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Aujourd’hui, le centre commercial est un sujet d’actualité suite à son influence sur notre manière de vivre et de consommer autour de nouveaux espaces. Son importance relève également de son rôle aux yeux des politiques publiques dans les stratégies de marketing territorial et des défis environnementaux concernant la gestion des territoires. D’abord excentrés dans les banlieues puis de retour en ville suite à une ré-enchantement de la consommation au travers du « fun shopping », les centres commerciaux font débats quant à leurs répercussions sur le tissu urbain existant. Au travers de l’étude de cas de la Médiacité, établie dans le quartier populaire du Longdoz, nous tentons d’établir la pertinence et les enjeux environnementaux, sociaux et politiques des centres commerciaux en milieu urbain.
Centre commercial --- Médiacité --- City Branding --- Marketing territorial --- Architecture iconique --- Centre urbain --- Fun shopping --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Ce travail de recherche vise à approfondir la compréhension du quartier de Liège-Guillemins, qui s’est vu profondément se métamorphoser ces dernières années. Pour ce faire, elle propose une nouvelle lecture du site en utilisant des méthodes basées sur le photomontage. Par la représentation d’actions et des scénarios d’aménagement sortant du cadre normatif, ils tendent à révéler les caractéristiques d’un espace produit par une architecture spectaculaire. De cette manière, les photomontages ont pour objectif de participer à l’émergence d’une prise de conscience citoyenne que des moyens alternatifs de fabriquer la ville sont possibles, et que dés le départ, les décisons prises en ce qui concerne l’aménagement du territoire sont trop éloignées des besoins des habitants, qui pratiquent quotidiennement les lieux. Ainsi, ce travail nourrit la réflexion de la situation présente du quartier, il prend une posture critique à l’égard d’un urbanisme interventionniste tablant avant tout sur l’espace négligeant le temps
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L’objectif de ce travail de fin d’étude est d’offrir au lecteur et aux auteurs de projets paysagers, un large aperçu du lien entre le paysage et la sensibilité d’un individu, ainsi qu’un outil de recherche pour les professionnels travaillant sur une question de cheminement. Il les sensibilise aux particularités de l’expérience de la promenade en tant qu’activité sociétale et porteuse d’émotions, et leur apporte des outils de recherche afin de gérer, selon des types d’attentions spatiales et sensibles, la morphologie des paysages dans le cadre d’un projet de cheminement. La recherche sera nourrie par une étude du cas du RAVeL de l’Ourthe entre Liège et Esneux.
paysage --- sensibilité --- cheminement --- scénographie --- promenade --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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En partant de la ZAD d'Arlon et du site de la Sablière sur lequel elle a pris place, ce travail analyse nos modes de relations au territoire. Ce territoire particulier nous permet d'observer, dans un premier temps, toutes les forces qui entrent en jeu, les acteurs qui s'entrecroisent et les influences qui s'appliquent sur un site précis. La ZAD, en tant qu'occupation alternative, permet de tirer des enseignements, et ainsi de s'en inspirer pour le futur de nos pratiques de concepteurs, architectes et urbanistes.
ZAD, --- Territoire --- Occupation --- environnement --- mouvements alternatifs --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Ce travail de fin d'études a pour but d'étudier une édition des Jeux olympiques de l'ère moderne, celle de Tokyo 2020. Inédite à bien des égards, elle a été sujette à de nombreuses nouvelles considérations qui remettent encore en doute le modèle olympique qui prône le marketing des villes hôtes, par l'architecture. Certaines éditions ont désormais une réputation ternie, car elles ont laissé aux villes hôtes des dettes économiques, écologiques et spatiales considérables. L'objectif est donc de relever ces controverses et fragilités du modèle pour les articuler avec la discipline de l'architecture. Pour ce faire, ce sont les outils de l'architecte qui sont utilisés. Au fil du travail, plusieurs méthodologies ont été employées. D’abord, un cadre théorique est posé pour mettre en parallèle les Jeux olympiques avec des concepts sociaux et architecturaux. Ils sont ainsi assimilés à l’hétérotopie de Foucault et aux méga-événements. Ensuite, une étude globale de la ville et de sa culture est effectuée. Toujours en lien avec les Jeux de 2020, soit le cas d’étude et pour répondre à la problématique du travail : « Quelles leçons architecturales doit-on tirer d’une édition vierge de spectateurs et comment est envisagée la reconversion des sites ? » Le corps du travail débute alors par l’analyse des Jeux de 1964, car la capitale japonaise a déjà été hôte des olympiades une première fois et que le discours de l’Héritage étant central dans la stratégie de 2020. Ensuite, le programme de la ville candidate est analysé ainsi que les premières controverses qui s’y adjoignent. Le stade a fait couler beaucoup d’encre, car son architecte, Kuma, n’est pas le lauréat du concours. Le processus a donc été retracé après une note sur le rôle véritable de cet édifice, dont les coûts ont explosés. La deuxième partie du corps de texte est un inventaire des sites utilisés, établi pour les expliquer brièvement et entrevoir leurs stratégies de reconversion. Un retour sur celui-ci montre que des efforts sont réellement faits mais qu'il est difficile de prévoir l'avenir quant à l'attrait des Japonais pour le sport. Par la suite, une cartographie des controverses et de la pluralité des acteurs est réalisée sur base des travaux de Yaneva. Bien que cette cartographie puisse servir de conclusion dans l'analyse de l'édition, une note critique termine le travail. Les cérémonies, véritables symboles de la fragilité du modèle sont utilisées pour ne pas oublier le taux inédit d'inoccupation du lieu. Pour conclure, certaines pistes d'interdiction de bâtir de nouvelles infrastructures ou de mobiliser de trop nombreuses ressources sont évoquées. À plus long terme, une analyse post-olympique pourrait continuer ce travail pour en tirer des conclusions plus pragmatiques sur la reconversion des sites utilisés et ainsi classer l’édition comme succès global ou comme véritable échec d’un modèle olympique bousculé par une situation sanitaire inédite.
