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Cette étude examine les différents aspects du commentaire philosophique à la Renaissance afin de mettre en lumière le lien entre l'acte de commenter et l'élaboration d'une nouvelle pensée humaniste. ©Electre 2015
Classical philology --- Humanism --- Philosophy, Renaissance. --- Philosophy, Ancient --- Philologie ancienne --- Humanisme --- Philosophie de la Renaissance --- Philosophie ancienne --- Study and teaching --- Influence. --- Etude et enseignement --- Influence
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Lorsque Nifo rédigea, en 1529, le De Pulchro et Amore, il était un philosophe reconnu, auteur d'une œuvre considérable. Après de brillantes études à l'Université de Padoue, l'une des universités italiennes les plus renommées à la fin du XVe siècle, il obtint la chaire extraordinaire de philosophie dès l’âge de vingt-trois ans, et trois ans plus tard, la chaire ordinaire. Il enseigna ensuite dans de nombreuses autres universités, à Rome notamment, protégé par le pape Léon X, ou encore à Pise, avant de s’attacher définitivement à Salerne. Malgré cette carrière remarquable, à la fois universitaire et aulique, représentative des philosophes, écrivains et artistes de son temps, Agostino Nifo reste un philosophe sinon inconnu, du moins largement méconnu. Actuellement, à part le De Auguriis, traduit en 1546 par Antoine du Moulin, et le De regnandi peritia, traduit en 1987 par Simone Pernet-Beau et Paul Larivaille, l’œuvre de Nifo n’est pas accessible en français. A l’exception d’une version italienne du De re aulica (Il Cortigiano del Sessa) en 1560 et d’une récente traduction espagnole du De Pulchro et Amore en 1991, les ouvrages de Nifo ne sont guère davantage traduits dans d’autres langues. En revanche, les trente dernières années ont vu se développer, surtout chez les chercheurs anglo-saxons, des études précises sur la partie logique et scientifique de la pensée de Nifo en même temps qu’était mise en lumière l’importance de la pensée aristotélicienne dans l’Italie des XVe et XVIe siècles. Ainsi l’œuvre de Nifo connut-elle une fortune fluctuante malgré l’intérêt qu’elle suscita chez des écrivains, penseurs et chercheurs de renom. Ses nombreux déplacements, et les lacunes biographiques qui s’ensuivent, les multiples débats et controverses esquissent la figure d’un philosophe qui fut parfois difficile à cerner, même pour ses contemporains, fervents admirateurs ou adversaires acerbes.
Humanism --- Love --- Aesthetics --- Humanisme --- Amour --- Esthétique --- Early works to 1800 --- Philosophy --- Ouvrages avant 1800 --- Philosophie --- Aristotélisme. --- Peripatetics --- Beau (esthétique). --- History --- Aristotélisme. --- Beau (esthétique) --- Early works to 1800. --- Beau (esthétique). --- Beau (esthétique)
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Des développements anciens, médiévaux et contemporains sur l'implication de l'orateur dans la cité, sur l’ascèse du contemplatif chrétien, sur le retrait bucolique du poète, Nifo fait de la solitude le lieu de la réflexion philosophique sur elle-même et de l’élaboration d’une nouvelle figure intellectuelle, le solitarius ciuilis.
Solitude --- Early works to 1800 --- Ouvrages avant 1800 --- Solitude in literature --- Dans la littérature. --- In literature. --- Solitude. --- Dans la littérature.
