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Popular culture --- Social classes --- Culture populaire --- Classes sociales --- History --- Histoire --- France --- Civilization --- Culture, Popular --- Mass culture --- Pop culture --- Popular arts --- Communication --- Intellectual life --- Mass society --- Recreation --- Culture --- Class distinction --- Classes, Social --- Rank --- Caste --- Estates (Social orders) --- Social status --- Class consciousness --- Classism --- Social stratification --- Popular culture - France - History - 18th century --- Social classes - France - History - 18th century --- France - Civilization - 1789-1830 --- FRANCE --- VIE INTELLECTUELLE --- HISTOIRE --- 1789-1799 (REVOLUTION) --- Vie intellectuelle
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Village communities --- Political participation --- Communautés rurales --- Participation politique --- History --- Histoire --- France --- Peasantry --- Communautés rurales --- Peasantry - France - History - 18th century.
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EN 1773, la révolte de Pougatchev aux marges de l’Oural et la « partie de thé » de Boston inaugurent une « ère des révolutions » qui touche de nombreux états européens, ainsi que leurs colonies américaines et atlantiques. En 1802, la paix d’Amiens permet une trêve dans un continent en guerre depuis une décennie ainsi qu’une stabilisation des processus révolutionnaires ou indépendantistes. Entre ces deux dates (le temps d’une génération) des révoltes séculaires se transforment parfois en « révolutions », inscrites dans des espaces et des contextes particuliers : révolution américaine, genevoise, batave, domingoise (Saint-Domingue), rhénane, belge, polonaise, française, italiennes. Quels fils, quelles influences relient ces événements si complexes ? Quelle est la part de la résistance au despotisme éclairé, de la percée des Lumières et du droit naturel de la « république des lettres » européenne dans l’éclatement des révoltes ? Quelles sont les influences respectives des révolutions américaine et française dans la construction d’un nouvel espace politique, civique et l’émergence des identités nationales ? Une réflexion comparative sur les révolutions (causes, acteurs, pratiques, acquis) est possible, en particulier autour des déclarations des droits et des constitutions, des contours de la démocratie (votes, opinions publiques). Elles s’imposent quant aux décalages entre les grands principes (libéralisme, égalitarisme) et la condition faite aux catégories marginalisées : étrangers, femmes, esclaves, indigents, autochtones dans les colonies. Les droits des hommes et les droits des peuples entrent en contradiction avec des structures diplomatiques et militaires, de la « paix au monde » (1790) à la guerre qui « nourrit la guerre », sous le Directoire. Cet essai rapproche des historiographies nationales longtemps concurrentes ou indifférentes les unes aux autres, comme celles des exceptions américaine et française. De l’immense écho de l’année 1789 à l’occupation d’une…
Revolutions --- Enlightenment --- Révolutions --- Siècle des Lumières --- History --- Influence. --- Histoire --- Influence --- Europe --- America --- Amérique --- Politics and government --- Politique et gouvernement --- Révolutions --- Siècle des Lumières --- Amérique --- Socio-political history --- 18th-19th centuries --- Americas --- New World --- Western Hemisphere --- Revolutions - Europe - History - 18th century. --- Revolutions - America - History - 18th century. --- Enlightenment - Influence. --- Russie --- résistance politique --- révolutions --- XVIIIème siècle --- Mouvement des Lumières --- 18e siècle --- 1789-1815
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Georges Danton, exécuté en avril 1794 (germinal an II), place de la Révolution est l'un des « trois hommes formidables » (Victor Hugo) qui dirigea la Première République française, avec Marat et Robespierre, dans les rangs de la Montagne. Rarement un responsable politique aura été autant encensé par les uns, au moment du centenaire de 1789, puis accusé par les autres, entre 1910 et 1930. Les historiens « dantonistes » ont célébré l'homme de la Patrie en danger (août 1792), de l'abolition de l'esclavage (février 1794). Les historiens « anti-dantonistes » ont dénoncé les compromissions politiques et la vénalité de celui qui voulut « épargner le sang des hommes » alors qu'il avait participé aux massacres de Septembre 1792 et à la mise en place de la Terreur, avant d'en être une de ses victimes, à 34 ans. Le présent ouvrage se propose de donner des clefs aux lecteurs pour comprendre qui fut finalement Danton. Dans un premier temps, il s'attache à restituer son histoire, entre la naissance à Arcis-sur-Aube (1759) et la guillotine (5 avril 1794) : tour à tour agitateur Cordelier, ministre de la Justice, dirigeant du Salut public au printemps 1793, Indulgent avant son procès tragique. Ensuite, sont analysés les regards croisés de ses contemporains, amis, alliés ou adversaires, pour connaître l'homme, privé et public, son charisme et ses faiblesses. L'historien montre enfin comment les mythes de Danton, personnage hors du commun, ont été amplifiés par l'histoire, les médias, les arts, l'enseignement, l'opinion publique. Dépasser les procès d'intention, les légendes, noire ou dorée, de Georges Danton : tel est l'objet de ce livre, au plus près des archives, des témoignages, des coups d'éclat et des failles de cet homme, Danton, qui incarna au plus haut point le destin de sa patrie, dans les avancées comme dans les contradictions d'une Révolution fondatrice.
Danton, Georges Jacques, --- France --- History
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Détesté par les uns, adulé par les autres, Jean-Paul Marat est le plus controversé et le plus méconnu des grands acteurs de la Révolution française. Médecin et penseur au temps des Lumières, il subit l'hostilité ou l'indifférence de Voltaire et de Condorcet. Journaliste engagé, Marat illustre l'explosion de la presse d'opinion, le quatrième pouvoir, à travers son quotidien, l'Ami du Peuple, au fil de 685 numéros souvent censurés et publiés dans la clandestinité. Élu à la Convention, accusé d'aspirer à la dictature, associé à Danton et Robespierre, il est acquitté triomphalement par le Tribunal révolutionnaire, avant d'être assassiné, le 13 juillet 1793, par Charlotte Corday. Après sa mort, sublimée par le tableau de David, commence pour Marat une existence posthume, non moins agitée que la première. Héros d'un culte inouï rendu au « martyr de la Liberté » pendant la Terreur, il devient ensuite un anti-héros absolu, victime d'une « dépanthéonisation » spectaculaire. Dès lors, des mythes tenaces, des légendes inconciliables – dorée ou « maratiste », d'un côté, noire ou « anti-maratiste », de l'autre – s'affrontent et brouillent notre compréhension du personnage. Recentrant les analyses sur les documents et les archives, donnant la parole au principal intéressé, Serge Bianchi se propose de réduire, voire d'abolir, le fossé creusé entre ces mémoires si contrastées et la biographie de celui qui se voulut « l'Ami du Peuple ».
Marat, Jean Paul, --- France --- History
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PRENOMS --- NOMS DE PERSONNES --- PRENOMS --- NOMS DE PERSONNES
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