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1856, quelque part à l'Est. Jakub est un jeune homme récemment chassé de sa troupe de Cosaques pour s'être fait dérober son cheval. Au cours de cette attaque, Jakub a aussi perdu son frère, tué par un des voleurs de chevaux. Elias et Roman sont deux jeunes frères qui volent des chevaux, dont celui de Jakub... Ce dernier est déterminé, il veut retrouver sa monture et venger la mort de son frère...
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Dans la famille Konianski, il y a Simon, 35 ans, éternel adolescent, fraîchement quitté par la femme de sa vie. Il y a Ernest, son père, contraint de l'héberger provisoirement, qui lui rend très vite la vie insupportable. Il y a Hadrien, le fils de Simon, un petit garçon passionné par les terribles souvenirs de son grand-père, ancien déporté. Mais il y a aussi Maurice, le vieil oncle paranoïaque, et Tante Mala qui n'a pas sa langue dans sa poche. Lorsqu'Ernest disparaît, tout ce petit monde s'embarque pour une expédition qui ne manquera pas de piquant.
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Tania et Ivan, son fils de 14 ans, sont russes et vivent clandestinement en Belgique depuis huit ans. Sans cesse sur le qui-vive, Tania redoute les contrôles de police jusqu'au jour où elle est arrêtée. La mère et le fils sont séparés. Tania est placée dans un centre de rétention. Elle fera tout pour retrouver son fils mais n'échappera pas pour autant aux menaces d'expulsion.
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Dans une plaine infinie balayée par le vent, Cochise et Gilou, deux inséparables chasseurs de prime, sont à la recherche d'un téléphone volé au contenu sensible. Leur chemin va croiser celui d'Esther et Willy, un couple en cavale. Et si c'était la fin du monde? Dans cette petite ville perdue où tout le monde échoue, retrouveront-ils ce que la nature humaine a de meilleur? Ce sont peut-être les derniers hommes, mais ils ne sont pas très différents des premiers.
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Début des années 60. Alice et Céline vivent dans la banlieue de Bruxelles, avec leurs familles, dans deux maisons mitoyennes identiques. Elles sont les meilleures amies du monde. D’ailleurs leur relation s’est transmise à leurs fils Théo et Maxime, huit ans. Elles les ont élevés comme deux frères. Simon et Damien, leurs maris, sont également très proches.Un jour, un tragique accident vient ébranler leur univers quotidien. Maxime succombe à cet accident. Alice assiste au drame sans pouvoir agir. Céline reproche à sa meilleure amie de ne pas avoir protégé son enfant. Cette catastrophe détruit la parfaite relation qui unissait ces deux femmes. Alice s’inquiète, elle craint que Céline ne se venge...
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Nowadays, renewable energy sources take a larger share in energy production. The power systems encounter a significant turn because of the growth of renewable energy sources, which brings more power electronics into the grid. For instance, modern wind farms are equipped with full converter wind turbines to ensure a higher energy yield. Furthermore, HVDC links, equipped with power electronic converters, have become popular because of their controllability and are installed in various power systems. The power electronic converters replace the synchronous machines, and instabilities at higher frequencies may now occur. It thus has led to a reshape in the classification of power system stability. Wind turbines are placed where the wind potential is the highest. They are grouped in wind parks which concentrate a large amount of active power production. Variations in wind speeds thus lead to rapid changes in the loading of the system, which may jeopardize its stability. This thesis aims at assessing the stability of a system mainly composed of power electronic converters. A fictitious network is tested under various scenarios, and solutions are proposed to ensure a secure system for the different tests realized. The simulation tool used applies the phasor approximation method, therefore, the fast interactions that may occur between the converters and the network are not analyzed here. The thesis is divided into five parts. The first part introduces the stability issues encountered in a power system mainly composed of power electronics. It also describes the classification of wind events and their intensity. The second part illustrates the network studied and the modeling of the converters. It highlights their different control modes. The third part focuses on wind events and their impact on the stability of the system. The evolution of the voltages is studied for two different wind events: the Ramping event and the Storm event. Those events are combined with operations on HVDC links. Their active power productions are changed according to the rules of the energy market. Solutions are proposed to mitigate the impact of those events on the network voltages. The fourth part focuses on transmission outages. Solutions are proposed to ensure a secure system after the incident occurred. Finally, the last part describes the necessity of having grid forming converters in the system. It shows the evolution of voltage phasors for the system with and without a grid forming converter. Finally, an overall conclusion is drawn.
