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Il existe aujourd'hui plus de 220 millions de noms de domaine, soit plus que le nombre de marques enregistrées dans le monde ! Indispensables à toutes formes d'activités en ligne (commerce électronique, échange d'e-mails, activités citoyennes...), les noms de domaine ont la particularité de pouvoir identifier tant des ressources que des personnes. Une autre spécificité réside dans le fait qu'ils sont régis par un système juridique presque exclusivement privé. Quels sont les pouvoirs des acteurs privés organisant le nommage ? Quel est le contenu des normes qu'ils édictent ? L'ouvrage répond à ces questions, mettant en lumière l'incidence des règles prises par la chaîne des intervenants du nommage sur le statut juridique des noms de domaine. Chaque nom de domaine est unique, mais les prétendants à un même nom peuvent être nombreux. Dès lors, les noms de domaine suscitent de nombreux contentieux, dont cette étude fait la synthèse, en suggérant un moyen juridique permettant la conciliation d'intérêts opposés. Les noms de domaine étant aussi des objets de valeur, pouvant être revendus plusieurs milliers voire centaines de milliers d'euros, cet ouvrage traite également du second marché des noms de domaine, qui connaît un très fort dynamisme, ainsi que des responsabilités des différents intermédiaires de ce marché.
Internet --- Dispute resolution (Law) --- Intellectual property (International law) --- Trademarks (International law) --- Internet domain names --- Règlement de conflits --- Propriété intellectuelle (Droit international) --- Marques de commerce --- Noms de domaine (Internet) --- Law and legislation --- Law and legislation. --- Droit --- Droit international --- Droit d'auteur --- Règlement de conflits --- Propriété intellectuelle (Droit international) --- Internet.
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Présentation de l'éditeur : "Au lendemain de la décision du 10 mars 1999 de la première chambre civile de la Cour de cassation selon laquelle : « l'exploitation du bien sous la forme de photographies porte atteinte au droit de jouissance du propriétaire » 1 , Pierre-Yves Gautier s'interrogeait sur « ce droit de para-propriété intellectuelle qui prend sa source ...dans le Code civil » 2 . Bien avant cette jurisprudence, les droits de para-propriété intellectuelle ont été consacrés, sans réaction doctrinale particulière, par le législateur comme par exemple le droit de l'organisateur du spectacle sportif en 1992. Ces droits n'ont cessé depuis de se multiplier. Le code du patrimoine institue ainsi un droit de reproduction sur l'image des biens du domaine national mais également bien d'autres curiosités. Des droits de propriétés incorporelles portant sur l'image ou sur le nom patronymique sont construits comme de véritables droits de propriétés intellectuelles. Dans le contexte des réseaux sociaux et de l'intelligence artificielle beaucoup suggèrent aujourd'hui de consacrer une propriété sur les données personnelles ou non personnelles. Ce mouvement ne peut laisser le juriste de propriété intellectuelle indifférent. Qu'est-ce qui génère, en effet, cette évolution ? Une spécialisation croissante des droits de propriété intellectuelle ? Un besoin de protection systématique de tout investissement économique ? Sommes-nous en présence de véritables droits autonomes ou de simples droits spéciaux de la propriété intellectuelle ? Cette parapropriété intellectuelle met-elle en œuvre de véritables droits de propriété ou de simples monopoles d'exploitations ? Comment pourrait-on mieux accueillir cette propriété incorporelle, non intellectuelle, au sein du Code civil ou du code de la propriété intellectuelle ? Comment est-ce que les praticiens (juristes d'entreprises, avocats spécialisés dans le droit de la propriété intellectuelle, magistrats) agissent sur cette para-propriété intellectuelle ? L'ont-ils favorisé au moyen du contrat (comme c'est le cas avec le droit de tournée dans le domaine théâtral). De quels outils disposent-ils pour la contester ? Quelle "doctrine" les magistrats adoptent-ils au sujet de cette propriété intellectuelle ? Souhaitent-ils la condamner au nom de la liberté du commerce et de l'industrie ? L'accompagner au nom d'un besoin de réservation de valeurs nouvelles ? C'est à toutes ces questions que le colloque du CUERPI, qui s'est tenu le 24 septembre 2021 au musée de Grenoble, s'est intéressé et plus particulièrement à l'existence (I), l'essence (II) et la défense (III) des droits de para-propriété intellectuelle"
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Présentation de l'éditeur : "La révolution numérique a engendré de nouvelles formes de création et d'exploitation collaboratives qui opèrent selon un mode à la fois cumulatif et itératif, réticulaire et ouvert. L'organisation du colloque est née de la volonté de comprendre si et comment le droit de la propriété intellectuelle peut appréhender ces pratiques d'un nouveau genre, qu'il s'agisse de la conception des créations elles-mêmes (création de logiciels en mode agile par exemple) et de l'organisation contractuelle de leur exploitation (pool de brevets, licences libres, etc.), ou encore de la régulation normative des pratiques et usages et de la gestion collective des droits (traçage numérique des œuvres). Lorsqu'elle est pertinente - ce qui n'est pas le cas pour les données brutes par exemple -, la question d'une propriété intellectuelle partagée se pose. Il s'agit alors de s'interroger sur l'encadrement juridique de la création et de l'exploitation économique des créations intellectuelles, et d'une manière générale, sur les modes de gouvernance des innovations issues de l'économie numérique"
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L’entreprise (de presse, du grand commerce, audiovisuelle, du secteur de l’édition…) est aujourd’hui confrontée à des nombreux défis sur l’Internet. Elle doit être visible sur la toile, ce qui nécessite la conclusion d’un certain nombre de contrats. Elle doit gérer un volume croissant de données personnelles, défendre la réputation de ses produits (ou la considération de ses dirigeants) et veiller à ce que l’outil informatique mis à disposition de ses salariés ne soit pas détourné de ses fins. La numérisation de ses contenus suscite de nouvelles valeurs et appelle des nouveaux modes de protection. La distribution de ses biens ne se fait peut être pas de la même manière que dans le monde réel…Tout ceci nécessite de bien connaître ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui « le droit » de l’Internet. Ce droit, à vrai dire, n’existe pas vraiment. Les règles qui le structurent (si l’on veut bien mettre de côté le droit « spécial » du type loi sur la confiance dans l’économie numérique) sont tirées du droit des contrats, du droit du travail, du droit de la responsabilité, du droit de la propriété intellectuelle...Voilà pourquoi ce nouveau colloque du CUERPI, qui avait pour angle d’attaque l’entreprise et qui privilégiait l’actualité était présentée autour des grands piliers du droit : les contrats, la propriété, la responsabilité… Ont ainsi été envisagées les réformes législatives récentes ou à venir (l’accord du 21 mars 2013 sur le contrat d’édition du livre numérique, le projet de règlement sur les données personnelles, les projets de droit voisin des éditeurs de presse), les pratiques contractuelles nouvelles : (achats de publicité sur l’Internet, convention de distribution en ligne), les évolutions jurisprudentielles prévisibles (sur les liens commerciaux, les liens hypertextes…). Tout ceci sans oublier les nouvelles sources (les règlementations de droit privé que représentent les conditions générales d’utilisation des réseaux sociaux, les chartes d’entreprise, les codes de bonne conduite…).