marketing --- brandisme --- méga-événement --- olympisme --- reconversion --- controverses --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Ce travail s’intéresse aux modes de conception des écoquartiers, considérés comme des « vitrines » ou « laboratoires » de la ville durable, laquelle se doit de répondre aux enjeux écologiques, économiques et sociaux en référence aux trois piliers du développement durable. Il est illustré par l’analyse de l’écoquartier Tivoli Greencity à Bruxelles, construit sur une ancienne friche située à Laeken dans le quartier Marie-Christine, le long du canal. Une particularité de Tivoli est qu’en plus des objectifs en matière de réduction de l’impact environnemental, l’écoquartier poursuit un objectif de mixité sociale avec près d’un tiers des logements réservés à des locataires sociaux. La question de recherche visait à comprendre comment les imaginaires et représentations des concepteurs orientent les choix faits en matière de dispositifs spatiaux et techniques, en s’intéressant en particulier aux « figures idéales-types » que les concepteurs se font des habitants et de leurs pratiques. Dans le cadre d’un projet d’écoquartier, les rapports entre les valeurs et représentations des concepteurs et les objets architecturaux construits, intègrent une dimension particulière, car ces quartiers sont censés constituer une réponse aux enjeux environnementaux, à condition que l’habitant s’y adapte. Cela implique que des usages « éco-responsables » sont, dès la conception, pensés pour être « imposés » aux habitants des écoquartiers.
Développement durable --- Ecoquartier --- Imaginaire --- Représentation --- Espace conçu --- Discours --- Habiter --- Quartier urbain --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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L’objectif général de cette recherche était de mener des réflexions et des expérimentations afin de réduire la vulnérabilité de nos habitations aux enjeux actuels et futurs, en particulier aux inondations. L’approche se jouait en deux temps. En premier lieu, l’ancrage dans le territoire du bassin versant de la Vesdre, extrêmement impacté par les inondations de juillet 2021, a été atteint à l’aide d’entretiens et d’analyses multiscalaires. Dans un second temps, des expérimentations sur la transformation des maisons mitoyennes en bande ont été réalisées. Cette démarche a abouti à des réflexions sur les changements à apporter à notre manière de vivre dans ces maisons, afin qu’elle soit plus adaptée aux défis environnementaux et sociétaux de notre époque. Avec ce travail, l’impact des inondations de juillet 2021 sur le bassin-versant de la Vesdre a été explicité, en particulier en termes d’infrastructures bâties et de conséquences, au sens large, pour les habitant·e·s. Les prévisions climatiques indiquent un risque accru d’inondations dans cette région, il est donc essentiel de s’y préparer. Afin de contourner les limitations des solutions techniques exposées dans les guides existants, l’approche de ce travail explore un chemin différent, celui de l’adaptation de nos modes de vie. C’est un chemin qui demande d’être au plus près de la réalité et, à la suite de l’analyse du transect comprenant Pepinster et Theux, le choix de la typologie des maisons mitoyennes en bande a émergé. Avec 2913 maisons inondées, cette typologie représente une grande proportion des maisons inondées en juillet 2021 dans le bassin versant de la Vesdre. La recherche par le projet a abouti au constat que l’adaptation aux inondations seule n’est pas suffisante. L’adaptation du bâti et de nos modes de vie doit intégrer l’ensemble des enjeux actuels : potentielles inondations, mais également canicules et des consommations énergétiques liées. Le changement doit être systémique, et il est impératif de prendre conscience de la complexité, en prenant notamment en compte les répercussions d’une action sur une maison à l’échelle du bassin versant et ce qu’engendre une mesure prise à l’échelle du bassin versant sur une maison. Nous avons démontré que le changement des modes de vie permet la réduction de la vulnérabilité aux enjeux actuels et d’être plus en harmonie avec l’environnement, en acceptant notamment une flexibilité dans l’occupation des espaces au sein de la maison, ainsi que des caractéristiques techniques variables entre les espaces. Cette stratégie s’inscrit dans une tactique de repli et dépli, définie dans ce travail par un double procédé : d’abord le regroupement des techniques les plus coûteuses et des fonctions les plus essentielles à la vie de tous les jours dans les étages supérieurs, moins vulnérables aux inondations, ensuite, la migration des occupant·e·s à l’intérieur des espaces habitables selon les phénomènes climatiques, telles que canicule et montée des eaux. Le repli se caractérise