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Film
Batalla en el cielo DVD
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Mexique, France, Mantarraya Producciones, Société parisienne de production,

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Abstract

Marcos Hernández, un chauffeur métis d'un général, kidnappe avec l'aide de sa femme un enfant, qui meurt de manière accidentelle. Marcos en est très éprouvé. Il se confie à Ana, la fille de son patron, une fille qui se prostitue par plaisir.Marcos sombre dans l'abîme et entraîne avec lui Ana lors d'un pèlerinage étrange à la basilique Notre Dame de Guadeloupe.

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Film
Suzhou He DVD
Authors: --- ---
Year: 2000 Publisher: Chine, Allemagne, Essential Film Produktion GMBH, Euripide Distribution,

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Abstract

Un vidéaste tombe amoureux d'une strip-teaseuse, parfait sosie d'une jeune fille qu'il a aimée... L'histoire lyrique et passionnée d'un amour impossible entre deux êtres qui se dédoublent. Un très beau conte moderne, mis en scène avec grâce. Envoûtant. Mardar, coursier à moto dans les rues de Shanghai, mène une vie sans histoires. Jusqu'au jour où il fait la connaissance de Moudan, la fille d'un riche homme d'affaires. Celui-ci l'a chargé de promener la jeune fille dans les rues de la ville. Bientôt, Moudan séduit Mardar et ils deviennent amants. Mais Mardar est lié à une bande de malfrats qui projettent de kidnapper la jeune fille et obtenir une rançon. Apprenant le rôle joué par celui qu'elle aime, Moudan s'échappe et se jette dans la rivière Suzhou. Quelques années plus tard, Mardar sort de prison. Dans un bar, il tombe nez à nez avec Meimei, le sosie parfait de Mo.

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Film
Hundstage DVD
Authors: --- ---
Year: 2001 Publisher: Autriche, The Coproduction Office, Allegro Film,

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Abstract

Sous le poids de la canicule, six histoires qui dérangent. La première fiction du documentariste autrichien Ulrich Seidl qui met en scène la monstruosité ordinaire de notre quotidien. Dans une boîte de nuit, Mario, un jeune homme survolté, provoque tous les hommes qui regardent Klaudia, sa petite amie. Le couple se rend ensuite sur une aire d'autoroute et commence à faire l'amour quand Mario reproche à sa compagne de se comporter comme une pute. Débute alors un kaléidoscope de scènes où s'entrecroisent six histoires situées dans une banlieue résidentielle de Vienne pendant deux jours de canicule...

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Film
Sans filtre
Authors: --- ---
Year: 2023 Publisher: [France] : M6 Vidéo,

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Abstract

Après la Fashion Week, Carl et Yaya, couple de mannequins et influenceurs, sont invités sur un yacht pour une croisière de luxe. Tandis que l’équipage est aux petits soins avec les vacanciers, le capitaine refuse de sortir de sa cabine alors que le fameux dîner de gala approche. Les événements prennent une tournure inattendue et les rapports de force s’inversent lorsqu’une tempête se lève et met en danger le confort des passagers. Le triangle de tristesse est une expression utilisée par les chirurgiens esthétiques pour nommer cette zone entre les yeux où l’on peut lisser les rides au Botox. Cela devait être aussi le premier titre français de Triangle of Sadness, dont le récit structuré en trois parties débute par les aléas d’un couple de mannequins qui ne cesse de se chamailler pour des histoires d’argent. Carl (Harris Dickinson) est moins célèbre (donc moins rémunéré) que Yaya (Charlbi Dean Kriek); aussi le jeune homme reproche-t-il à son amie sa radinerie et son conformisme genré: c’est toujours lui qui doit sortir la carte bancaire au moment de payer la note des restaurants et autres dépenses. Carl et Yaya sont jeunes, beaux, riches, mais sans doute « superficiellement superficiels », comme aurait dit Max Ophüls. Leur mésentente fait écho au conflit du couple de bourgeois en vacances à la montagne dans Snow Therapy (Prix du Jury Un Certain Regard 2014). Et le ton décalé de leurs propos nous plonge d’emblée dans l’univers corrosif de Ruben Östlund, découvert en France avec Play (Quinzaine des Réalisateurs 2011). Ce début peut convoquer aussi des références externes, comme The Pillow Book de Peter Greenaway, qui se déroulait lui aussi, en partie, dans l’univers de la mode, avec deux amants borderline. La série de scènes constitue en fait le premier volet d’un récit en trois parties, les deux autres montrant une croisière de luxe suivi d’un séjour dans une île, auxquels participent nos deux tourtereaux. Des personnages pittoresques complèteront la galerie, d’un commandant de bateau américain anticapitaliste et ivrogne (Woody Harrelson) à un Russe nouveau riche farceur (Zlatko Burić), en passant par une femme de ménage asiatique se révoltant contre sa condition de prolétaire opprimée (Dolly de Leon). Ruben Östlund signe peut-être avec ce long métrage son film le plus jouissif. Les gags de la seconde partie sont désopilants et ont déclenché les plus grands rires des festivaliers cannois, peut-être depuis Toni Erdmann de Maren Ade. Le réalisateur met en scène un véritable jeu de massacre sur les rapports de classe et de genre, tout en privilégiant une ambiance irréelle et fantasque, avec une inspiration qui semble ici à son sommet. Un "huis clos en plein air" avec un microcosme disparate est dans la lignée de The Square (Palme d’or Cannes 2017), et Östlund réussit (en mode parodique certes) ce que M. Night Shyamalan avait loupé dans le récent Old. Et le réalisateur n’hésite pas à dynamiter le politiquement correct, comme l’atteste le sort d’un âne guère plus chanceux que ceux de Robert Bresson dans Au hasard Balthazar ou Jerzy Skolimowski dans EO (Hi-Han). Avec le recul, le présent métrage constitue selon Östlund « le dernier pan d’une trilogie sur la condition du mâle contemporain, qui aurait débuté avec Snow Therapy et The Square mais s’est imposée en tant que telle un peu à son insu » (Le Film français). Les deux heures et trente minutes pendant lesquelles se déroulent cette narration se savourent avec délectation tout en témoignant avec brio des névroses contemporaines.

