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Islam and politics --- Political science --- Islamic philosophy --- Islam et politique --- Science politique --- Philosophie islamique --- Civilisation islamique. --- Islam and politics. --- Islam et politique. --- Islam et État --- Islam et État. --- Islam --- Islam. --- Islamic civilization. --- Philosophie politique. --- Politik. --- Politique. --- doctrine politique --- doctrine politique. --- islam --- Philosophie. --- Histoire. --- 14e s --- Philosophie politique
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Enfant palestinien né en 1935 à Jérusalem, Edward W. Said endura à l’âge de douze ans la Nakba, la « catastrophe » de 1948 qui propulsa des centaines de milliers de Palestiniens vers les pays voisins lors des violences perpétrées à la suite de la création de l’État d’Israël. Sa famille trouva refuge au Caire, et, en 1951, il se retrouva aux États-Unis, son père ayant décidé de l’éloigner d’une région de plus en plus secouée par des crises politiques (Égypte, Syrie et Iran). Orientalism, livre paru en 1978, valut à Edward Said une renommée internationale. L’ouvrage eut un formidable retentissement, en particulier aux États-Unis, suscitant parfois des excès critiques et des réceptions contraires à l’esprit que Said voulait donner à son essai magistral. Ce volume rend hommage à l’homme, au penseur et au critique littéraire. Il est consacré à la réception de l’œuvre de Said, à ses audaces méthodologiques, à ses positions au sujet de l’islam et de l’islamisme, et à la portée politico-épistémologique de son travail littéraire.
Littérature arabe --- Orientalisme. --- Orient et Occident. --- Histoire et critique. --- Said, Edward W. --- Critique et interprétation --- Critique et interprétation.
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La parrhésia antique idéalisée, cette parole franche qu’autorise et exige la démocratie, devrait disparaître avec l’installation des pouvoirs souverains du Moyen Âge. De fait, la répression légale des paroles sacrilèges signale la naissance de la théocratie pontificale et de l’État moderne au tournant des XIIIe et XIVe siècles. L’absolutisme va de pair avec une réduction de la liberté de parole à un simulacre politique. Entre le VIIIe et le XIIIe siècle cependant, en Occident latin, en Islam et dans l’empire byzantin, des pouvoirs souverains qui disent tenir de Dieu leur autorité voient leurs élites religieuses continuer à revendiquer et à pratiquer une forme de liberté de parole. Ces élites exercent une critique justifiée par leur maîtrise de la tradition écrite et par leur expérience du gouvernement. Elles envisagent la liberté de parole comme un devoir religieux vis-à-vis du prince, en appellent à sa conscience et l’exhortent à être à la hauteur du pouvoir reçu de Dieu. Leurs paroles critiques prennent aussi un public à témoin, dans le cadre d’un rituel politique qui n’est jamais parfaitement contrôlé ni instrumentalisé. Elles contribuent ainsi à associer une large communauté, fondée religieusement, à l’exercice du pouvoir.En comparant la liberté de parole assumée par ces élites médiévales, c’est donc le fonctionnement des empires du Moyen Âge central qu’on analyse – des empires dont l’assise théocratique reste compatible avec la critique et implique la participation sous contrôle d’une partie des populations. Au début de la période, celui qui critique le prince lui donne un gage de fidélité ; il déclare que le pouvoir exercé peut être amélioré. À la fin de la période, le critique fait d’abord valoir son amitié pour le souverain – indice de la réduction de l’assise collective de ces régimes.
Freedom of speech --- Church history --- Abbasids
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La parrhesia antique idealisee, cette parole franche qu'autorise et exige la democratie, devrait disparaitre avec l'installation des pouvoirs souverains du Moyen Age. De fait, la repression legale des paroles sacrileges signale la naissance de la theocratie pontificale et de l'Etat moderne au tournant des XIIIe et XIVe siecles. L'absolutisme va de pair avec une reduction de la liberte de parole a un simulacre politique. Entre le VIIIe et le XIIIe siecle cependant, en Occident latin, en Islam et dans l'empire byzantin, des pouvoirs souverains qui disent tenir de Dieu leur autorite voient leurs elites religieuses continuer a revendiquer et a pratiquer une forme de liberte de parole. Ces elites exercent une critique justifiee par leur maitrise de la tradition ecrite et par leur experience du gouvernement. Elles envisagent la liberte de parole comme un devoir religieux vis-a-vis du prince, en appellent a sa conscience et l'exhortent a etre a la hauteur du pouvoir recu de Dieu. Leurs paroles critiques prennent aussi un public a temoin, dans le cadre d'un rituel politique qui n'est jamais parfaitement controle ni instrumentalise. Elles contribuent ainsi a associer une large communaute, fondee religieusement, a l'exercice du pouvoir.En comparant la liberte de parole assumee par ces elites medievales, c'est donc le fonctionnement des empires du Moyen Age central qu'on analyse - des empires dont l'assise theocratique reste compatible avec la critique et implique la participation sous controle d'une partie des populations. Au debut de la periode, celui qui critique le prince lui donne un gage de fidelite ; il declare que le pouvoir exerce peut etre ameliore. A la fin de la periode, le critique fait d'abord valoir son amitie pour le souverain - indice de la reduction de l'assise collective de ces regimes.
