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La 4ème de couverture indique : " Les études consacrées aux conséquences de l'intelligence artificielle sur le marché de l'emploi prédisent un large mouvement de remplacement de l'homme par la machine au cours des prochaines années. Le phénomène ne semble a priori pas inédit et rappelle celui intervenu au cours de la Révolution industrielle. Néanmoins, l'observation des catégories d'emplois menacés interpelle. Toutes les activités semblent concernées. Ainsi, banquiers, comptables, avocats, médecins voire même magistrats pourraient être exposés à cette nouvelle concurrence technologique. Le remplacement progressif de l'intelligence humaine par l'intelligence artificielle ne semble pour l'heure connaître aucune autre limite que celle fixée par la technique. Pourtant, à l'étude, il apparaît que ces deux formes d'intelligences ne peuvent pas être tenues pour équivalentes par le droit. L'intelligence artificielle est en mesure d'imiter plusieurs manifestations de l'intelligence humaine, tel que le langage ou encore le calcul. A certain égards, l'intelligence artificielle surpasse même l'entendement humain. En revanche, d'autres manifestations de l'intelligence humaine lui font désespérément défaut. La conscience, la volonté ou encore les émotions sont étrangères à l'intelligence artificielle. Plus généralement, les dimensions subjectives de l'intelligence humaine ne sont pas accessibles aux systèmes informatiques, même les plus sophistiqués. Or, le droit se fonde de manière discrète mais certaine sur celles-ci. In fine, l'intelligence artificielle apparaît tout à la fois comme une forme d'intelligence diminuée et augmentée. C'est sur ce constat de ces excès et carences de l'intelligence artificielle qu'il convient de penser le régime juridique qui doit lui être réservé. L'application à un système informatique intelligent de règles pensées pour les personnes peut s'avérer inadaptée. En effet, la confrontation entre le droit et l'intelligence artificielle révèle l'existence d'un paradigme sur lequel se fonde le droit positif. Le droit français s'appuie pour une large part sur la subjectivité inhérente à la personne humaine. Toutes les branches du droit semblent concernées, le droit civil comme le droit pénal ou encore le droit de la propriété intellectuelle. Dès lors, le régime juridique de l'intelligence artificielle apparaît bien incertain. L'objet de cette étude est donc de dissiper les doutes qui entourent la nature de l'intelligence artificielle en vue de la distinguer clairement de l'intelligence humaine. Aussi, le constat de l'absence d'identité de ces deux formes d'intelligence suppose d'une part de limiter le domaine de l'intelligence artificielle par la consécration d'un ordre public de l'Humanité, et d'autre part, d'adapter les règles pensées en considération de la subjectivité humaine à l'objectivité des systèmes informatiques intelligents. En définitive, l'appréhension juridique de l'intelligence artificielle est l'occasion d'une réflexion plus générale sur l'intelligence humaine et la place centrale qu'elle occupe dans notre ordonnancement juridique."
34:681.3 --- 34:681.3 Informaticarecht --- Informaticarecht --- Intelligence artificielle --- Justice prédictive --- Droits de l'homme. --- Droit --- Justice prédictive --- Artificial intelligence in law --- Intelligence artificielle en droit --- Predictive justice --- Procedure (Law) --- Procédure (Droit)
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Droits subjectifs --- Droit --- Droit civil --- Sources --- 347.44 --- 347.44 Overeenkomsten. Contracten. Soorten contracten. Rechtsbekwaamheid en contracten. Gevolgen van contracten t.o.v.derden. Contractuele aansprakelijkheid. --- Overeenkomsten. Contracten. Soorten contracten. Rechtsbekwaamheid en contracten. Gevolgen van contracten t.o.v.derden. Contractuele aansprakelijkheid. --- Overeenkomsten. Contracten. Soorten contracten. Rechtsbekwaamheid en contracten. Gevolgen van contracten t.o.v.derden. Contractuele aansprakelijkheid
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Danger (Law) --- Liability (Law) --- Liberty
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Présentation de l'éditeur : "Les études consacrées aux conséquences de l'intelligence artificielle sur le marché de l'emploi prédisent un large mouvement de remplacement de l'homme par la machine au cours des prochaines années. Le phénomène ne semble a priori pas inédit et rappelle celui intervenu au cours de la Révolution industrielle. Néanmoins, l'observation des catégories d'emplois menacés interpelle. Toutes les activités semblent concernées. Ainsi, banquiers, comptables, avocats, médecins voire même magistrats pourraient être exposés à cette nouvelle concurrence technologique. Thèse pour le doctorat en droit de l'Université d'Aix-Marseille présentée et soutenue publiquement le 23 novembre 2018. Préface de Hugo Barbier".
