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La technologie d’impression 3D m’a toujours fasciné, au point que je me suis procuré une imprimante 3D de « prototypage » d’architecture réduite. J’ai pu observer l’impact de cette technique ainsi que des logiciels de modélisation 3D, de plus en plus performants, sur la conception et représentation de l’architecture. Aujourd’hui, le processus de conception (penser) et de réalisation (faire) d’un objet architectural reçoit de plus en plus d’attention. Dans le livre « Penser-Faire, Quand des architectes se mêlent de construction » , l’hypothèse est développée que « Les architectes ne font pas des bâtiments, ils les imaginent et les dessinent ». A travers des situations, actuelles ou historiques, qui troublent cette division entre conception et construction, ce livre, accompagné du colloque « penser-faire les enjeux théoriques et pratiques des revalorisations du faire en architecture » et de l’exposition « Artefacts », met en perspective une certaine tendance à la valorisation du « faire » l’œuvre en architecture et interroge les promesses du « faire » quant à d’autres rapports possibles aux techniques. Les auteurs insistent sur les questions de la forme, la matière, la construction, le langage architectural et l’environnement. L’introduction est écrite par Tim Ingold. Dans son approche matérialiste de la fabrication (« Faire - anthropologie, archéologie, art et architecture », 2014), il va encore plus loin et renverse l’idée que l’acte de fabrication impose une forme à la matière inerte et nous révèle « l’itinérance » au sein de la matière pour engendrer des formes. Pour lui, la conception est médiée par le processus de la réalisation (doing-in-making) et il développe également la différence impliquant les deux questions : « Qu’est-ce que vous faites (doing) ? » et « Qu’est-ce que vous êtes en train de faire (making) ? ». La première question est de l’ordre du descriptif de la forme, de la matière, des enjeux de la structure, des techniques utilisées sur le chantier et du résultat obtenu. Tandis que la deuxième question engendre une réflexion profonde sur le projet et les convictions qui donnent direction et sens à cette démarche. Le caractère des contributions du livre « Penser-Faire, Quand des architectes se mêlent de construction » est, selon Ingold, que les différents auteurs sont convaincus que faire quelque chose (making) arrive en le faisant (doing) et que la pensée (conception de et réflexion sur) dirige et suit le processus de la réalisation (faire). C’est la transition, même l’inversion, de « doing-in-making » vers « making-in-doing ». Dans la publication, cinq notions ont attiré mon attention : « la forme non-standard, vers l’hyper-standard », « la matière qui donne forme, une nouvelle forme d’artisanat », « l’évolution structurelle des structures additives sur chantier, des nouvelles perspectives », « Le chantier virtuel, une expérience partagée » et « l’esthétique d’imperfections historiques, technologiques et matérielles ». Initialement, je voulais consacrer mon TFE aux différentes techniques d’impression 3D ou de « fabrications additives » sur chantier. Très vite, je me suis rendu compte que la seule question de la description devrait être complétée par des questions qui engendrent une réflexion profonde sur le projet et les convictions architecturales qui donnent direction et sens à ces nouvelles techniques. En suivant la logique explicitée par Ingold et développée dans le livre « Penser-Faire, Quand des architectes se mêlent de construction », la question de Mélanie Renard « Les technologies d’impression 3D redéfinissent-elles l’architecture ? » , où l’architecture suit les nouvelles technologies de construction et logiciels 3D afin de concevoir et représenter des formes tridimensionnelles avec des géométries complexes, devrait être complétée par « L’architecture redéfinit-elle les technologies d’impression 3D ? ». Ici, l’architecture ne suit pas seulement une technique mais dirige également le processus de réalisation. Dans le cadre de ce TFE, ma promotrice Madame Occhiuto m’a fait découvrir la remarquable maison-sculpture