Internet --- Commerce électronique --- Protection de l'information (informatique) --- Contrats --- Propriété intellectuelle --- Droit --- Electronic commerce --- Contracts --- Data protection --- Intellectual property (International law) --- Intellectual property --- Commerce électronique --- Protection de l'information (Informatique) --- Propriété intellectuelle (Droit international) --- Propriété intellectuelle --- Law and legislation
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À n'en pas douter, le Professeur Jérôme Huet est l'un des plus éminents spécialistes français du droit des technologies numériques, qu'il a enseigné, exploré et confronté à d'autres branches du droit tout au long de sa carrière. Pionnier du droit de l'informatique dans les années 80, Jérôme Huet a, pendant des décennies, scruté l'évolution, parfois galopante, de ces technologies, pour les passer au crible d'une analyse juridique précise et rigoureuse, sans jamais céder à la facilité de présenter les questions nouvelles sous un angle plus technique que juridique. Car c'est en qualité d'éminent civiliste, spécialiste reconnu du droit des contrats et de la responsabilité civile, qu'il a toujours conduit ses analyses. À ce titre, et avec la hauteur de vue qu'autorise la culture civiliste, Jérôme Huet a beaucoup contribué, en France, à une meilleure identification et compréhension des mécanismes juridiques applicables aux activités numériques en mutation, proposant toujours, avec pragmatisme et finesse, les solutions les plus simples et claires. Son magistral Traité de droit des contrats spéciaux, récemment mis à jour avec l'appui de collègues et amis, tout comme son dernier Droit de la musique, nourri de sa passion pour l'art de combiner mélodie, harmonie et rythme, témoignent, à l'image de l'ensemble de sa production doctrinale, de la variété et de l'ampleur de ses thèmes d'étude et d'une curiosité intellectuelle sans cesse renouvelée. C'est pour rendre hommage, à l'oeuvre et à l'homme, que ses collègues, élèves et amis ont tenu à réunir dans cet ouvrage des études portant sur le droit du numérique ainsi que sur des questions d'actualité relevant d'autres de ses matières de prédilection, tels le droit des contrats, le droit de la communication ou le droit de la propriété intellectuelle. Les contributions saluent au passage une personnalité originale, chaleureuse et attachante, un charisme qui aura séduit et porté des générations d'étudiants.
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La personnalité de Robert Badinter se lit à travers la diversité de ses centres d’intérêts et de ses activités. Professeur de droit (sa vocation première), il marquera la seconde moitié du xxe siècle par bien des facettes de son action. Il fut l’artisan de progrès sensibles accomplis dans la défense de la dignité de la personne humaine et de la victoire que constitua l’abolition de la peine de mort. Il a vécu l’engagement politique, l’exercice du pouvoir, les subtilités du contrôle de constitutionnalité et l’éclat des débats parlementaires. Il a promu la création de la Cour pénale internationale, a écrit livres, essais, articles, consultations, une pièce de théâtre, un livret d’opéra ; il a participé à nombre de colloques et de conférences.Intellectuel engagé dans les débats de son temps, conscience morale aux yeux de ses contemporains, c’est avant tout un homme de droit et de justice, habité par la prescription biblique : « La justice tu chercheras ardemment ».Les contributions ici réunies émanent de profils et d’horizons divers :universitaires, juges, avocats, collaborateurs, amis, compagnons d’action, ont tenu à témoigner de leur attachement et leur estime. De la Faculté de Besançon aux lieux du pouvoir politique, il laissera, dans les lois comme dans la mémoire de ceux qui l’ont approché, la trace d’un infatigable combat, rigoureux, altier, pour la justice et le droit.
Criminal law --- International criminal law --- Justice (Philosophy) --- Civil rights --- Human rights --- Droit pénal --- Droit international pénal --- Justice (Philosophie) --- Droits de l'homme --- Droits de l'homme (Droit international) --- Badinter, Robert --- Droit pénal international --- Badinter, Robert, --- Droit pénal --- Droit international pénal --- Badinter, Robert. --- Droit pénal international --- Droit pénal international.
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La 4e de couverture indique : "Le professeur André Lucas est un éminent civiliste et spécialiste incontournable de la propriété intellectuelle dont la réputation dépasse largement les frontières de la France comme en témoigne la diversité des contributions qui composent ces Mélanges. Il a édifié l'une des " oeuvres " les plus marquantes des dernières décennies en droit d'auteur. Sans dogmatisme mais toujours avec passion et pédagogie, il a défendu ses convictions et développé ses réflexions en renouvelant les analyses, construisant ainsi une véritable doctrine, notamment à travers le Traité de la propriété littéraire et artistique qui fait figure de référence dans cette discipline. Pilier de la faculté de droit et des sciences politiques de Nantes, il y a fondé et dirigé l'Institut de recherche en droit privé (IRDP) ainsi que le DEA - aujourd'hui Master 2 - en droit de la propriété intellectuelle. Dans cet ouvrage, collègues, amis, anciens étudiants ont souhaité rendre hommage à l'un des plus brillants représentants de la doctrine française en propriété intellectuelle. En un mot, un universitaire."
Copyright --- Intellectual property --- Droit d'auteur --- Propriété intellectuelle --- Lucas, André, --- Biens incorporels --- Propriété intellectuelle --- Lucas, André,
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