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L’incertitude, l’imprédictibilité, le danger, la peur, la violence, la défiance, le clientélisme qualifient les sociétés au XXIe siècle. Les cadres de vie et les principes de la sécurité des populations sont affectés. Concept opératoire, la Modernité Insécurisée rend compte du fait d’être moderne dans un contexte globalisé d’insécurité culturelle, économique, sociale, politique et climatique. L’ouvrage pointe le caractère inédit et dynamique des pratiques des populations confrontées à la survie.
Beschaving [Moderne ] --- Civilisation moderne --- Civilization [Modern ] --- Globalization --- Civilization, Modern --- Mondialisation --- Civilisation moderne et contemporaine --- Social aspects --- Aspect social --- Culture and globalization --- Globalization - Social aspects
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"Parler de la nature, c'est parler de l'humain. C'est de ce constat que se nourrit cet ouvrage. Là où, à l'évidence, tout tend à montrer que leurs destins sont indissociablement liés, la relation qui unit les humains et la nature dans nos sociétés contemporaines est devenue problématique, voire inconciliable. En effet, en la transformant chaque jour, les populations humanisent la terre. Par les changements environnementaux d'origine anthropogénique, les possibilités de vie sur terre s'avèrent aujourd'hui mises en péril en certains coins du globe. La Terre se déshumanise, non car elle en perdrait les caractéristiques humaines, mais par excès d'humanisation. Cette déshumanisation, rendra-t-elle notre planète inhumaine ? De manière interdisciplinaire et originale, Terres (dés)humanisées : ressources et climat aborde les transformations des territoires par les humains depuis le prisme des sciences sociales. Du Canada à l'Europe, en passant par l'Amérique latine, l'Asie et le Maghreb, les auteurs réunis dans cet ouvrage exposent, à partir d'études de cas minutieusement documentées ou à partir de recherches de terrain approfondies, des axes intrinsèquement liés : le positionnement éthico-politique, les données ethnographiques et leur pendant qu'est la production théorique, les implications politiques et, enfin, les réflexions d'ordre épistémologique, méthodologique et heuristique."--P. [4] of cover.
Human ecology --- Climatic changes --- Nature conservation --- Congresses --- Climat --- Gestion des ressources naturelles --- Nature --- Écologie humaine --- Changements --- Aspect social --- Anthropologie --- Effets de l'homme --- Anthropologie. --- Human ecology - Congresses --- Climatic changes - Congresses --- Nature conservation - Congresses --- Écologie humaine
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Le castor fiber, ce rongeur, cet animal sauvage présent depuis des siècles sur le territoire Wallon, est aujourd’hui source de tensions. Ces tensions se font ressentir à la fois entre l’animal et l’humain, entre les humains, et entres différentes espèces animales. Dans ce travail il est considéré comme étant un « animal à problème ». Ce qualificatif lui est attribué du fait que son statut légal d’espèce protégée lui confère une stricte protection et interdit toutes actions destructrices envers l’animal et envers son habitat. Nous pouvons souligner, en Wallonie, des cas conflictuels mais aussi des cas où la cohabitation entre les vivants est harmonieuse. Via des entretiens, nous avons tenté de comprendre quels facteurs influençaient une situation. Ainsi, nous avons remarqué une multitude « d’opérateurs territoriaux » qui façonnait une situation singulière. Ces derniers peuvent être à la fois des humains ou des non-humains. Nous pouvons ajouter à ces opérateurs territoriaux une situation législative paradoxale, pouvant faire réagir certains acteurs, et complexifiant davantage la situation.
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La littérature montre que les projets de Science Citoyenne sont confrontés à une série de défis. Les trois principaux sont : garder les participants motivés, réussir à les faire collaborer et garantir la crédibilité scientifique des résultats produits par la recherche. Dans ce travail, j’ai suivi le projet Jardins cOllectifs font Sciences citoyennes (JOS), se déroulant au Grand-Duché du Luxembourg et portant sur les jardins communautaires. Ce document montre comment JOS a répondu aux trois défis. Je ferai une analyse des solutions utilisées. Elle montrera comment l’utilisation de concepts théoriques tels que les modes de gouvernance des Sciences Citoyennes et les différents cadrans de Bawden peuvent être utiles pour faire face à ces différents défis.