de l’architecte Jacques Gillet, construite en étroite collaboration avec le sculpteur Félix Roulin et l’ingénieur René Greisch. Cette maison unifamiliale, conçue entre 1965 et 1969, est « un projet manifeste » , porteur de valeurs architecturales et humaines. La maison sera le cas d’étude à interroger qui permettra de faire une lecture critique de la construction actuelle d’impression 3D sur chantier. Après avoir suivi le processus de genèse de la maison et avoir bien pris conscience du savoir que ce bâtiment incorpore, une lecture de la littérature sur ce bâtiment-sculpture permettra de compléter l’étude. Dans le spectre de la lecture de ce bâtiment, ce TFE s’inscrit dans l’interprétation propre à Luc Merx et Christian Holl « entre une recherche pour l’unicité et sa nécessité d’expérimenter les nouvelles technologies ». Ce TFE ne sera pas seulement l’occasion de faire un éloge sur les nouvelles possibilités des techniques, mais d’apporter une solution aux applications des outils numériques à l'architecture biomorphique actuelle. L’œuvre de Gillet annonce un futur porteur de connaissances, au sens culturel et technique, pour les nouvelles technologies, y compris l’impression 3D. En se concentrant sur les aspects de l'architecture de Gillet, qui diffère de la composition numérique standard, on prend très vite conscience que « la maison-sculpture n'est précisément pas ce que vise le marketing de l'architecture numérique : une habitation complète et entièrement formulée qui a simplement besoin d'être consommée » . Et si on ne considérait plus l’ordinateur et l’imprimante 3D comme un instrument de mise en œuvre des principes fondateurs du « modernisme » , mais comme une technologie qui peut libérer au lieu d'uniformiser ? Afin d’accentuer ce propos et de certifier ce choix de cas d’étude, « Vidler » fait référence à un manque d’un projet culturel d'architecture biomorphique-numérique qui jusqu'ici s'est limité à s'extasier sur la possibilité de générer des structures géométriques complexes. Pourtant, l'architecture numérique permet d'explorer les relations complexes entre le contrôle et la liberté, entre la prédiction et la coïncidence. Antoine Picon parle d’une véritable « culture numérique » , où s’articulent plusieurs dimensions : non seulement des réflexions et des tendances stylistiques propres aux architectes mais aussi, plus généralement, des modes de vie en forte évolution depuis l’après-guerre et des choix technologiques et industriels liés à un contexte géopolitique lui-même changeant. L’hypothèse de départ de Luc Merx et Christian Holl dans « Closeness to Nature and Alienation from Nature. The Sculpture House by Jacques Gillet, René Greisch and Felix Roulin in Liège and its significance in the current architectural discourse » est que « Nous devons trouver un moyen de créer une relation à la nature dans le cadre de la pratique culturelle avec une distance que nous aurions besoin d'explorer dans chaque nouvelle instance. L’habitation liégeoise suggère que cela sera possible si la qualité de l'architecture n'arrive que lorsque l'occupant est appelé non seulement à prendre position vis-à-vis d'elle, mais aussi à revoir cette position encore et encore » . Ainsi, ces auteurs formulent une hypothèse de relance de projet à travers une interprétation de la pensée, du dessin et de la réalisation formelle. La maison-sculpture ou sculpture-vivante, comme un milieu bâti à la fois plus complexe et plus proche des structures naturelles, devient l’œuvre de départ d’une nouvelle interprétation. De cette révision critique découle une relecture de la 3ème révolution industrielle et de son impact sur la pratique, la conception et la réalisation d’architectures. On peut en déduire que l’innovation dans le biomorphique-numérique et l’impression 3D sur chantier manque d’un projet de culture numérique lié à l’architecture. La maison-sculpture comme cas d’étude peut servir de guide pour produire un nouveau propos, au sens culturel et technique, et peut donner direction au projet de culture numérique appliqué à l’architecture d’impression 3D sur chantier tout en gardant un lien avec la nature.