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Film
Paradis: Amour
Authors: --- --- ---
Year: 2016 Publisher: [France] : Blaq Out,

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Abstract

Une femme mûre part séjourner au soleil, dans un village vacances de la côte du Kenya. Sur les conseils d’autres pensionnaires autrichiennes, elle décide de se laisser aller et d’avoir une liaison avec l’un des nombreux jeunes hommes noirs qui gravitent autour de l’hôtel… L'auteur autrichien Ulrich Seidl est un cinéaste singulier qui sait prendre son temps pour composer des plans signifiants et créer chez le spectateur un certain malaise, renvoyant ce dernier à ses propres attitudes ou comportements, même les plus indignes en termes de traitement de ses semblables. Après « Import - Export », Seidl traite à nouveau de sexualité et plus particulièrement de prostitution. « Amour » est, en outre, le premier volet d'une trilogie sur les paradis (les thèmes suivants seront consacrés à la foi et à l'espoir). Avant de plonger son héroïne dans un village-vacances de la côte du Kenya, il commence par poser sommairement, en quelques plans, les bases des frustrations de celle-ci: un boulot dédié aux autres (des handicapés), une adolescente scotchée à son portable qui communique à peine avec elle et un surpoids évident. La voilà donc prête à plonger dans un monde contrasté, au soleil accablant et à la chaleur potentiellement libératrice. Avec les quelques scènes d'installation dans l'hôtel, Seidl, en fin observateur, se joue des clichés (la photo ratée des singes sur le balcon, que le gardien tire au fusil...), mais pose les contradictions entre attitude en apparence ouverte et respectueuse, et méfiance pleine d'a priori. Ainsi son personnage principal désinfecte le moindre recoin de sa chambre avant de rejoindre une autre cliente opulente au bar, permettant à l'auteur de capter au passage quelques conversations sur les noirs qui sentent la noix de coco, se ressemblent tous et en ont forcément « une » très grande. Les fantasmes sont donc savamment entretenus entre touristes argentés décrits comme une bande d'européens racistes envers un peuple dépendant entièrement du tourisme. Certains reprocheront à l'auteur d'en faire parfois trop dans la signifiance, comme avec sa scène d'ouverture, ballet d'auto-tamponneuses conduites par des déficients mentaux, qui comme tous êtres humains sont donc voués à se prendre des coups. Mais il faut bien avouer qu'Ulrich Seidl sait composer ses plans et générer un rire amusé (les touristes ressemblent à des bancs de sardines séchant au soleil...) tout en délivrant un message sous-jacent des plus justes. Dans leur hôtel d'Afrique, les clients constituent une bande de désœuvrés qui sont là pour « n'avoir aucun effort à faire », s'adonnent à des jeux idiots avec leurs sandales, parlent de choses fondamentales comme la chirurgie esthétique, laissant leurs frustrations s'exprimer (« Si j'avais ton look, j'oserais divorcer ») et devenant progressivement odieux. Ils profitent ainsi de la différence linguistique pour traiter les employés comme des moins que rien (voir la comparaison du barman avec la figure de la marque « Banania »). Progressivement, l'auteur dresse un constat sans appel sur l'apartheid qui règne dans le pays, entre riches blancs oisifs et noirs miséreux, prêts à vendre n'importe quoi, même leur corps, pour quelques pièces. Il compose ainsi quelques tableaux saisissants, comme celui montrant des vacanciers alignés sur leurs transats, séparés d'indigènes immobiles, debout sur la plage, par une corde que suit un policier chargé de faire respecter cette ségrégation économique et sociale. La deuxième partie du film, plus répétitive, suit notre héroïne dans ses mésaventures avec des locaux forcément plus intéressés par l'argent que par son cœur. Laissant le temps à ces scènes de distiller un certain malaise, qu'il s'agisse de décrire la pression des marchandages incessants, ou l’hypocrisie de sessions d'apprentissage du sexe devenant peu à peu dirigistes, il n'épargne personne et épingle le comportement des deux camps. D'un côté il y a un système africain totalement vicié par les écarts de revenus, où la mendicité a appris à cacher son nom. De l'autre, il y a des hordes de touristes frustrés et partisans du moindre effort, qui ne croient pas un seul instant à leur propre discours sur l'amour, mais ressentent une indéniable culpabilité face à la pauvreté. Les faux-semblants et les discours faciles prennent alors le dessus, masquant les comportements les plus indignes sous un vernis de générosité ou de charité. Brillamment, le scénario réussira à montrer comment des clientes en quête d'une prétendue relation, peuvent basculer elles-mêmes dans une forme de harcèlement et traiter en objet le premier homme venu. Dénonçant ainsi l'empoisonnement de toute rencontre par l'argent, Ulrich Seidl nous confirme avec douleur et force humour noir que ce dernier ne fait pas le bonheur... mais que le sexe non plus.