par l’utilisation des étages, isolés, lors d’inondations, de travaux de réhabilitations ou par temps 127 froid. Le dépli, quant à lui, permet une utilisation d’un espace étendu, non isolé, lors de périodes de canicules et pour des activités ponctuelles et/ou polyvalentes. Les espaces de dépli, loin d’être des espaces perdus, peuvent devenir de réelles plus-values pour les logements, surtout en termes de modularité. Une autre piste explorée envisageait une évolution vers le vivre-ensemble pour la réhabilitation des habitations après un événement de perturbation. Le passage du concept de propriété individuelle vers des habitats partagés a mené à la réflexion sur la façon dont l’architecte peut concevoir l’habitat groupé sans l’implication d’une collectivité. Ainsi a émergé le constat que l’implication des personnes concernées, des habitant·e·s dans une co construction avec les architectes et d’autres corps de métier est nécessaire pour une réduction de la vulnérabilité lors de la réhabilitation du bâti après perturbation. Dans le cadre de cette posture d’interaction avec les acteur·rice·s, nous avons développé une boite à outils permettant d’ouvrir le dialogue sur certaines thématiques clé et d’amorcer un processus de conception en collectivité. Ce travail a permis de mettre en évidence des pistes d’adaptation pour rendre le bâti moins vulnérable aux enjeux actuels et futurs. Il propose des adaptations de notre manière de vivre dans des maisons mitoyennes en bande du bassin versant de la Vesdre. Le travail a également permis d’ouvrir des réflexions sur d’autres axes de recherche, de potentiels sujets à approfondir, tels que l’adaptation technique du bâti, afin de prendre en compte des changements de modes de vie, ou une réflexion autour de la population en charge de la reconstruction après une catastrophe, en particulier au travers du prisme du genre.
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Le territoire wallon peut être considéré comme polycentrique. Celui-ci est composé d’une multitude de noyaux bâtis, combinant des caractéristiques urbaines et rurales qui s’estompent et créent la ville-territoire wallonne. La révolution industrielle du 19e siècle et le développement d’une série d’infrastructures de déplacement sur rail, sont les principaux facteurs ayant permis le développement de ce territoire. Si ce développement est davantage perceptible au sein du berceau de l’industrie belge du charbon, la majorité des noyaux bâtis préexistants au 18e siècle, ont connu une certaine urbanisation. Cette urbanisation a été permise grâce des politiques visant à éviter une migration vers les centres industriels. Celles-ci ont permis d’une part, à la population ouvrière de se déplacer grâce au ferroviaire vers les centres industriels, pour y travailler, et d’autre part, ces politiques ont poussé les ouvriers à construire leur habitation individuelle dans leur propre village ou hameau et de cette manière, urbaniser leur propre territoire. Cela a produit une urbanisation qui a longtemps suivi les axes de déplacement sur rail. Le territoire wallon évolue et se développe continuellement. Les perspectives annoncent que la Wallonie devra continuer de créer un grand nombre de logements afin d’accueillir les nouveaux ménages. Cependant, ce travail a permis de mettre en valeur deux phénomènes importants liés aux développements de ces dernières décennies. D’une part, le développement important de l’urbanisation au sein des noyaux implantés dans le berceau industriel wallon, bien desservi et équipé. Ce développement produit un étalement (en tache d’huile) de certains grands noyaux urbains, ainsi qu’une disparité importante avec le reste du territoire. Cette grande densité au sein du berceau industriel, provoque une série de phénomènes climatiques : inondations et sécheresses, qui s’expliquent par l’important scellement des sols. D’autre part, la multiplication de la mobilité individuelle provoque, quant à elle, l’apparition de zones d’habitat déconnectées de toute structure de transports publics. Ces zones d’habitat s’implantent partout, grâce à l’automobile. Cela entraine une surconsommation de sols naturels, un desserrement et un émiettement du territoire. Ce travail vise à mettre en évidence des trajectoires permettant d’allier la future demande de logements en Wallonie et les enjeux urbains et climatiques, actuels et futurs. La densification n’est pas uniquement étudiée dans le but de produire des nouveaux logements, mais elle est aussi vue comme capable de régénérer le tissu existant et de laisser une porte ouverte aux évolutions futures de la ville-territoire wallonne.
Ville-territoire --- Densification --- Vesdre --- Mobilité --- Territoire --- Wallonie --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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