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Art --- anno 1900-1999
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L’année 1914 marque la rencontre entre l’avant-garde artistique et l’avant-garde militaire, deux champs qui n’ont cessé d’entrer en friction depuis le XIXe siècle, sans jamais s’identifier l’un à l’autre pour autant. En 1914, ces frottements sont tout particulièrement sensibles dans les relations entre les arts visuels et l’histoire, dans un moment où la crise de la conscience européenne se cristallise en catastrophe radicale. L’analyse des relations entre l’avant-garde artistique et la guerre, dans les limites de l’année 1914, permet de penser la situation intellectuelle et pratique de la création visuelle pendant les six premiers mois « ordinaires » de l’année, et de comprendre la nature des prises de conscience provoquées par la déclaration de guerre ainsi que par les premiers combats. Ce livre explore les strates de sens inscrites dans les œuvres et les objets, les orientations du goût et du marché, les pensées et les discours critiques et théoriques, afin de faire l’anatomie de ce qui s’est brisé dans les représentations occidentales dans ce temps court – mais essentiel – de l’histoire et de l’art du XXe siècle.
Avant-garde (esthétique) --- Guerre mondiale (1914-1918) -- Art et guerre --- Art et guerre --- Guerre mondiale (1914-1918) --- Avant-garde (Aesthetics) --- World War, 1914-1918 --- Avant-garde (Esthétique) --- Guerre mondiale, 1914-1918 --- Première guerre mondiale --- History --- Art and the war. --- Literature and the war. --- Histoire --- Littérature et guerre --- Avant-garde (Esthétique) --- Première guerre mondiale --- Littérature et guerre --- Art et guerre. --- Aesthetics --- Modernism (Art) --- art --- modernité --- tradition --- 1914
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Promenade des Champs-Elysées, place Vendôme, Palais des glaces, hippodrome de Chantilly... Les gravures à l’eau-forte et à l’aquatinte en couleurs de Pierre Gatier nous invitent à entrer dans le sillage des élégantes Parisiennes de la Belle Époque et à les suivre sur les lieux de rendez-vous alors en vogue. Une attention toute paticulière est portée aux toilettes de ces dernières, des chapeaux jusqu’aux bottines. Aussi, l’ouvrage revient-il sur les liens qu’a entretenu l’artiste-graveur avec le couturier Jacques Doucet et avec la mode de son époque. Mais Pierre Gatier n’est pas que le peintre de la bonne société ; fils et petit-fils de marins, il s’est aussi intéressé à la mer et aux bateaux. 1915-1918. La guerre marque une rupture dans l’œuvre de Pierre Gatier. Les linoléums qu’il produit alors traduisent la dureté des temps. Ils contrastent stylistiquement et de manière radicale avec ses aquatintes en couleurs de la vie parisienne. Une nouvelle rupture marque à nouveau son œuvre de l’après-guerre, avec l’adoption d’un style plus graphique, au burin et à la pointe sèche. Gatier grave alors exclusivement au trait et en noir, souvent en hachures parallèles. Il prend pour sujets des lieux parisiens, notamment de spectacles, et surtout des scènes rurales, des paysages du Val-d’Oise, de montagnes, ainsi que des marines. Nous partons à la découverte d’un artisan passionné, qui parvint à révéler toutes les potentialités expressives des différentes techniques de gravure qu’il aborda : aquatinte, eau-forte, linogravure, burin et pointe sèche. --Musée Louis Senlecq
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