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Human rights --- Republicanism --- History --- History --- Paine, Thomas, --- France. --- France --- France --- History --- History
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Le républicanisme, entendu comme culture de la chose publique et du bien commun, est étudié sous l'angle de la circulation des idées et des pratiques dans le temps et dans l'espace, ainsi qu'entre les champs académiques. Au delà des valeurs communes aux différentes cultures républicaines, cet ouvrage pluridisciplinaire rend compte de la variété des expériences selon les contextes. ©Electre 2015
Republicanism --- Républicanisme --- History --- Histoire
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Quelle est donc cette "tyrannie" dont les artisans du Directoire, après Thermidor, voulaient débarrasser la France ? A en croire Boissy d'Anglas, qui rédige la Constitution de l'an III, c'est celle des assemblées primaires, livrées au suffrage universel, où le peuple est "constamment délibérant". Etrange "dictature", remarquent Yannick Bosc et Marc Belissa, que celle qui favorise la délibération des citoyens, organise l'opposition et autorise les insurrections... A l'encontre du récit qui fait de la période du Directoire celle du "retour à la normale", les auteurs de ce livre y voient surtout la répression des éléments les plus subversifs de la Révolution : où les Droits de l'homme, rangés au placard des principes abstraits, s'effacent devant le droit des propriétaires ; où l'on décapite l'opposition dans le procès de Babeuf et des "Egaux"; où l'on confisque la souveraineté populaire dans la confidence des assemblées censitaires ; où les intrigues - et l'armée - demeurent les seuls instruments de régulation politique. Longtemps boudé par l'historiographie, le Directoire méritait réexamen. Plus qu'une parenthèse entre la Révolution et le Premier Empire, il a été le laboratoire d'une forme de modernité politique, "celle de la république élitiste, parlementaire et colonialiste", dont la formule perdure encore : une république sans démocratie. -- Quatrième de couverture
France --- History --- Politique et gouvernement --- Politics and government
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Le Consulat de Bonaparte issu du coup d'État du 18 brumaire est davantage qu'un régime transitoire, prélude au Ier Empire : c'est la période où se mettent en place les structures de l'État contemporain, et beaucoup d'institutions aujourd'hui familières (le Code civil, la Légion d'honneur, les préfets, les lycées...). La centralisation administrative du pays prend sa source dans la dictature de Bonaparte, laquelle s'appuie sur la surveillance policière et la censure. La démocratie est confisquée dans les mains d'un pouvoir exécutif omnipotent. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen disparaît, incompatible avec le pouvoir des propriétaires et l'ordre social promu par le régime. À l'extérieur, le Consulat est marqué par la construction d'une hégémonie autoritaire sur les peuples européens, par une réaction coloniale sanglante et le rétablissement de l'esclavage en 1802. Bonaparte s'est prétendu le continuateur de la Révolution mais son Consulat brise pour de bon l'élan émancipateur de 1789 en inscrivant dans les rouages de la machine étatique la dépolitisation de la nation. Un héritage dont la Ve République - elle-même issue d'un coup d'État militaire - porte les stigmates. --
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Revolutionaries --- Révolutionnaires --- Biographies --- Robespierre, Maximilien, --- France --- History --- Politics and government --- Histoire --- Politique et gouvernement
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L'essai De la révolution (1963) représente, après Condition de l'homme moderne et La crise de la culture, le troisième ouvrage de la série dans laquelle Hannah Arendt expose le nouveau paradigme du politique qu'elle entend développer. Il s'agit également de proposer un nouveau paradigme de la révolution. Arendt se propose de tirer les leçons de l'histoire en opposant ce qu'elle nomme le "désastre" de la Révolution française aux leçons d'une révolution supposée réussie, la "Déclaration des droits" américaine.Il importe donc qu'historiens et philosophes analysent conjointement la façon dont Arendt envisage les Révolutions américaine et française et se détermine par rapport à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen et la remise en cause de celle-ci dans la pensée contre-révolutionnaire d'Edmund Burke. Il s'agit également de voir la place qu'Arendt attribue au peuple dans ces processus et dans quel esprit elle se réfère, dans le dernier chapitre de son essai, aux "conseils" révolutionnaires.La formule arendtienne du "droit à avoir des droits" amorce-t-elle, comme certains le soutiennent aujourd'hui, un tournant politique dans la considération des droits de l'homme ? Ne représente-t-elle pas une machine de guerre contre la notion même de droit naturel, qui se trouve au fondement de ces droits ? Dès lors, que reste-t-il de l'idée d'humanité dans la perspective construite par Arendt ? Il s'agira de montrer que dans le contexte de la Guerre froide, Hannah Arendt a pu élaborer, dans ses essais de théorie politique, un nouveau paradigme du politique et de la révolution au prix d'une instrumentalisation de l'histoire et d'une mise en pièce de l'idée d'humanité.
Droits de l'homme --- Révolutions --- Philosophie. --- Arendt, Hannah --- Philosophie politique.
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