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Film
Riget - Part 1 DVD
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 1994 Publisher: Danemark, France, Allemagne, Suède, Cinéart, TwinPics,

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Abstract

Il se passe des choses louches à l'hôpital Kingdom. Derrière la façade de la science purement rationnelle, règne le chaos. Les médecins magouillent avec les patients et les organes, des dossiers diparaissent sans laisser de traces et une tête s'est mystérieusement volatilisée. Sans oublier l'esprit de cette jeune fille assassinée en 1919 qui hante les couloirs froids de l'hôpital à la recherche de paix et de calme. Son espoir se fonde sur une vielle patiente considérée comme folle par le personnel soignant, mais qui se promène dans des sphères qui dépassent l'esprit rationnel des médecins...

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Film
Zanan-e bedun-e mardan DVD
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2009 Publisher: Allemagne, Autriche, France, Essential Filmproduktion GmbH, Coop99 Filmproduktion, Société Parisienne de Production,

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Abstract

A Téhéran, en 1953, un putsch militaire, fomenté par la CIA et le shah d'Iran en exil, renverse le Premier ministre Mohammed Mossadegh. Dans ce contexte trouble, quatre femmes cherchent à échapper à leur destin. Munis tente de s'engager politiquement malgré l'interdiction de son frère, religieux orthodoxe, qui espère la marier. Faezeh, sa meilleure amie, ressent pour celui-ci un amour secret. Zarin, une jeune prostituée, s'enfuit de sa maison close. Fakhri, une femme d'âge mûr, est en butte aux humiliations que lui inflige son mari, un militaire de haut rang. Toutes cherchent refuge dans un verger merveilleux, aux portes de la ville...

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Film
Little Joe
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2020 Publisher: [Paris] : Blaq Out,

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Abstract

Alice est une phytogénéticienne chevronnée qui travaille pour une société spécialisée dans le développement de nouvelles espèces de plantes. Elle a conçu une fleur très particulière, rouge vermillon, remarquable tant pour sa beauté que pour son intérêt thérapeutique. En effet, si on la conserve à la bonne température, si on la nourrit correctement et si on lui parle régulièrement, la plante rend son propriétaire heureux...

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Film
Club Zero
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2024 Publisher: [France] : Blaq Out,