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C’est un fait divers, librement inspiré du quintuple infanticide commis par Geneviève Lhermitte en 2007. C’est une tragédie contemporaine sur laquelle plane l’ombre de Médée, mâtinée d’une problématique colonialiste. C’est un drame psychologique, un thriller domestique dans la petite bourgeoisie aux accents chabroliens. C’est un film anxiogène d’une implacable maîtrise, porté avec maestria par un trio d’acteurs remarquables. Une jeune femme hospitalisée, le visage bouffi de larmes, demande à ce qu’on les enterre au Maroc. Elle répète sa question, encore, ouvrant la ronde funeste du film et clôturant sur elle-même celle du drame intolérable qu’il s’apprête à retracer. Quatre petits cercueils blancs sont hissés lentement dans un avion. Que s’est-il passé? Lafosse ne s’attarde pas sur le trauma d’une tragédie dont on ignore encore la teneur pour retourner immédiatement aux racines de son histoire. Celle de l’amour naissant entre Murielle et Mounir avec une telle force qu’il pousse ce dernier à demander sa belle en mariage. Le film suit alors le récit elliptique de leur amour voué au meilleur et, surtout, au pire. À l’impensable. Le jeune couple s’installe chez André, père adoptif de Mounir, médecin bourgeois qui les accueille avec une générosité sans faille et leur offre un voyage de noces auquel il se voit convier. La proposition n’est pas banale, fait sourire. Elle souligne la reconnaissance vis-à-vis de cet homme à la bonté immodérée, qui a même épousé la sœur de son protégé marocain pour qu’elle obtienne ses papiers. Loin de toute reconstitution judiciaire, le film opte pour la fiction, nouvelle occasion pour le réalisateur d’explorer les dysfonctionnements familiaux qui donnaient matière à ses précédents longs-métrages. Sa construction narrative empile alors jusqu’à l’oppression les blocs d’une histoire qui construit ce cercle familial, un cercle qui peu à peu se resserre et se transforme en ligne droite, en une pente raide sur laquelle la jeune femme glisse jusqu’au point de non-retour. Une première grossesse, vite suivie par une seconde, puis encore une troisième, et même une quatrième… tandis que le couple vit toujours chez un André qui se refuse en un éclat de colère à délaisser son rôle de chaperon. Qui, vraiment, a le plus besoin de l’autre? Que cache cette générosité sans bornes? Pourquoi les amoureux ne cherchent-ils pas leur propre foyer? Quel est ce lien étrange qui les unit et transforme la cellule domestique en prison dans laquelle se laisse murer Murielle, bouleversée par la crainte d’être une mauvaise mère? Les ellipses distillent les ambiguïtés et les doutes auxquelles les séquences n’apportent aucune réponse, plongeant au contraire dans un malaise de plus en palpable. Il faut alors quitter cet appartement trop petit pour une maison payée par André… dans laquelle il s’installe également. À partir de quand la générosité peut-elle devenir nocive? Car elle oblige ici à une reconnaissance permanente qui empêche la famille de s’épanouir et la phagocyte comme le cadre de Lafosse est sans cesse grignoté par une embrasure de porte. Le procédé crée cette tension qui ronge l’image pour ne plus laisser parfois qu’une fine parcelle d’un bonheur étouffé dans l’œuf, en même temps qu’il instaure une distance délicate sur son épineux sujet. Timide, en retrait, la mise en scène se refuse ainsi à jouer les démiurges moralisateurs, sans pour autant chercher des excuses à son personnage féminin, ni imposer les raisons de son acte, préférant sonder son conditionnement psychologique pour le moins perturbant. Et il faudra que la psy de Murielle, qui sombre dans une grave dépression, mette des mots sur cette situation qui s’est installée comme une évidence pour la ramener à sa malsaine configuration. Lafosse offre là à ses acteurs des personnages rares, équivoques, que leur subtile interprétation intensifie. Treize ans après Rosetta, l’époustouflante Émilie Dequenne a plus que mérité son prix d’interprétation au dernier festival de Cannes dans la sélection « Un certain regard ». Cette femme sous influence dépassée par son rôle de mère évoque la Mabel de Cassavetes, même si À perdre la raison n’atteint pas la puissance poignante du film de ce dernier. Mais tandis que la caméra hyper-expressive du complice de Gena Rowlands soulignait l’hystérie exubérante de son personnage, Lafosse garde une caméra contenue sur son personnage apathique qui retient son mal et perd pied, féminité, personnalité… et raison. Son hystérie à elle, que l’on devine sur son visage rougie de larmes, demeure hors-champ. Tout comme le meurtre final. Le film exclut ainsi le blocage final de son spectateur dans l’effroi sensationnaliste, préférant poser des questions. Non pas filmer la monstruosité, mais la mettre en récit en se demandant ce que peut la fiction face à ce que l’on occulte trop vite sous l’étiquette de l’impensable. Il y a quelqu’un en trop dans cette étouffante bulle familiale. Mais, Mounir (auquel Tahar Rahim prête son jeu finement nerveux) est incapable de tuer le père, prisonnier de cette relation castratrice avec André qui l’éclipse insidieusement de sa place de chef de famille et s’immisce indéniablement de son altruisme déplacé dans chaque plan, chaque scène. Niels Arestrup est tout aussi impeccable pour interpréter ce personnage ambigu, aussi généreux que douteux quant à ses motivations, étrangement hermétique sur sa vie amoureuse, qui semble vivre une vie de substitution à travers le jeune couple, peut-être par impuissance, secrétant une aura d’inceste psychique. Alors, ce sont les enfants qui sont éjectés, assassinés, victimes parfaites, sans autorité, figures de l’innocence qui accourent gentiment à l’appel de la mort.
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Ce travail de fin d'études consiste à mener une analyse du réseau de transmission haute tension belge dans le but de savoir s'il est nécessaire d'installer et d'activer la fonction Power swing des protections de distance. Pour cela, nous devrons effectuer une étude d'oscillations électromécaniques dues d'une part, à l'ajout des charges dans le réseau, des court-circuit sur les lignes de transmission et d'autre part, par le comportement des équipements de production tels que machines synchrones, ... Ainsi, les conclusions de cette étude guideront la décision à prendre.
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