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Grâce à la « révolution numérique », les chercheurs ont désormais accès à de nouveaux outils d’exploration qui ont considérablement renouvelé les pratiques scientifiques traditionnelles. L’archéologie a pleinement intégré cette ère du virtuel. Ce recueil explore les applications des techniques de l’imagerie numérique, comme la photogrammétrie, le scanner laser, la microtomodentométrie, la modélisation tridimensionnelle et les systèmes d’information 3D, ou la réalité virtuelle et augmentée. L’introduction de l’imagerie numérique a également changé la diffusion des connaissances archéologiques et fait évoluer la muséographie. Les travaux présentés concernent des vestiges ostéoarchéologiques humains et animaux, des sites paléolithiques et des grottes ornées, ainsi que des sites proche-orientaux mis en danger par les conflits actuels. Le Congrès national des sociétés historiques et scientifiques rassemble chaque année universitaires, membres de sociétés savantes et jeunes chercheurs. Ce recueil est issu de travaux présentés lors du 144e Congrès sur le thème « Le réel et le virtuel ».
Archaeology --- Communication --- archéologie --- anthropologie --- humanités numériques --- sciences de l’information et de la communication --- culture numérique --- Antiquité --- Préhistoire --- Moyen Âge --- époque moderne --- époque contemporaine
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Informatique --- Informatique --- Culture numérique. --- Technology and civilization. --- Electronic data processing. --- Electronic data processing personnel --- Middle class --- Aspect social. --- Personnel. --- Cadres. Adaptation à l'informatique. 1968
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Le monde se transforme, tout vacille et change sous nos yeux. Les pays se font la guerre autrement : les geeks-soldats de la cyber guérilla précèdent désormais les chars d'assaut. La Russie construit son propre Inter-net, pour s'éloigner un peu plus du monde occidental. La monnaie, comme le bitcoin, n'est plus seulement créée par des États, mais par des particuliers. La vie privée menace de disparaître. La parole des professionnels vaut autant que celle des amateurs. Les réseaux sociaux ne servent plus seulement à discuter entre amis, mais à in-fluencer les prochaines élections. Bref : les séparations disparaissent entre des catégories qu'on croyait évidentes et pérennes. Péages et murailles remplacent peu à peu les frontières classiques qui distinguaient les environne-ments personnels, économiques et institutionnels. Nicolas Arpagian prend la mesure de ces changements dans ce livre qui alerte les lecteurs, sans cris d'orfraie et sans panique. Oui, les choses changent. Oui, nous devons nous y habituer. Sinon ? Nous en pâtirons. Un essai clair et pédagogue, pour mieux comprendre le monde d'aujourd'hui et se préparer à celui de demain.
Information society --- Communication --- Computers and civilization --- Société numérique --- Technologies de l'information et de la communication --- Ordinateurs et civilisation --- Social aspects. --- Technological innovations --- Aspect social. --- Social change --- Cyberspace operations (Military science) --- Deepfakes --- Fake news --- Culture numérique
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À l’heure où la propagation des rumeurs, fake news et lectures complotistes du présent mettent en lumière la fragilité des interprétations du réel, il s’agit d’établir ce qui peut faire vérité, d’envisager la construction de la virtualité et de la réalité comme processus conjoints, se nourrissant mutuellement pour faire advenir un sens commun. Les contributions réunies dans ce recueil offrent des clefs de compréhension sur la manière dont chacun peut donner sens aux éléments constitutifs du monde qui l’entoure. Le Congrès national des sociétés historiques et scientifiques rassemble chaque année universitaires, membres de sociétés savantes et jeunes chercheurs. Ce recueil est issu de travaux présentés lors du 144e Congrès sur le thème « Le réel et le virtuel ».
