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La thématique de ce mémoire est un thème sensible à l'homme, il s'agit de la nature. La problématique qui se pose est de se demander comment a évolué la représentation de la nature en scénographie et plus particulièrement au théâtre. De nombreux scénographes et metteurs en scène utilisent le plateau de théâtre pour transposer un paysage ou déplacent leur création à l'extérieur et expérimentent les espaces naturels, comme Philippe Quesne dont certains spectacles tels que : "D'après nature, Big Bang et Swamp Club, ainsi que des expériences au sein même de la nature, sont analysés dans ce mémoire. C'est aussi le cas de trois autres artistes qui viennent appuyer leur propos dans cette étude, tels que Bill Viola, Gisèle Vienne et Mette Ingvartsen. Ce mémoire pose la question de la place de la nature dans la société et en déduit finalement que les deux sont liés. Les changements en scénographie sont également liés à ce qui nous entoure. D'autre part, l'art est un outil formidable pour faire passer des messages et sensibiliser l'homme à la nature. Le théâtre informe et responsabilise le public.

Scénographie --- Rapport culture-nature --- Quesne, Philippe

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L'architecture théâtrale est connue pour être très complexe. Il faut mener diverses approches pour les synthétiser en une unité, en un bâtiment "culturel". Ainsi l'architecture, et plus particulièrement l'architecture publique devra intégrer l'aspect culturel de la société. En effet, l'élaboration d'un bâtiment culturel demande une étude approfondie avant sa réalisation finale. Les concepteurs principaux, les architectes, sont souvent recrutés via des appels d'offre. Déjà à ce stade, ils doivent examiner beaucoup de ces aspects. Interroger les personnages secondaires de la conception d'un édifice théâtral, amène le questionnement de leur métier. En relation à l'architecture d'intérieur et à la scénographie, un nouveau métier, ou du moins très peu connu, apparaît : la scénographie d'équipement. L'étude présentée ici, débute par un rappel à l'histoire architecturale des édifices théâtraux, ce qui mènera à l'histoire de la profession de la scénographie d'équipement et à sa définition. Pour pouvoir essayer d'appréhender ce métier d'aujourd'hui, il me fallait étudier des théâtres construits dans les années 2000 pour en comprendre les principes de base de la relation scène-salle et du rapport du spectateur à l'oeuvre présentée. La comparaison se fera entre le Théâtre National de Belgique, inauguré en 2004 et le théâtre de Liège, inauguré en 2013. J'aborderai l'histoire et les projets architecturaux de ces différents bâtiments. Pour enfin en venir à la description du projet des scénographes d'équipement.

Profession du spectacle --- Théâtre --- Scénographie --- Belgique

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L'évolution des commerces, conséquence de la révolution industrielle du XVIIe siècle, provoque une concentration commerciale de plus en plus importante dans les villes. Les lieux de commerce deviennent alors des endroits de distraction et de communication avec une diversité fonctionnelle désormais indispensable pour attirer un maximum de clientèle. L'emplacement des bâtiments au sein de la ville devient stratégique. La fonction architecturale prend alors tout son sens: il y a obligation de s'inscrire dans le tissu urbain tout en créant de l'animation. En plus de cela, l'architecture doit conférer une identité au bâtiment, permise grâce à des interventions esthétiques et à l'apport de lumière naturelle. Le Bâtiment Anspach de Bruxelles illustre bien ces propos. Alliant art, architecture et lumière, ce complexe multifonctionnel, entouré d'artères commerciales et situé en plein coeur de Bruxelles, sert de lieu de passage, d'habitation, de shopping et de divertissement. Afin de rendre le lieu plus attractif et plus agréable, le développeur du projet, AG Real Estate, a fait appel à des bureaux d'architecture pour apporter une note contemporaine à ce bâtiment. Il a également sollicité un artiste, Vincent Strebelle, qui est intervenu à plusieurs reprises au sein du bâtiment. Additionnés avec de la lumière naturelle, les effets de ces interventions provoquent à la fois un impact sur l'environnement par la mise en valeur du bâtiment et un impact émotionnel sur les visiteurs qui prennent le temps de les observer. La collaboration entre les différents intervenants est essentielle à la bonne cohabitation de l'ensemble. De plus, ce dialogue entre l'art, l'architecture et la lumière apporte une réelle plus-value et confère une identité au bâtiment qui varie en fonction du ressenti de chacun. Cependant, dans le cas de l'Anspach, malgré les efforts fournis au niveau de l'esthétique du bâtiment, les gens, souvent pressés, y prêtent rarement attention. De plus, les interventions ne sont pas assez valorisées: il y a des lacunes auxquelles on pourrait remédier et qui permettraient de susciter l'attention des visiteurs.

Bâtiment commercial --- Strebelle, Vincent --- Bruxelles