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" ... an international group of artists, curators, authors, and cultural figures have selected up to ten photographs apiece from Stephen Shore's Uncoming Places archive. None of the images appear in the current edition of his landmark book of the same name; most are published here for the first time. Each suite of photographs, chosen from over four hundred newly scanned or rediscovered negatives, offers an idiosyncratic commentary on Shore's distinctive vision of America and proposes new perspectives on this seminal body of work from the 1970s and early '80s"--Page 5.
Shore, Stephen. --- Photography, Artistic. --- Photographie --- Shore, Stephen, --- Shore, Stephen --- United States --- USA --- États-Unis --- Shore, Stephen, - 1947- - Catalogs --- Shore, Stephen, - 1947- - photographer --- United States - Pictorial works. --- Shore, Stephen, - 1947 --- -Shore, Stephen, - 1947- - photographer
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Sur une île au large de la Nouvelle-Angleterre, au coeur de l'été 1965, Suzy et Sam, douze ans, tombent amoureux, concluent un pacte secret et s'enfuient ensemble. Alors que chacun se mobilise pour les retrouver, une violente tempête s'approche des côtes et va bouleverser davantage encore la vie de la communauté.Avec ses décors en carton-pâte et ses couleurs vives, "Moonrise Kingdom" révèle une poésie enfantine qui distille un joli romantisme rose bonbon. Anderson fait montre une fois encore d'une maîtrise de tous les instants et s'entoure comme toujours d'un casting prestigieux.
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En raison d'une épidémie de grippe canine, le maire de Megasaki ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville, envoyés sur une île qui devient alors l'Ile aux Chiens. Le jeune Atari, douze ans, vole un avion et se rend sur l'île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots. Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville.Seconde incursion de Wes Anderson dans le monde de l'animation en stop motion (après le magnifique "Fantastic Mr. Fox.") et nouveau pari réussi. Le cinéaste nous sert un conte splendide où l'esthétique se marie parfaitement avec l'à-propos du sujet.
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S'inspirant librement de l'oeuvre de Stefan Zweig et notamment de son livre autobiographique "Le Monde d'hier, souvenirs d'un Européen" Wes Anderson dépeint l'effondrement d'un monde, celui de l'empire austro-hongrois et de sa civilisation face à la montée de la barbarie nazie. Le récit se déroule sur trois périodes différentes (les années 1930, 1960 et 1985), chacune ayant son propre format d'image et s'articulant aux autres sous forme de flash-back, le Grand Budapest Hotel du titre étant le lieu autour duquel se cristallisent toutes les temporalités. Wes Anderson développe une mise en scène très frontale, faite de panoramiques à 90 degrés, de longs travellings latéraux ou de zooms puissants qui ont pour effets de développer ses plans comme un véritable espace tridimensionnel. Les échelles relativement larges des plans d'intérieurs de l'hôtel donnent l'impression d'une "maison de poupée". Le film a été tourné dans l'ancien grand magasin de style Art Nouveau d'un centre commercial construit en 1912 à Görlitz, ville de l'est de l’Allemagne frontalière avec la Pologne.
Bâtiment hôtelier --- Histoire --- 20e siècle --- Entre-deux guerres --- Conflit --- Totalitarisme --- Image de l'architecture
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Trois frères qui ne se sont pas parlé depuis la mort de leur père décident de faire ensemble un grand voyage en train à travers l'Inde afin de renouer les liens d'autrefois. Pourtant, la "quête spirituelle" de Francis, Peter et Jack va vite dérailler, et ils se retrouvent seuls, perdus au milieu du désert avec onze valises, une imprimante, une machine à plastifier et beaucoup de comptes à régler avec la vie... Dans ce pays magique dont ils ignorent tout, c'est alors un autre voyage qui commence, riche en imprévus, une odyssée qu'aucun d'eux ne pouvait imaginer, une véritable aventure d'amitié et de fraternité...
Famille --- Inde --- Road movie
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Steve Zissou, un océanographe mondialement connu, organise une ultime expédition dont le but est de traquer le mystérieux et insaisissable requin-jaguar, qui serait coupable d'avoir dévoré son meilleur ami. Il est rejoint dans sa quête par son supposé fils (Owen Wilson), une journaliste (Cate Blanchett), son plus fidèle compagnon (Willem Dafoe) et son étrange épouse (Anjelica Huston). Tout ce beau monde rejoint l'équipage loufoque de Zissou sur le Belafonte, pour vivre une aventure pleine de rebondissements et de sentiments.L'équipage de Steve Zissou tourne un documentaire (un film dans le film) relatant leurs aventures, et faisant découvrir au public une faune aquatique sublimée par le réalisateur.Le bateau est comme un décor de théâtre, plusieurs fois filmé en coupe verticale, afin de voir ce que les différents personnages font dans chaque pièce. Les décors et les costumes sont fidèles à l'esthétique de Wes Anderson et nous plongent dans un univers poétique et aquatique : un monde artificiel coloré que le réalisateur choisit comme décor et comme réalité, et dans lequel les personnages avancent, avec humour noir et second degré.
Années 1990 --- Océanographie --- Mer --- États-Unis
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Royal et Etheline Tenenbaum ont eu trois enfants qui se sont rapidement révélés des génies dans leur domaine respectif. Les parents se sont ensuite séparés et les deux décennies qui ont suivi n'ont été qu'échecs pour Etheline et les enfants devenus grands. Aujourd'hui, Royal, rendu responsable de cette hécatombe, revient avec la ferme intention de renouer avec les siens... L'accueil sera à la hauteur de sa trahison.
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