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Abstract

Miss Novak rejoint un lycée privé où elle initie un cours de nutrition avec un concept innovant, bousculant les habitudes alimentaires. Sans qu’elle éveille les soupçons des professeurs et des parents, certains élèves tombent sous son emprise et intègrent le cercle très fermé du mystérieux Club Zero… L’année dernière, avec Sans Filtre, Ruben Östlund remportait la deuxième Palme d’or de sa carrière seulement six ans après The Square, et réactivait au passage une certaine mythologie cannoise attachée au scandale (façon La Grande Bouffe, avec en moins la pertinence de sa puissante charge politique). Avec sa scène de dégueulis collectif, le cinéaste suédois affichait son ambition d’agitateur moqueur et satirique et donnait à voir une vision assez limpide de son cinéma, celle d’une misanthropie à vomir. À Jessica Hausner, cette année en compétition avec Club Zero face à un Ruben Östlund cette fois-ci président du jury, de proposer à son tour son “moment dégobillage” (ici réingurgité dans un film qui se nourrit de son propre vide) et de sa vision lugubre de l’humanité. Elle porte ici les traits grisâtres de Mia Wasikowska (plus fantomatique que jamais), professeure de nutrition et bientôt gourou d’une classe de lycéens·nnes sous emprise de son “alimentation consciente”, précepte qui prône d’adopter une consommation quasi nulle de nourriture comme riposte philosophique à la surconsommation. L’occasion rêvée pour la cinéaste autrichienne de déployer les grands atours d’une mise en scène en toc, mécanique, entièrement bâtie sur des effets de suspens anti-spectaculaires, réduits à l’utilisation abondante de zooms et une bande-son harassante (de brefs et assourdissants coups de percussions comme métaphore d’un compte à rebours funeste). Objet rigide et exsangue, Club Zero ne parvient jamais à s’élever au-dessus de cet ahurissant spectacle de vaines provocations. Si le film de Jessica Hausner apparaît aussi inepte et consternant, c’est qu’au-delà de son très maigre et paresseux dispositif formel semblable à un algorithme, il se révèle également d’une pauvreté intellectuelle et politique criante. En condamnant ces jeunes écolos, pensant trouver dans ces nouvelles méthodes nutritives une résistance face à l’opulence capitaliste, elle joue le dangereux jeu des amalgames. En les assimilant aux adeptes radicaux d’une religion sans nom, elle nie une part de leur combat et ne propose aucune autre perspective à leur détresse que celle d’un monde saccagé ou d’un suicide collectif.

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Film
Rimini
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2023 Publisher: [France] : Damned Films,

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Abstract

Après avoir enterré sa mère et rendu visite à son père en hospice, Richie retourne à Rimini, dans sa maison pour redevenir Richie Bravo, chanteur et tapin connu localement. Mais nous sommes hors saison, et les fans comme les clientes sont peu nombreuses… La scène d’ouverture donne le ton: une brochette de dix petits vieux, avec leurs déambulateurs, chante à la manière d’une chorale désorganisée. Le sujet de la vieillesse ou plutôt de la disparition sera au cœur de ce nouveau métrage signé Ulrich Seidl, réalisateur autrichien de "Import Export" et de la trilogie "Paradis" ("Amour", "Foi", "Espoir") qui nous plonge ici une nouvelle fois dans un monde sordide, avec un sens de la dérision dont il a le secret. Comme toujours le décor a son importance, tout comme la composition des plans, revêtant ainsi une signification que certains trouvent parfois trop appuyée, mais qui enfonce souvent le clou de points de vue politiques ou sociaux pertinents. Les migrants sont ainsi omniprésents, seuls êtres humains dans les rues de Rimini, silencieux, regroupés ici, endormis là, dans le froid grandissant de cette station balnéaire italienne hors saison, bientôt recouverte de neige. Les autrichiennes, elles, occupent les hôtels de luxes, ou s’offrent en location la maison de leur idole, celui-ci allant loger ailleurs quelques temps. Quand elles ne s’offrent pas tout court l’homme, dans toute la fausseté de leur relation, impliquant argent, sexe plus ou moins bestial mais toujours triste, et compliments formatés. Seidl excelle dans cette peinture de la chair triste, utilisant ici des lieux particuliers, tel un hôtel désaffecté comme haut lieu de dépravation. Donnant souvent dans l’ironie (les photos de nature qui ornent chacune des portes de la maison de repos dans lesquels sont enfermés les vieillards, le nombre de fans venant voir le spectacle de la « star », le nom d’un des hôtels qui est L’hôtel du soleil, alors qu’il vente, pleut ou neige...), le récit prend sa réelle dimension dans la rencontre du personnage principal avec celle qui prétend être sa fille, questionnant la capacité de ce personnage (incarné à la perfection dans sa décadence et sa tentative de faire revivre un passé supposé glorieux de crooner par Michael Thomas, vu chez nous dans la série "Rex, chien flic"), à s’intéresser à quelqu’un d’autre qu’à lui-même et à se projeter plus que regarder vers le passé. Un thème qui revient d’ailleurs de manière plus politique avec le personnage du père sénile, visiblement encore porté par des courants nauséabonds. Ulrich Seidl dépeint au final avec acuité une certaine forme de chant du signe d’une culture à laquelle la jeunesse semble tourner le dos, lui signifiant ainsi son caractère non irremplaçable.

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