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dirigeant d'entreprise --- actionnariat de l'entreprise --- gouvernement d'entreprise

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Il fut un temps où l’Architecture, c’était naturellement l’architecture pour tous, en lien avec l’économie et les évolutions sociales. Dans un certain sens, Jean-Louis Cohen a témoigné lors de la dernière Biennale de cette énergie politique, de la mobilisation de l’industrie, de la créativité nécessaire pour étendre le plus largement possible les effets de l’architecture. Nous avons été baignés de ce positivisme. Le travail de Gropius et de Taut – des dizaines de milliers de logements, pour tous, à une qualité optimale –, les engagements humanistes d’Alvar Aalto, l’inventivité généreuse de Prouvé, l’extraordinaire bouillonnement sur le logement, encore dominant il y a vingt ans, est notre héritage. Il faut dire qu’il naquit dans un siècle traversé par deux guerres, qui nous laissa, à deux reprises, exsangues et dévastés, où il fallut reconstruire, puis croître, à toute vitesse. Souvenons-nous que la maison Domino de Le Corbusier est une réponse aux désastres des premiers mois de la « Grande Guerre » autour de la frontière belge. Nous étions il y a près d’un siècle dans l’état que les réfugiés d’aujourd’hui ont quitté. Assoupis désormais dans le confort déclinant qui est le nôtre, il faut qu’Aravena nous secoue, et restaure comme une évidence la nécessité de cet engagement passé. Dans cet ouvrage, il s’agit d’abord et avant tout de la formalisation éditoriale d’un propos plus large que le projet scénographique – à savoir, un état des lieux de la France péri-urbaine, et de la transformation de son quotidien. Cet état des lieux se manifeste surtout par une campagne de recension de projets d’architecture auprès d’acteurs locaux, et notamment des Ecoles nationales d’Architecture, qui permettent au livre d’approcher de cette masse critique: au total, près de 150 projets sont documentés dans le livre, qui déploie par ailleurs un discours crtique lié aux thématiques générales de l’exposition. Le thème, nouvelles du front, proposé par le commissaire général de la 15e Biennale d'architecture de Venise, Alejandro Aravena, a pour objectif de penser l'architecture comme un combat pour l'amélioration de la qualité de vie. Le projet développé par l'équipe OBRAS et le collectif AJAP 14 pour le Pavillon français témoigne des expériences architecturales françaises qui innovent dans ce sens. .

Aménagement du territoire --- Modernité --- Production de l'espace --- Projet d'urbanisme --- Ressources naturelles --- Obras --- Architecture --- 72.07 --- 712.039 --- 72.039(44) --- Biennale van Venetië (2016) ; 15de internationale architectuurtentoonstelling --- Collectif AJAP14 ; Collectif d'Architectes et Paysagistes --- Obras architectes ; opgericht door Frédéric Bonnet --- Bonnet, Frédéric °1965 (°Firminy, Frankrijk) --- Architectuur ; stedenbouw ; Frankrijk ; 21ste eeuw --- Architecten. Stedenbouwkundigen A - Z --- Geschiedenis van de stedenbouw ; 2000 - 2050 --- Architectuurgeschiedenis ; 2000 - 2050 ; Frankrijk --- Exhibitions --- History --- Histoire --- Expositions --- International Architectural Exhibition --- Urbanism --- Exhibitions.

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Iconography --- Art --- Sculpture --- outdoor sculpture --- art [discipline] --- public art --- rivers --- public spaces --- sculpting --- water [inorganic material] --- Wurm, Erwin --- Buren, Daniel --- Hein, Jeppe --- Leccia, Ange --- Séchas, Alain --- Los Carpinteros --- Bouchain, Patrick --- Kawamata, Tadashi --- Maruyama, Kinya --- McIntosh, Thomas --- Nishi, Tatzu --- Popp, Julius --- Sorin, Pierrick --- Tschiember, Morgane --- Heide, van der, Edwin --- Varini, Felice --- Yan Pei-Ming --- Kapoor, Anish --- O, d', Honoré --- Cuevas, Minerva --- France

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How to move from an architectural subject to a new type of landscaping proposal? How to recover a natural hill simultaneously iconic of the city and arid face of 120 metres in altitude? How to cede back to the city and to its inhabitants, this space as a community place and link between contrasted district, while managing problems of consolidation, safety and access? The two architects Marc Bigarnet and Frédéric Bonnet, runner-up of the Europan 3 competition for this site in Alicante, propose a project put together in successive strata, discussed and negotiated one by one. Each stratum is a distinct point of view on the park in the process of gestation (consolidation's and irrigation's infrastructures, access, walkways, views, lights, uses, vegetation...) Final project is a park linking two worlds: raw nature, burnt by the sun and the swarming city, hunched at their feet. Dropping 120 metres in altitude, the walker travels from the public urban space -date palms, white marble gardens- to the wild foot of the cliffs beaten by the salt-laden wind -sedum, Aleppo pine, bare rock, in passing by several buildings open onto panoramic views or Ereta Square: exhibition hall, restaurant, cafeteria and also a great expanse of shade, gardeners' and wardens' shelter and a multipurpose hall linked to the district. Both locals and visitors experience the shared link that unites contrasted districts, can recognise the power of a greater territory, Mediterranean and luminous, opening onto elsewhere.(extrait du site http://www.europan-europe.com/pages_eng/publication/realisations1.php)

Environnement --- Espace urbain --- Europan --- Parc urbain --- Paysage --- Bigarnet, Marc --- Bonnet, Frédéric --- Alicante --- Espagne

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La mondialisation contemporaine ne se résume pas à une simple mondialisation économique. Elle correspond aussi à une mondialisation urbaine. L'urbanisation contemporaine signifie que les moeurs urbaines se diffusent dans l'ensemble des territoires et affectent tous les paysages. Habiter se décline pour tous, à toutes les échelles et à toutes les vitesses. Le global est partout dans le local, le devenir urbain passe par l'interconnexion matérielle et immatérielle. Il n'y aura de mondialisation urbaine habitable et soutenable que celle qui associe le global et le local. L'esprit de la ville est celui de la cité et de la démocratie. La démocratie politique ne peut pas se soustraire aux exigences de la démocratie sociale et de la démocratie urbaine.» Tel est le manifeste de Tous Urbains, une revue qui tente de réagir aux défis urbains de notre temps.