Church history --- Freedom of speech --- Religious aspects --- Christianity.
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Contre les fondamentalismes, le principal penseur de l'islam ouvert explore ici l'anthropologie musulmane afin d'en refonder l'humanisme. Un événement présentant d'une manière inédite le véritable état du débat.Violence, terrorisme, citoyenneté, allégeance à l'État, rapport aux autres religions : nul ne tente au Proche-Orient de penser de manière rénovée l'islam d'aujourd'hui comme le fait Muhammad Shahrour. Réfléchir sur la religion et poser à nouveaux frais son articulation à l'éthique, au politique ou au social constituent pour lui une des tâches les plus urgentes. L'islamologue et exégète syrien, qui suscite de nombreuses réactions dans le monde arabe, interroge ici la définition même du mot " islam ".Audacieux et radical, ce livre fait table rase de la tradition religieuse et du corpus exégétique, théologique et juridique, afin de faire advenir, à partir du Coran, le geste primordial qui a présidé à la naissance de l'islam. Les résultats de cette recherche surprennent par leur modernité : ils réinstallent les dimensions axiologiques au coeur de la profession de foi islamique et conduisent également à lutter contre l'intolérance.Un livre inégalé qui propose de nombreuses pistes pour le renouvellement de la pensée de la loi, du statut de la femme ou du rapport entre politique et religion
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Juriste irakien de la fin du Xe siècle et de la première moitié du XIe siècle, al-Māwardī (974-1058) est considéré, à juste titre, comme l'un des meilleurs auteurs politiques de l'âge classique de l’Islam. S’il est bien connu dans la tradition orientaliste grâce à son célèbre traité intitulé les Statuts gouvernementaux, ouvrage de droit public et administratif qui fut traduit dès la fin du XIXe siècle en plusieurs langues européennes, son texte De l’éthique du Prince et du gouvernement de l’État nous fait découvrir les facettes littéraires et philosophiques de ce penseur politique. Faisant partie de la tradition des Miroirs des princes, les réflexions politiques sont puisées, ici, dans deux sources distinctes de celle du droit : d’un côté, l’histoire des grands souverains, et, de l’autre, les maximes de sagesse prononcées par les philosophes, les poètes ou les hommes politiques, qu’ils soient arabes, perses ou grecs. La force du texte que nous traduisons réside principalement dans le fait que l’analyse de l’éthique du Prince et la description de sa conduite exemplaire sont subordonnées à l’étude de son métier et des responsabilités qu’il doit assumer auprès des gouvernés. De quelle manière former le chef politique ? Comment administrer l’État ? Et que faire pour conserver le pouvoir ou empêcher sa corruption ? Telles sont les questions auxquelles répond le texte d’al-Māwardī, et qui en font un traité de gouvernement rappelant les écrits politiques de Machiavel, de Bacon ou de Juste Lipse. Cette traduction inédite est enrichie d’une annotation philologique et conceptuelle, et précédée d’une introduction (Essai sur les arts de gouverner en Islam) qui analyse la genèse des rationalités gouvernementales, tout en éclairant le contexte de l’élaboration de la pensée politique d’al-Māwardī, et en comparant son oeuvre avec d’autres textes de la même période. L’ensemble témoigne de l’étonnante actualité de ce penseur, que ce soit par la façon dont il articule l’éthique et la politique, par son ouverture aux maximes universelles des arts de gouverner, ou sa manière de penser le statut de la religion au sein de l’État.
Kings and rulers --- Islam and state --- Education of princes --- Islam et Etat --- Princes --- Duties --- Early works to 1800 --- Ouvrages avant 1800 --- Education
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La proclamation en 2015 du califat en Irak et en Syrie, près d’un siècle après sa suppression sous Atatürk, invite à s’intéresser aux notions de pouvoir et d’autorité en Islam et à la question des rapports entre religion (dîn) et pouvoir temporel (dawla). Ce livre propose d’aborder la question des pouvoirs et autorités en Islam à travers une série de textes portant à la fois sur des notions théoriques en lien avec l’exercice de l’autorité (arts de gouverner, charia), sur des représentants de l’autorité (califes, sultans, émirs, rois, présidents, oulémas), sur les femmes et le pouvoir, et sur des expériences de contestation, voire de violence.