Arts & Humanities --- Music --- Anthropology --- Sociology --- Film Radio Television --- art --- anthropologie --- histoire de l'art --- musique --- culture numérique --- cinéma --- sociologie --- ethnologie --- époque contemporaine --- History of art / art & design styles --- Electronic, holographic & video art
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Le numérique a conquis la planète. Il a fait de nous des êtres connectés, transformé nos manières d'échanger et de nous rencontrer, bouleversé les modèles économiques classiques et les modes de travail. Intelligence artificielle, fake news, hashtag, plateformes, terres rares, nuage... Derrière ces mots qui ont envahi notre quotidien se cachent des technologies qui ne cessent d'évoluer et dont la complexité nous échappe le plus souvent. Ces technologies produisent des effets variables selon les lieux, les pays, les appartenances sociales. Elles s'immiscent dans les sociétés autant que les sociétés s'en emparent pour en modifier les usages. Elles pèsent sur l'environnement autant qu'elles contribuent à réduire certains de nos impacts. Elles suscitent de nouvelles façons de penser, de lire, de voir et de représenter le monde. Redonner une matérialité aux différentes facettes de notre vie numérisée, voilà justement ce que propose cet atlas, conçu et cartographié à l'aide des outils les plus sophistiqués de la visualisation numérique.
Réseaux sociaux (Internet). --- Société numérique. --- Économie numérique. --- Intelligence artificielle. --- Culture numérique. --- Information society --- Online social networks --- Artificial intelligence --- Information technology --- Réseaux sociaux (Internet). --- Société numérique. --- Économie numérique. --- Culture numérique. --- Technologies de l'information et de la communication.
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Les progrès fulgurants de l’intelligence artificielle et son déploiement à grande échelle, en particulier dans les services publics et les administrations, fascinent et inquiètent les juristes et les citoyens, qui redoutent, non sans raison, les atteintes aux droits et libertés, voire la disparition de l’État de droit démocratique. Le lecteur trouvera dans l’ouvrage les règles qui encadrent l’intelligence artificielle ainsi que les affaires judiciaires de plus en plus nombreuses auxquelles donnent lieu certaines de ses applications. Des cas réels lui seront présentés dans les domaines de la vidéosurveillance, du crédit social, de la lutte contre les épidémies (au départ de la crise de la Covid-19), de la gestion des phénomènes migratoires, de la chasse aux fraudeurs et de la justice pénale, ainsi que des villes intelligentes (smart cities) qui émergent comme nouvelle organisation politique. Nous examinons également les modèles de langage du type ChatGPT et leurs effets concrets sur les métiers du droit. L’ouvrage est divisé en deux parties qui s’inscrivent dans la méthode pragmatique caractéristique de l’École de Bruxelles. La première étudie les règles qui s’appliquent aux dispositifs de gouvernance algorithmique et certaines de ses applications. La seconde rassemble une série d’études de cas qui couvrent plusieurs domaines d’application de l’intelligence artificielle.
Intelligence artificielle --- Droit. --- Artificial intelligence --- Rule of law --- Civil rights --- Règle de droit --- Droits de l'homme --- Law and legislation --- Droit --- Administration publique --- Culture numérique. --- Société numérique --- Informatique. --- Aspect politique. --- Information society --- Electronic surveillance --- Société de l'information --- Surveillance électronique --- Culture numérique. --- Société numérique
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"Depuis toujours, les sociétés humaines vivent des mutations. Au fil des siècles se développent, en effet, des outils propres à changer les relations sociales, à transformer les interactions. Mais celles que nous voyons émerger aujourd'hui se révèlent profondes, radicales et irréversibles. Elles captent notre attention et changent nos manières de vivre, de nous rencontrer ou de nous rapporter à la réalité. Nous vivons, ainsi, dans un monde marqué par un processus d'accélération technologique vertigineux. Les objets qui, dorénavant, accompagnent chaque instant de notre vie (ordinateurs, mobiles, tablettes, robots) altèrent ou modifient radicalement les catégories avec lesquelles nous pensions et agissions jusque-là : le temps, l'espace, le pouvoir, la vérité, la communication, les identifications... Depuis seulement quelques décennies, la numérisation de notre univers sociétal engendre une explosion combinatoire provoquant ce que certains appellent une disruption. Celle-ci bouleverse les cadres d'à peu près tous les domaines et remet en question la puissance publique. Face à ce monde aux multiples transformations, la pensée du philosophe Bernard Stiegler nous offre des clés essentielles pour développer une posture critique. Elle donne au citoyen des outils propres à sortir des inclinations à la fascination autant que du penchant à la technophobie. Si ce monde numérisé étend sa toile sur toutes les ramifications de nos existences, il convient, alors, de l'appréhender en ne lâchant jamais les questions de la finalité et du sens du vivre ensemble."--Page 4 of cover.
