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Horses --- Horse diseases --- Heart diseases --- Heart --- veterinary --- anatomy and histology
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Lyme Disease --- Lyme Disease --- Lyme Disease --- Lyme Disease --- epidemiology. --- physiopathology. --- transmission. --- veterinary.
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Horses --- Blood pressure --- Dopamine antagonists --- Vasoconstrictor Agents. --- Adrenergic alpha-Antagonists. --- Norepinephrine --- Drug Antagonism. --- Conscious sedation --- physiology --- drug effects --- pharmacology --- veterinary --- Blood Pressure --- physiology. --- drug effects. --- pharmacology. --- Dopamine Antagonists --- Conscious Sedation --- veterinary.
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La fourbure est une maladie orthopédique courante chez les équidés, en effet elle est la deuxième cause de mortalité (ifce). Elle résulte d’une inflammation aseptique diffuse du pied qui, provoquant une grande douleur, empêche le cheval de se déplacer et conduit à la mort du cheval si elle n’est pas traitée à temps. Bien qu’il y ait beaucoup de causes de fourbures, les excès en glucides dans la ration et l’obésité qui peut en découler semblent être des facteurs déclencheurs importants. Nous verrons dans cette étude, la pathophysiologie menant à la fourbure en cas d’excès de consommation de glucides non structuraux et nous détaillerons les traitements possibles mis en place quand cette maladie orthopédique est installée.
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La dermatite estivale récidivante équine (DERE), également connue sous le nom de dermite estivale ou encore de gale d’été, est un véritable fléau pour bon nombre de propriétaires d’équidés. Engendrée par une réaction d’hypersensibilité aux piqûres de Culicoides spp. et caractérisée par un prurit intense, elle est de loin la pathologie allergique cutanée la plus fréquente chez le cheval. Avec ce statut, il n’est pas étonnant que de nombreuses recherches soient conduites sur cette pathologie avec un objectif commun : trouver un traitement efficace pour lutter contre la DERE. Malgré une littérature abondante sur le sujet, aucune approche thérapeutique n’a permis de résoudre la problématique associée à cette pathologie. En effet, les traitements classiques comme l’utilisation de couvertures intégrales, l’emploi de répulsifs ou de shampoings, ou encore la gestion des conditions d’hébergement du cheval permettent de soulager raisonnablement les symptômes mais ont une efficacité limitée et ne constituent pas une solution durable, et par conséquent n’offrent pas de perspective de guérison. Le traitement à base de glucocorticoïdes ne fait pas exception : bien qu’il permette d’apaiser les démangeaisons, il ne peut prévenir les récidives. C’est suite à ce constat que des chercheurs ont envisagé d’appliquer au cheval les techniques d’immunothérapie bien connues chez l’homme. Le processus d’immunothérapie, mieux connu sous le nom de désensibilisation, vise à réinstaurer la tolérance immunitaire vis-à-vis de l’allergène. La réussite de cette méthode réside dans le passage d’une réponse immunitaire T helpers 2 vers une réponse Trégulateurs. En outre, les scientifiques mènent des études visant à développer différents vaccins capables de neutraliser des interleukines telles que l’IL-5 ou l’IL-31 qui interviennent dans la pathogénie de cette réaction d’hypersensibilité. Bien que leurs résultats soient encore controversés, ces techniques novatrices représentent une perspective thérapeutique intéressante pour les propriétaires de chevaux atteints par la pathologie.
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Les antibiotiques sont un des traitements majeurs pour de nombreuses pathologies dans toutes les espèces, en ce compris chez les équidés. Chez ces derniers, les risques de diarrhée associés à l’antibiothérapie sont particulièrement marqués. Attendu l’émergence récente de technologies permettant de définir avec précision la composition du microbiote intestinal, l’objectif de cette revue de littérature est de faire la synthèse des effets de l’antibiothérapie sur la composition du microbiote intestinal du cheval identifié à ce jour et de faire le lien entre ces modifications et les diarrhées induites par les antibiotiques.
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Salmonella spp. est un agent qui peut être responsable d’entérocolites chez un grand nombre d’espèces dont l’espèce équine. La problématique de cette bactérie est que son excrétion est fréquente et peut être asymptomatique, mais certaines souches peuvent être associées à une morbidité élevée voire à de la mortalité, ce qui pose un réel problème nosocomial dans les hôpitaux équins. Ceci peut mener à un coût financier important et à des mesures de biosécurités très contraignantes, nécessitant même parfois la fermeture de l’hôpital. Dans la première partie de ce travail, une revue de la littérature concernant les aspects étiopathogéniques de la salmonellose équine sera réalisée. Ensuite, sa prévalence et les moyens établis pour sa détection seront détaillés. La deuxième partie de ce travail se concentrera sur l’étude analytique observationnelle de cohorte mise en place sur des chevaux admis pour une impaction du colon, colique inflammatoire et obstructions étranglées à la clinique équine de Liège. Enfin, nous analyserons les résultats obtenus ainsi que les limites de l’étude menée.
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