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2010 (1)

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La fièvre catarrhale ovine
Authors: --- ---
Year: 2010 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

During the year 2006 sheep and cattle livestock were severely affected by a tropical disease called bluetongue. This was transmitted by biting midges from the gender culicoide. Until now only tropical areas were in contact with the disease and this since a century. Twenty-four different strains exist but only the 8th affected our country still today. During the epidemic there were no effective vaccines available against this train and this forced veterinaries to focus on a symptomatic treatment based on anti-inflammatory and antibiotic agents. Several insecticides agents were also used to lower the transmission of the bluetongue virus. In the past live attenuated vaccines were used but they produced lots of adverse effects. Indeed they are suspected to have created new BTV strains and to have infected midges. Because of the need to find an effective vaccine many received a temporary authorization of utilization. The vaccines that are used now are inactivated ones and thus are safer than the live attenuated ones but they don’t protect against all strains. Recent researchers are based on recombinant vaccines that would be effective against all strains. Au cours de l’année 2006, les cheptels ovins et bovins ont été sévèrement touchés par une maladie virale tropicale appelée fièvre catarrhale ovine (ou maladie de la langue bleue). Celle-ci est transmise par des moucherons piqueurs du genre culicoïde. Jusqu’à aujourd’hui, cette maladie touchait exclusivement les régions tropicales où elle sévit depuis près d’un siècle. Il existe vingt-quatre sérotypes différents de ce virus mais seul le sérotype 8 a touché la Belgique jusqu’à présent. Durant l’épidémie, l’absence de vaccins efficaces dirigés contre le sérotype 8 força les vétérinaires à se focaliser sur un traitement symptomatiques, basé sur des anti-inflammatoires et des antibiotiques pour les cas sévères. Afin de limiter le transmission du virus, des insecticides ont été utilisés sous différentes formes galéniques. Par le passé, des vaccins vivants atténués ont été employés mais ceux-ci entrainaient de nombreux effets indésirables. De plus, ils sont suspectés d’avoir engendrés de nouveau sérotypes viraux et d’infecter les moucherons vecteurs. En raison de l’urgence de trouver un vaccin efficace, plusieurs d’entre eux ont reçu une autorisation temporaire d’utilisation. Les spécialités actuellement sur le marché sont des vaccins inactivés beaucoup plus sûrs que leurs prédécesseurs mais qui ne protègent que conter quelques sérotypes. Les recherches actuelles se basent sur des vaccins recombinants qui seraient efficaces contre tous les sérotypes existants.

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