un épitope donné, nous avons utilisé une technique basée sur l’inhibition de l’attachement de l’Ac monoclonal spécifique.


Book
Estimation d'homologies entre différents rétrovirus par des expériences d'hybridation de leurs acides nucléiques
Authors: --- ---
Year: 1992 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Le but de ce travail consistait à déterminer s’il existait des similarités au niveau génomique, entre de nouvelles particules virales dénommées « X », découvertes dans des cultures cellulaires infectées par le HIV et des sondes provenant de clonage de rétrovirus appartenant à des groupes différents. Ces comparaisons ont été expérimentalement réalisées par des expériences d’hybridation entre les clones marqués radioactivement et des ARN extraits à partir de cultures cellulaires du « X ».
On a pu observer des résultats positifs avec eux de ces clones : le Feline Leukemia virus (FeLV) qui est un rétrovirus responsable d’immunodéficience chez le chat et le Radiation Leukemia virus (RAD LV) qui est un virus leucémique à tropisme thymique dans des cellules de souris soumises à des radiations ionisantes.
Nous avons alors fractionné ces deux clones en fragments qui ont à leur tour, été hybridés avec de l’ARN de « X » afin de préciser quelles étaient les fractions de ces clones qui présentaient des similitudes avec le nouveau génome.
ces expériences nous ont permis de conclure à une origine rétrovirale des particules virales « X » et de confirmer l’appartenance des virus « X » au groupe « MLV related virus » dont font aussi partie les 2 clones précédemment décrits.
Des expériences d’hybridation entre les deux clones ont également confirmé des homologies entre certaines de leurs portions génomiques.
Nous avons également hybridé les mêmes fragments chez les 2 clones avec des sondes d’ADNc issues de l’amplification d’ARN purifiés à partir de cultures cellulaires du « X ».
L’observation d’une hybridation entre l’une de ces sondes d’ADNc et certains fragments des clones et la comparaison des séquences de ces hybrides ont apporté la confirmation de l’origine rétrovirale de cet ADNc, et la détermination de sa séquence qui correspond à une région du « LTR » (Long Terminal Repeat : séquence caractéristiques des rétrovirus et présente aux 2 extrémités du génome).


Book
Etude des marqueurs d'infection active et de latence du cytomegalovirus (CMV)
Authors: --- --- ---
Year: 1993 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract


Book
Etude des tests de détection des anticorps dirigés contre le virus de l'immunodéficience humaine
Authors: --- ---
Year: 1989 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Deux méthodes sont utilisées pour la quantification des anticorps dirigés contre le VIH dans les tests d’Elisa et d’immunoempreinte. La première donne une estimation de la présence d’anticorps par lecture de l’absorbance au spectrophotomètre pour l’Elisa et au densitomètre pour le Western Blot. La seconde méthode consiste à quantifier exactement la proportion d’immunoglobulines qui se fixent au support solide des tests par comptage radioactif et de déduire l’attachement spécifique des anticorps.
La lecture en absorbance des différents tests montre toujours une saturation pour les dilutions d’immunoglobulines choisies. La zone de linéarité de réponse dans laquelle l’absorbance varie en fonction de la quantité d’immunoglobulines anticorps fixés peut être calculée par comptages radioactifs. Cette « fenêtre » est très étroite pour les tests Elisa Abbott et Behring (0.6 et 1.8 ng), un peu plus large pour Organon (6.9 ng) et impossible à déterminer pour Wellcome et l’Elisa « maison ». La quantification des Elisa par la mesure de l’absorbance est donc difficile. L’immunotransfert, par contre, montre une zone de linéarité de réponse beaucoup plus large permettant la quantification au densitomètre jusqu’à 330 ng d’immunoglobulines anticorps fixés sur la bande de nitrocellulose.
La méthode radioactive, c’est-à-dire l’estimation de la proportion d’anticorps fixé en fonction de la quantité totale d’immunoglobulines, montre une zone de linéarité plus longue pour Abbott (3 à 5 ng) et Behring (11 à 42 ng) et ne donne pas de signe de saturation dans les dilutions choisies pour Organon et l’immunotransfert.
La sensibilité des différents tests peut être estimée par la plus eptite quantité d’anticorps fixée qui donne encore un résultat positif. Pour l’ensemble des 2lisa étudiés, le type indirect (Abboott HIV 1, HIV 1+2 ; Berhing HIV 1+2 et Organon) apparaît plus sensible que le test par compétition (Berhing HIV 1, Wellcome et l’Elisa « maison ») ; le premier type détecte des quantités d’anticorps de l’ordre du dixième de ng alors que le second type d’Elisa donne un résultat positif à partir du minimum 4 ng.
Si on admet que la limite de visibilité d’une bande spécifique sur la nitrocellulose constitue la sensibilité de l’immunotransfert ; alors que celui-ci est certainement le test le plus sensible (la limite de visibilité à l’œil nu est de 0.04ng). L’Elisa peut donc donner un résultat faussement négatif alors que l’immunotransfert montre une bande colorée (33).
La spécificité des tests peut également être discuter ; nous l’apprécions en quantifiant l’attachement dit non spécifique par rapport au spécifique. Sans conteste, l’immunotransfert est le test le plus spécifique. En Elisa, la fixation non spécifique « affinité zéro, capacité maximum » est particulièrement élevée pour deux tests par compétition (Wellcome et Elisa « maison ») ; néanmoins, cet attachement non spécifique ne semble pas influencer la quantification par spectrophotométrie.
Parmi les tests de détection des anticorps dirigés contre le VIH, le plus sensible et le plus spécifique est l’immonuempreinte. Il offre, en plus, l’avantage de pouvoir estimer la proportion d’anticorps dirigés contre les différentes protéines virales. La quantification par densitométrie n’est réalisable qu’en dessous du plateau de saturation. Une estimation précise de la quantité d’anticorps par densitométrie serait possible par l’emploi d’une standardisation interne.
La quantification par comptages radioactifs est beaucoup plus précise et permet d’estimer la proportion exacte d’anticorps fixés. Il est maintenant accepté qu’il y a une corrélation entre l’état de santé du patient et la perte ou la persistance de certains anticorps. Il serait intéressant pour le clinicien de connaître de façon précise les quantités d’anticorps qui interviennent dans els tests ; pour cela, la méthode radioactive serait bienvenue mais son utilisation en clinique nécessiterait que les immunoglobulines de chaque patient soient purifiées, quantifiées et iodées

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