Islam and state --- Power (Social sciences) --- Women in Islam --- Islamic law --- History --- Religious aspects --- Islam --- Islam and state - History - Congresses --- Power (Social sciences) - Religious aspects - Islam - Congresses --- Women in Islam - Congresses --- Islamic law - Congresses --- Religion --- abbassides --- Al-Baghdadi --- Al-Qaïda --- al-Zarqaoui --- al-Zawahiri --- arts de gouverner --- autoritarisme --- autorité --- Ben Laden --- Bourguiba --- califat --- charia --- chiites --- clercs --- Code de la famille --- combattant --- démocratie --- despote --- dissidence --- droit --- droit de la famille --- droit islamique --- droit musulman --- droit pénal --- État islamique --- État-nation --- hadith --- Iraniennes --- islam --- islamisme --- martyr --- miroir des princes --- modèle patriarcal --- nation --- présidents --- révolution --- rois --- souverain --- sultans --- sunna --- sunnites --- violence --- voile --- Abbasid --- Al-Qaeda --- al-Zarquawi --- arts of governing --- authoritarianism --- authority --- Bin Laden --- caliphate --- Sharia --- Shiites --- clerics --- Family Code --- fighter --- democracy --- despot --- dissent --- law --- family law --- Muslim law --- criminal law --- Islamic State --- nation-state --- Iranian women --- Islamism --- mirror of the princes --- patriarchal model --- presidents --- revolution --- kings --- ruler --- Sunna --- Sunni --- veil
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Ce volume réunit les contributions de divers spécialistes sur le thème de la mer dans un corpus de textes de la culture italienne appartenant aux domaines de la littérature, de la civilisation, de l’histoire des idées et de l’art, choisis en raison de leur caractère représentatif et de leur diversité. Les textes présentés ici s’emploient à discerner la spécificité du regard italien dans l’appréhension et l’interprétation de la fonction poétique et gnoséologique de la mer, – élément naturel propre à susciter les rêves et à stimuler le travail de l’imagination – ainsi que d’en saisir les transformations selon les époques et les contextes socioculturels.
Arts & Humanities --- histoire --- littérature --- histoire de l’art --- mer
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Cet ouvrage propose des travaux nourris par les études de Jean-Claude Zancarini. Des travaux qui ont été conduits avec lui, qu’il le sache ou non. Des travaux attentifs à la « qualité des temps », à l’expérience des hommes, au métier de lire. Les articles rassemblés conjuguent ainsi langue et politique. Ils tressent des approches philosophiques, historiques, linguistiques et littéraires, dès lors qu’elles s’avèrent pertinentes pour dévoiler les enjeux des textes, les gestes des acteurs et les conflits dans la cité. Ils font écho à la « philologie politique » dont Jean-Claude Zancarini a posé les jalons à partir de son travail sur les textes cruciaux de la Florence des guerres d’Italie. Mais l’ouvrage fait place également à une série d’études qui sont en dialogue avec ces choix de méthodes ouverts, déclinables au-delà de la période historique et des objets auxquels ils ont été initialement appliqués. Et parce qu’il s’agit de continuer à travailler ensemble, cet ouvrage voudrait être, selon le mot de Machiavel dans la lettre de dédicace du Prince, un « piccolo dono », un « petit don » pour Jean-Claude Zancarini et pour quiconque le lira. This volume offers a series of articles supported and stimulated by Jean-Claude Zancarini’s research. These studies have been conducted along with him, whether he is aware of it or not. They are attentive to the “quality of time”, to the experience of men, to a craftsmanlike approach to reading. They combine language and politics, weaving together philosophical, historical, linguistic and literary approaches insofar as they help reveal the central questions at stakes in the texts, the actions of men and the conflicts of the civic sphere. They echo the foundations of “political philology”, laid down by Jean-Claude Zancarini in his study on the crucial Florentine texts of the Italian Wars. But this volume also leaves space for a series of studies which engage in an exchange of views with Jean-Claude Zancarini’s open methodological…
History --- langage politique --- conflit --- Renaissance --- traduction --- langage --- Machiavel (Nicolas) --- politique --- histoire --- littérature --- political language --- conflict --- Machiavelli (Niccolò) --- translation
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