Science Citoyenne --- Luxembourg --- Jardins communautaires --- Potager communautaire --- JOS --- Jardins Collectifs font Sciences Citoyennes --- Mode de gouvernance --- Cadrans de Bawden --- Défis --- Collaboration --- Motivations --- Crédibilité Scientifque --- Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie
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Ce travail s’intéresse à l’élaboration d’une possible participation citoyenne sur le thème de l’eau lors de l’instauration d’un nouveau Parc naturel de Wallonie : « le Parc naturel des Sources ». Créé depuis peu, il est encore méconnu de la population habitant sur le territoire. Or, un des objectifs de ces statuts de protection est de protéger la nature tout en travaillant en harmonie avec la population locale. Il manque, cependant, un lien entre ces derniers et le Parc naturel. Pour ce faire, ce travail reprend une enquête de terrain sur la participation citoyenne et les modalités d’existence d’un élément omniprésent sur le territoire, l’eau. Elle a été élaborée au moyen d’entretiens semi-directifs. Les intervenants interrogés sont principalement des habitants du Parc naturel mais également des personnes en lien avec sa gestion. L’enquête s’est déroulée sur la globalité du territoire repris par ce dernier. Finalement, ce mémoire de fin d’études met en évidence, par le concept des modes d’existence, les perceptions de l’eau des différents intervenants. Il tente, par cette analyse, de trouver le meilleur moyen d’instaurer un processus participatif sur l’eau qui permettrait de lier les habitants et le Parc naturel.
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Ce mémoire analyse les modes de consommation durables qui prennent de plus en plus de place dans le marché belge. Cette analyse se concentre sur les engagements des citoyens d’adopter des attitudes plus respectueuses de l’environnement ainsi que les transformations sociales et culturelles qui sont la base des nouveaux modes de consommation durables. Par les récits des citoyens attachés à des valeurs de partage social et de préservation environnementale, une double constatation s’édifie : cette adhésion des consommateurs à ces pratiques est un mouvement de transition en soi et ce déplacement met à mal plusieurs usages productivistes où le profit immédiat fonctionne sans une logique d'auto préservation. La réflexion sur ce sujet est le fruit d’un changement de cap des discours qui pointaient les industries comme étant à l’origine de pollutions. À présent, le consommateur est la cible, comme si, par son achat, il cautionnait les moyens de production et toute la chaîne d’approvisionnement des industries. Ce rôle central de mire de toute activité économique est lourd de conséquences, puisque le citoyen n’a pas une voix directe sur les décisions des producteurs, mais il se sent fortement investi par son achat. En conséquence, les routes empruntées par les consommateurs sont désormais en plein processus de bouleversement. Les choix et la prise de conscience de chacun jouent un rôle considérable dans la perspective du marché. L’aspect socio-environnemental prend une place pertinente dans les choix commerciaux. En effet, le consommateur est prêt à changer son modus operandi pour conserver un certain équilibre entre l’impact qui résulte de l’activité humaine de son mode de consommation et les besoins des ressources pour les générations actuelles et à venir. L’effet de rebond fait encore ravage dans les pratiques de transition. Cependant, le consommateur n’est pas dupe et plus il consomme de manière alternative, plus il s’informe et met en pratique d’autres facettes du choix durable, en repensant continuellement ses propres choix et en assumant les conséquences de son impact anthropique. Afin d’exprimer les attitudes contradictoires, les ajustements et les ambiguïtés des discours, cette analyse va se pencher sur des pratiques comme le zéro déchet, le minimalisme et le circuit court. Les acteurs définissent ces pratiques-là comme des portes pour la dimension durable. À partir d’un point de départ -le constat de sa propre consommation- un rayonnement se crée, une brèche, une bifurcation qui définissent la trajectoire de chacun. Pour finir, c’est l’aboutissement d’une panoplie d’autres actions et manœuvres qui sont relevées et traitées petit à petit pour ceux qui ont pris la route de la transition écologique.