Culture numérique --- Internet. --- Cyberespace. --- Réseaux sociaux (Internet) --- Utilisation de l'internet --- Cyberspace. --- Online social networks. --- Philosophie. --- Influence. --- Stiegler, Bernard, --- Critique et interprétation --- Société numérique --- Technologie de rupture --- Société --- Stiegler, Bernard --- technologie --- NTIC --- changement social --- philosophie sociale --- Information society --- Information technology --- Philosophy. --- Stiegler, Bernard.
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De quelle façon l'intelligence artificielle va-t-elle s'immiscer dans notre société ? Les machines finiront-elles par nous surpasser et prendre notre place sur le marché du travail ? Cette utopie transhumaniste, certains pensent qu'elle deviendra réalité dans le courant de ce siècle. Et si ces recherches aboutissent, que se passera-t-il ? Ne sommes-nous pas en train de fabriquer ce qui fera notre perte ? Comment éviter que les machines prennent le dessus ? Quel futur voulons-nous pour les générations à venir ? Dans ce livre, Max Tegmark fait le point sur les recherches en cours, sur les conséquences heureuses et néfastes qu'elles pourraient avoir dans des domaines aussi variés que la guerre, la justice, ou encore le travail, et explore les chemins qui nous mèneront vers une nouvelle ère, celle d'une planète 3.0 où l'homme cohabitera avec des machines intelligentes.
Intelligence artificielle. --- Ordinateurs et civilisation. --- Automatisation --- Aspect social. --- Artificial intelligence --- Automation --- Technological forecasting. --- Intelligence artificielle --- Prévision technologique --- Philosophy. --- Social aspects. --- Moral and ethical aspects --- Moral and rthical aspects --- Philosophie --- Aspect social --- Aspect moral --- Moral and ethical aspects. --- Technological forecasting --- Philosophy --- Social aspects --- Artificial intelligence - Philosophy --- Artificial intelligence - Social aspects --- Automation - Social aspects --- Artificial intelligence - Moral and ethical aspects --- Automation - Moral and ethical aspects --- Artificial intelligence. --- Internet literacy. --- Transhumanism. --- Culture numérique. --- Transhumanisme. --- Société.
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"Aujourd'hui, nos vies se retrouvent sous l'influence de nombreux algorithmes. Il y a ceux qui aident et qui conseillent : le GPS, les algorithmes de recommandation, les moteurs de recherche, les logiciels d'économie circulaire, les sites de rencontre. Nous nous y conformons sans aller outre, par confort, par facilité, par habitude ou lassitude. Mais il en est une deuxième catégorie, plus redoutable qui, elle, nous oblige et nous emprisonne dans ses lignes de code, inévitable et sans échappatoire possible : les systèmes d'inscription dans les établissements scolaires et universitaires, l'accès aux crédits, la fiscalité et la blockchain, et plus récemment toutes les applications qui nous ont permis d'affronter la crise du Covid. Face à cette défiance de la politique et de nos gouvernants qui s'installe partout, en réponse aux urgences et aux crises qui se multiplient, n'est-il pas temps de substituer l'algocratie à la démocratie ?"
Algorithms --- Social media and society --- Algorithms. --- Democracy. --- Random projection method. --- Information society. --- Social change. --- Algorithmes --- Démocratie. --- Méthode de projection aléatoire. --- Société numérique. --- Changement social. --- Algorithmes en ligne --- Société de l'information. --- Intelligence artificielle. --- Culture numérique --- Inclusion numérique --- Aspect social. --- Utilisation --- Aspect social --- Online algorithms --- Information society --- Social change --- Artificial intelligence --- Social aspects. --- Démocratie. --- Méthode de projection aléatoire. --- Société numérique.