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Our work is divided in two parts. The first part consists of an analysis of metabolic characterisitics of subjects whose glucose tolerance has been assessed by oral-induced hyperglycaemia (OGTT) and the new W.H.O. diabetes criteria, according to their insulin sensitivity and β-cell function evaluated by HOMA model. Subjects formed a retrospective cohort and were patients treated in the “University Hospital Saint-Luc”.
Our population was composed of “concordant” and “discordant” subjects as for former and new criteria, un function of their glucose tolerance stratification (three possibilities for each methods : normal (NGT), glucose intolerance (IGF-IGT) or diabetes).
According to literature, the new diabetes diagnosis criteria are more recommended that the former ones; and the HOMA model would currently be more recommended for the assessment of insulin resistance. In our study we found that the former and new criteria were not entirely concordant, which makes them different. Moreover, the concordance between the two criteria is more relevant for subjects having a normal glucose tolerance and this is not the case for subjects intolerant to glucose or having diabetes. However, we could not see whether the new criteria enabled us to detect more “sick” patients, as mentioned in literature.
We nevertheless hope to see this statement reviewed later.
In relation with the HOMA model for the assessment of insulin resistance, we showed that the insulin sensitivity (HOMA %S) enables to distinguish glucose tolerant subjects having a normal glucose tolerance and those being intolerant to glucose or diabetic, but the β secreting function does not always allow this.
The second part consists of a prospective study; an analysis of metabolic characteristics of subjects submitted to a lipid tolerance test following recently published modalities.
This analysis was conducted in function of their sensitivity to insulin and β secreting function with aid of HOMA model, and referred to past-prandial triglycerides. According to the literature, a great increase in triglycerides following a fat-rich meal expresses higher risk of insulin resistance compared to a reduced increase in post-prandial triglycerides.
In our study we observed that subjects having a serioud triglycerides increase after a test meal differed from those who saw a minor triglycerides increase, but not for all metabolic parameters. However, the HOMA iondex fro insulin sensitivity (HOMA % S) is significantly different for the two groups contrarily to the HOMA index for β-cell function index (HOMA %B).
our wish is to see in the future what would occur if a larger sample than ours was taken with more diverse subjects as far as their glucose tolerance is concerned Notre travail est subdivisé en deux parties. La première consiste en une analyse des caractéristiques métaboliques des sujets dont la tolérance glucidique a été évaluée par l’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) et par les nouveaux critères O.M.S. de diabète en fonction de leur sensibilité à l’insuline et de leur fonction sécrétoire β à l’aide du modèle HOMA, dans une cohorte rétrospective de patients des Cliniques Universitaires Saint-Luc. Notre population était constituée par des sujets « concordants » ou « discordants » pour les anciens et les nouveaux critères, en fonction de leur statification selon la tolérance glucidique (3 possibilités pour chaque méthode : normale (NGT), intolérance au glucose (IFG-IGT) ou diabète)).
Selon la littérature, les nouveaux critères de diagnostic du diabète sont plus indiqués par rapport aux anciens critères ; et le modèle HOMA serait actuellement mieux indiqué pour l’évaluation de l’insulino-résistance. Dans notre travail nous avons trouvé que les anciens et les nouveaux critères ne sont pas tout à fait concordants, ce qui les rend différents. De surcroît, la concordance entre les deux critères concerne d’avantage les sujets ayant une tolérance glucidique normale, et pas les sujets intolérant au glucose ou diabétiques. Mais nous n’avons pas pu vérifier, comme le signale la littérature, que les nouveaux qu’) l’avenir, on puisse revoir cette constatation.
Pour ce qui est du modèle HOMA dans l’évaluation de l’insulino-résistance, nous avons trouvé que la sensibilité à l’insuline (HOMA %S) permet de différencier les sujets avec une tolérance glucidique normale et les sujets ayant une intolérance glucidique ou diabétiques, mais la fonction sécrétoire β ne le permet pas toujours.
La deuxième partie consiste en une étude prospective ; analyse des caractéristiques métaboliques de sujets ayant été soumis à un test de tolérance lipidique selon des modalités récemment publiées, en fonction de leur sensibilité à l’insuline et de leur fonction sécrétoire β à l’aide du modèle HOMA , et ce, selon la réponse postprandiale en triglycérides.
Selon la littérature, une forte augmentation des triglycérides après un repas riche en lipides traduit un risque plus élevé d’insulino-résistance en rapport avec les sujets qui font une faible augmentation des triglycérides postprandiaux. Dans notre travail nous avons trouvé que les sujets qui font une forte augmentation des triglycérides après le repas-test, diffèrent de ceux qui manifestent une faible augmentation des triglycérides mais pas pour tous les paramètres métaboliques. Néanmoins, l’index HOMA pour la sensibilité à l’insuline (HOMA %S) est significativement différent dans les deux groupes, contrairement à l’index HOMA pour la fonction sécrétoire β (HOMA %B). Notre souhait pour l’avenir est de voir ce qui se passerait si l’on prenait un échantillon plus important que le notre avec des sujets plus divers de par leur tolérance glucidique
Hyperglycemia --- Hyperlipidemias --- Insulin
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