new modes of consumption --- sustainable --- consumer --- story of life --- trajectory --- pathway --- nouveaux modes de consommation --- durable --- consommateur --- récit de vie --- trajectoire --- Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie
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Ce travail consiste à identifier et à comprendre les différents facteurs d’influences des coopératives de circuits courts sur les pratiques de maraichages. En effet, les coopératives de circuits courts définissent un cadre propice aux échanges sociotechniques, aux processus d’expérimentation et à l’apprentissage des techniques et des pratiques. A partir de l’analyse de ces différents facteurs, ce travail aborde la pratique des biopesticides au sein de deux coopératives, Paysans Artisans et Agricovert. Pour ce faire, l’étude se base sur des témoignages d’acteurs de terrain. Le but est de dégager au travers de leurs discours, et à partir du cadre analytique, des éléments de réponses quant aux rôles joués par la coopérative de circuits courts sur leurs pratiques. Cette étude n’a pas de vocation à révéler des éléments techniques sur les pratiques de maraichages et plus particulièrement celle des biopesticides, mais plutôt de tenter d’identifier des points d’influence des coopératives sur les pratiques. Ce travail amène aussi des pistes de réflexions sur les représentations des maraichers quant à leurs pratiques d’utilisation de biopesticides.
Coopératives --- circuit court --- pratiques --- maraichages --- biopesticides --- Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie
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Depuis quelques décennies, la démocratie participative a pris davantage d’ampleur marquée par des acteurs ne désirant plus laisser l’entièreté́ des décisions aux autorités politiques et avec la volonté́ d’intervenir dans les prises de décisions. La mise en place de processus participatif à l’échelle locale permet de répondre à cette demande. La consultation et l’écoute des citoyens deviennent des éléments indispensables pour les pouvoirs publics. Cette nouvelle injonction du participatif dans la production des connaissances et dans la gestion de l’environnement peut se traduire comme un impératif pour mener à bien des modèles représentatifs plus démocratiques. Le développement durable implique la participation des citoyens, individuellement et collectivement, pour permettre un changement de comportement. Cette forme de gouvernance participative implique de nombreux défis tels que la participation de tous les citoyens, le respect et la reconnaissance mutuelle des différents acteurs, la garantie de projets réalisable malgré́ le manque d’objectivité́ qu’il peut y avoir et le manque de connaissance ou encore assurer une organisation adaptée. Sur base de ce constat, ce travail de recherche étudie la mise en place d’une commission consultative de l’environnement située à Arlon, en province de Luxembourg. Une commission consultative environnementale est une assemblée composée de citoyens, d’experts, de membres de l’administration et du monde associatif. À l’échelon communal, elle a pour but d’élaborer un collectif participatif de réflexions et de propositions de projets concernant des dossiers en matière d’environnement sur la commune. De nombreux outils participatifs ont été́ mis en place pour favoriser la participation des citoyens, répondre aux différents enjeux et surmonter les risques que peut engendre un tel processus. Pour évaluer qui prend part au processus de participation, il faut se poser la question de qui participe et qui ne participe pas, si les outils permettent aux citoyens d’influencer le processus de citoyen. Ces questions sont fondamentales pour déterminer si la participation est véritable et si elle permet d’exercer des décisions qui vont impacter leur milieu de vie. Il faut garantir et s’assurer que les outils de la participation mis à disposition sont vraiment et correctement employés. Mais également qu’un suivi et des formations soient mises en place pour permettre aux citoyens de développer des compétences adéquates à la réalisation de projets qui soient pris en compte par les pouvoirs publics. Pour ce faire, ce travail analyse l’utilisation de ces outils participatifs afin de répondre à la question de recherche : Comment les citoyens s’approprient-ils et réajustent-ils les outils de la participation ?
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