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Le 18 novembre 1928, le monsieur Souris le plus célèbre au monde faisait sa première apparition publique. Aujourd'hui, nous célébrons les 90 ans de Mickey avec l'une des publications illustrées les plus exhaustives consacrées à l'univers Disney. En commençant par les premiers croquis d'un personnage qui s'appelait alors Mortimer, nous retraçons la carrière de la créature la plus fameuse créée par Walt et Ub, saluée par une popularité mondiale fulgurante et durable que Charlie Chaplin était le seul à avoir connue jusqu'alors.Grâce à un accès illimité aux archives Disney et à plusieurs collections publiques et privées, les auteurs redonnent vie à la légende : esquisses, story-boards, arrière-plans, dessins d'animation et photos d'époque retracent les origines et l'évolution de grands classiques comme Steamboat Willie, La Fanfare et Le Brave Petit Tailleur. Ils suivent aussi Mickey dans la construction de son légendaire catalogue de courts-métrages d'animation, qui débute par deux longs-métrages historiques, Fantasia et Coquin de printemps.Les recherches approfondies menées pour cet ouvrage mettent un coup de projecteur inédit sur des chapitres peu connus de la carrière de Mickey, comme les origines du Mickey Mouse Club, ou le rôle d'icône patriotique qu'on lui fit endosser pendant la Seconde Guerre mondiale. Au fil de l'histoire, on admire le travail de tous les grands artistes qui ont façonné le personnage de Mickey, à l'écran et en bande dessinée, parmi lesquels Ub Iwerks, Win Smith, Ferdinand Horvath, Freddie Moore, Floyd Gottfredson, Carl Barks, Manuel Gonzales, Paul Murry, Romano Scarpa, Giorgo Cavazzano, Byron Erickson et César Ferioli.
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Samuel Fuller a occupé une place centrale de la cinéphilie française et pourtant peu d’ouvrages ont été consacrés à la réflexion sur son œuvre. Faut-il y voir la conséquence d’une sorte de sidération éprouvée à la vision de films gorgés d’une paradoxale brutalité qui se heurta parfois à un aveuglement idéologique ? Peut-être. […] […] Génial raconteur d’histoires, dont certaines nourries par l’expérience de quelqu’un qui fut aux premières loges des horreurs de l’Histoire du XXe siècle (la Seconde Guerre mondiale et la découverte des camps qu’il vécut en fantassin de l’armée américaine), l’auteur du Port de la drogue occupa pourtant une position singulière à l’intérieur d’un système qui sembla accepter les obsessions et les transgressions d’une œuvre subvertissant, jusqu’à les faire exploser, les genres et les catégories d’une industrie cinématographique entrant dans une crise fatale. Les textes réunis ici, abordant d’abord la filmographie de Fuller de façon transversale et s’attachant ensuite à l’examen, tout à la fois passionné et méticuleux, de chacun des films, démontrent la fascination qu’exerce encore, et peut-être plus que jamais, un cinéma où la violence baroque s’accorde avec une douceur imprévue, un cinéma où les contradictions du monde sont rendues intensément sensibles et où, parfois, les valeurs s’inversent. Une œuvre où le choc n’exclut pas la caresse.
Cinéma --- Fuller, Samuel, --- Critique et interprétation --- Criticism and interpretation. --- Fuller, Samuel --- Critique et interprétation. --- Cinéma --- Critique et interprétation.
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