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La réflexion juridique relative aux opportunités d'affaires est traditionnellement cantonnée au domaine qui a vu leur émergence : le droit des relations fiduciaires. Dans ce cadre, une opportunités d'affaires est traditionnellement regardée comme une chance captée par le dirigeant social. Mais n'est-il pas souhaitable de donner à la notion d'opportunité d'affaires une dimension plus large ? Une opportunité d'affaires est en effet une occasion de s'engager dans une opération ou une activité. En tant que chance économique, une opportunité d'affaires émerge sur le marché. À quelle condition, néanmoins, une occasion de contracter peut-elle être jugée opportune par celui qui s'apprête à la saisir ? Toute opportunité est-elle, par ailleurs, librement saisissable ? Quel est, autrement dit, le traitement juridique des opportunités d'affaires ? Identifier une opportunité d'affaires consiste à déterminer si une opération ou une activité est ou non opportune pour celui qui est appelé à la saisir. En toute hypothèse, le droit contrôle les moyens de l'identification d'une opportunité d'affaires, l'identification d'une opportunité d'affaires ne doit pas être l'occasion de tous les excès. Le traitement juridique des opportunités d'affaires est double. Au terme de sa fonction traditionnelle d'interdiction, le droit dissuade la captation d'une opportunité d'affaires. Mais embrassant désormais une perspective complémentaire de celle qui est classiquement la sienne, le droit reçoit pour mission d'inciter à saisir des opportunités d'affaires. Le sens de l'étude est ainsi de révéler l'appréhension, bien plus large qu'il n'y paraît, des opportunités d'affaires par le droit privé et de mettre en évidence une éthique de leur exploitation.
347.7 --- 347.7 Handelsrecht --- Handelsrecht --- Droit privé --- Droit des affaires --- Marché pertinent. --- Commercial law --- Droit commercial --- Civil law --- Droit civil --- Corporation law --- Sociétés --- Droit
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La 4e de couverture indique : "Qu'est-ce qu'une entreprise citoyenne ? Comment se distingue-t-elle d'une entreprise classique ? Le droit peut-il jouer un rôle dans ce processus de définition et de distinction ? Qu'en est-il de l'éthique et de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ? Une entreprise peut-elle réaliser un engagement citoyen et le valoriser ? Quels leviers actionner pour valoriser les engagements citoyens ? Voici quelques-unes des questions traitées dans ce remarquable ouvrage. Le concept de RSE a muté et n'est plus apte à distinguer droit dur et droit souple, régime incitatif et fait générateur de responsabilité. À l'heure de l'urgence climatique et sociale où les yeux sont tournés vers les entreprises, celles-ci ont besoin d'un nouveau concept distinguant parmi elles celles qui agissent et dépassent volontairement leurs obligations légales pour protéger le monde et ses habitants. Dans une thèse enthousiasmante, l'auteur mobilise le droit existant pour définir le concept d'entreprise citoyenne, propose des exemples concrets d'engagements citoyens et indique des pistes de valorisation de ces engagements. De nombreux thèmes du droit de l'entreprise et des affaires seront abordés, tels l'épargne salariale, les chaînes d'approvisionnement, la protection des données personnelles, le mécénat, les contrats de vente et de location, les marques individuelles et collectives, la production d'informations extra-financières, l'investissement socialement responsable (ISR)."
Éthique des affaires --- Épargne salariale --- Mécénat --- Responsabilité sociétale --- Protection de l'information (informatique)
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La 4e de couverture indique : "Cet ouvrage est le premier tome de l'Introduction générale, refondue dans cette cinquième édition par Jacques Ghestin, professeur émérite de l'Université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne) et Hugo Barbier, professeur à l'Université d'Aix-Marseille, avec le concours de Jean-Sylvestre Bergé, professeur à l'Université Jean Moulin Lyon 3, membre de l'Institut universitaire de France. La précédente édition, parue en 1994, avait été rédigée par Jacques Ghestin et Gilles Goubeaux, avec le concours de Muriel Fabre-Magnan. L'ouvrage expose, d'un point de vue théorique et pratique, les notions introductives essentielles à l'étude du droit civil tel qu'il est aujourd'hui. Il présente une analyse approfondie de la doctrine et du droit positif, notamment de la jurisprudence de la Cour de cassation, du Conseil d'État et du Conseil constitutionnel, ainsi que des principales juridictions européennes et internationales. Il s 'adresse aux étudiants de licence et de master, aux universitaires et aux professionnels. Cette nouvelle édition est divisée en deux tomes. Le premier tome comporte une première partie sur le droit objectif et les droits subjectifs et une seconde partie, relative aux sources du droit. Outre une refonte des développements présents dans les précédentes éditions, l'ouvrage contient des développements nouveaux : en particulier, une tentative de définition de la norme juridique ; une analyse approfondie des grandes évolutions des sources du droit, notamment leur européanisation et leur internationalisation ; une étude du droit souple ; une présentation détaillée de la question prioritaire de constitutionnalité et une étude de la normativité des arrêts rendus par la Cour de cassation. Le second tome, à paraître, sera relatif à la mise en oeuvre des droits. Il traitera, notamment, du droit de la preuve, ainsi que des mécanismes de contrôle^^ en particulier les théories de la fraude, l'abus et la bonne foi."