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Cet ouvrage collectif est le fruit d'un colloque sur les philosophies du plaisir qui a réuni philologues et philosophes, spécialistes de l'Antiquité et de la Renaissance, en juin 2004, à l'Université de Lille 3. Les études proposées analysent d'abord la formation des pensées du plaisir dans le monde antique et les débats qu'elles suscitèrent entre les différentes écoles, des grands théoriciens de l'Antiquité grecque jusqu'au début de l'ère chrétienne. Elles mettent aussi en évidence les réajustements et les discussions qui eurent lieu parfois au sein même des grandes familles philosophiques, chez les Cyrénaïques et les Épicuriens, mais aussi chez les Néoplatoniciens. On mesure alors combien l'Antiquité reste attachée à une pensée hédoniste dont la poésie latine s'est faite l'écho. En explorant ensuite le champ de la réception humaniste, ces travaux permettent d'évaluer la dette des philosophes de la Renaissance à l'égard de leurs prédécesseurs grecs et romains, mais aussi, dans un cadre politique, religieux et moral différent, de mieux cerner les enjeux d'une pensée du plaisir au sein de nouvelles configurations philosophiques, qu'il s'agisse de l'épicurisme chrétien d'un Lorenzo Valla ou de l'alliance d'épicurisme et de néoplatonisme chez Marsile Ficin. De glissements en réappropriations, un vaste corpus se dessine, en particulier de langue latine, assez délaissé jusqu'à présent et que ce recueil propose d'explorer.
Hedonism --- Hédonisme --- Pleasure --- Philosophy, Ancient --- Latin and classical Greek philosophy --- Criticism --- Klassieke oudheid. --- Renaissance. --- Hedonisme --- Plaisir --- Philosophie ancienne --- Philosophie de la Renaissance --- Hedonisme. --- Pleasure. --- Hédonisme --- Emotions --- Ethics --- Senses and sensation --- Utilitarianism --- Happiness --- Eudemonism --- Asceticism --- Philosophy --- Cyrenaics (Greek philosophy) --- Hedonism - Congresses --- Pleasure - Congresses --- Philosophy, Ancient - Congresses --- Plaisir (morale) --- Antiquité --- Congrès --- Renaissance
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Classical Latin literature --- Thematology --- Littérature latine --- Littérature latine médiévale et moderne --- Despotisme --- Dictateurs --- Politique et littérature --- Thèmes, motifs --- Dans la littérature --- Despotism in literature --- Dictators in literature --- Kings and rulers in literature --- Latin literature, Medieval and modern --- Latin literature --- History and criticism --- Politique et littérature. --- Thèmes, motifs. --- Dans la littérature.
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Cet ouvrage collectif propose d'étudier les péripéties du genre dialogique, entre théâtre et philosophie, en trois volets consacrés à son écriture dans l'Antiquité grecque et romaine et à ses mutations au Moyen Âge et à l'âge humaniste.
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Cet ouvrage collectif est le fruit d'un colloque sur les philosophies du plaisir qui a réuni philologues et philosophes, spécialistes de l'Antiquité et de la Renaissance, en juin 2004, à l'Université de Lille 3. Les études proposées analysent d'abord la formation des pensées du plaisir dans le monde antique et les débats qu'elles suscitèrent entre les différentes écoles, des grands théoriciens de l'Antiquité grecque jusqu'au début de l'ère chrétienne. Elles mettent aussi en évidence les réajustements et les discussions qui eurent lieu parfois au sein même des grandes familles philosophiques, chez les Cyrénaïques et les Épicuriens, mais aussi chez les Néoplatoniciens. On mesure alors combien l'Antiquité reste attachée à une pensée hédoniste dont la poésie latine s'est faite l'écho. En explorant ensuite le champ de la réception humaniste, ces travaux permettent d'évaluer la dette des philosophes de la Renaissance à l'égard de leurs prédécesseurs grecs et romains, mais aussi, dans un cadre politique, religieux et moral différent, de mieux cerner les enjeux d'une pensée du plaisir au sein de nouvelles configurations philosophiques, qu'il s'agisse de l'épicurisme chrétien d'un Lorenzo Valla ou de l'alliance d'épicurisme et de néoplatonisme chez Marsile Ficin. De glissements en réappropriations, un vaste corpus se dessine, en particulier de langue latine, assez délaissé jusqu'à présent et que ce recueil propose d'explorer.
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