Droit --- Droits subjectifs --- Droit civil --- Sources
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Le présent ouvrage a pour objectif de croiser l'environnement, désormais placé au coeur des préoccupations et espérances humaines, et le contrat, ce merveilleux instrument des relations sociales, au visage multimillénaire mais toujours renouvelé. Il est animé d'une double direction. D'abord, et d'une manière qu'on pourrait qualifier de traditionnelle, il perçoit l'environnement comme une source potentielle de risques, parfois subis de manière imprévue, parfois provoqués par l'inconséquence des acteurs économiques, et dans cette optique, il envisage la manière dont le droit des contrats peut soit assurer une protection du consentement des contractants soit permettre à ceux-ci de gérer conventionnellement une éventuelle concrétisation de ces risques. Ensuite, et de façon résolument plus positive, il voit dans l'environnement la source de valeurs, et révèle comment le droit des contrats a lui-même vocation à accompagner cette opportunité en facilitant la prise en compte par les parties d'une politique de développement durable et en veillant à les voir respecter un véritable devoir de protéger l'environnement dans le cadre de l'exécution de leur accord.
Contrats. --- Environnement --- Responsabilité sociétale. --- Protection. --- Droit. --- Évaluation du risque. --- Contracts --- Contrats --- Environmental protection --- Environmental law --- Environmental risk assessment --- Social responsibility of business --- Entreprises --- Protection --- Droit --- Évaluation du risque --- Responsabilité sociale --- Responsabilité sociétale
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Peut-on servir deux maîtres à la fois ? Cette question biblique est portée à sa cime lorsqu'elle est appliquée au droit, toujours tiraillé entre deux buts antagonistes. Tout comme le droit des contrats s'épuise à faire la synthèse de la liberté et de la solidarité, et le droit des sociétés celle de la collectivité et de l'individu, le droit de la preuve en matière financière doit, comme Monsieur Nicolas Ida l'observe à l'orée de son travail doctoral, « concilier les impératifs d'efficacité et de légitimité de la répression financière ». [...] C'est cette recherche du « point d'équilibre » qui se présente comme l'horizon de la réflexion de l'auteur. Le plan de thèse de Monsieur Nicolas Ida révèle avec finesse la dualité de la preuve au travers des deux temps de la procédure devant l'AMF. Au cours de cette procédure, la preuve est successivement envisagée comme une opération matérielle, puis comme une opération intellectuelle, selon que l'on se situe au stade des investigations préalables à la notification de griefs ou au stade du jugement devant la Commission des sanctions de l'AMF. La phase préliminaire de constitution du dossier probatoire est marquée par le renforcement constant des garanties procédurales au bénéfice des personnes visées par les investigations conduites par l'AMF. Ce constat dressé par l'auteur vient en balance de l'essor des pouvoirs de l'AMF - droit de communication de tous documents, d'accès aux locaux professionnels, de procéder à des infiltrations numériques, de perquisition menée par les enquêteurs, etc. - qui ne pouvait qu'appeler des contreforts. [...] Le second temps de l'étude se déprend des preuves matérielles pour se porter sur le raisonnement à partir des preuves ainsi réunies qu'est conduit à tenir la Commission des sanctions de l'AMF. Ce parti pris est en lui-même un apport de la thèse. Le raisonnement probatoire est en effet la boîte noire du droit de la preuve, lequel demeure trop souvent concentré sur les preuves matérielles et leur mode d'administration et d'admissibilité. [...] Finalement, [...] les ambitions de la thèse de Monsieur Nicolas Ida conjuguent harmonieusement suggestions spécifiques d'amélioration de la procédure devant l'AMF et propositions plus globales d'évolution du droit de la preuve en général. Le droit financier se révèle ainsi comme un point d'observation privilégié du droit de la preuve tant il exacerbe les difficultés habituelles que rencontre ce dernier, et oblige donc davantage qu'ailleurs encore, à les transcender.
Marché financier --- Présomptions (droit) --- Preuve indirecte --- Opérations d'initié --- Abus de marché --- Action de concert --- Droits fondamentaux --- Faisceaux d'indices --- Investigations --- Marchés financiers --- Présomptions --- Sanctions --- Droit --- France.
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Private law --- France
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