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"If you're woke, you're left. If you're left, you're woke. We blur the terms, assuming that if you're one you must be the other. That, Susan Neiman argues, is a dangerous mistake. The intellectual roots and resources of wokeism conflict with ideas that have guided the left for more than 200 years: a commitment to universalism over tribalism, a firm distinction between justice and power, and a belief in the possibility of progress. The woke may do some good in the short term but without these ideas, Neiman argues, they will continue to undermine their own goals and drift, inexorably and unintentionally, towards the right. In the long run, they risk becoming what they despise. One of the world's leading philosophical voices, Neiman makes this case by tracing the malign influence of two titans of twentieth-century thought, Michel Foucault and Carl Schmitt, who respectively mocked justice and progress and portrayed social life as an eternal struggle of us against them . A generation schooled with these voices in their heads, raised in a broader culture shaped by the ruthless ideas of neoliberalism and evolutionary psychology, has set about changing the world. It's time they thought again."--
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Rassemblant un vaste savoir sur la philosophie politique, le droit et l'histoire constitutionnelle, Carl Schmitt a écrit un ouvrage qui s'adresse à tous ceux qui s'intéressent à l'Etat moderne. L'originalité et la profondeur de sa pensée s'allient avec bonheur à une érudition vivante et à une remarquable capacité de systématisation. Après avoir défendu la validité d'une notion politique de la Constitution et polémiqué avec son grand adversaire, le viennois Hans Kelsen promoteur du normativisme, Schmitt entreprend d'analyser l'Etat de droit libéral-bourgeois en le décomposant en deux éléments antithétiques : libéraux (les droits de l'homme, la séparation des pouvoirs) et politiques (la représentation et l'identité). L'ouvrage s'achève sur une théorie de la fédération d'une surprenante actualité au regard de la construction européenne. " (Olivier Beaud, in " Préface ").
SYSTEMES POLITIQUES --- INSTITUTIONS POLITIQUES --- SOCIETES AVEC ETAT --- LOI FONDAMENTALE --- Théorie du droit --- Schmitt, Carl (1888-1985) --- Théorie de la constitution
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En dépit de ses engagements politiques, dont sa réputation a porté le poids, Carl Schmitt apparaît aujourd'hui comme une des figures majeures de la pensée politique du XXe siècle, dont l'influence souterraine s'est exercée en profondeur, en particulier sur la réflexion constitutionnelle.Dans sa théorie, la théologie politique est une pièce essentielle pour l'interprétation de la nature du politique : «Presque tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l'État sont des concepts théologiques sécularisés.» Le Dieu tout-puissant est devenu le législateur omnipotent ; la «situation exceptionnelle» a finalement pour le droit la même signification que le miracle. De ce vaste transfert, le grand juriste et philosophe souligne les implications et les conséquences pour l'évolution des sociétés modernes.Sous ce titre sont réunis deux essais écrits à près de cinquante ans d'intervalle, 1922 et 1969. Le premier contient, entre autres, le chapitre sur la souveraineté, dont la première phrase - «Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnnelle» - est devenue célèbre. Le second est une réponse aux critiques de toute théologie politique inspirée du christianisme, critiques développées en 1935 par le théologien Erik Peterson et reçues depuis lors comme un dogme.
Théologie politique --- Souveraineté --- Christianisme et politique --- Christianity and politics --- Sciences politiques --- Etat --- Schmitt, Carl (1888-1985) --- État --- Philosophie politique
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Pour Carl Schmitt, la politique constitue une dimension autonome de la vie des hommes, qui ne prend tout son sens qu'en référence à des situations concrètes, c'est-à-dire face aux défis de l'histoire. C'est ce qu'avaient également compris Machiavel, dans l'Italie du début du XVIe siècle, et Clausewitz, à l'époque du soulèvement de la Prusse contre l'occupation napoléonienne. Schmitt, à un demi-siècle d'intervalle, avait consacré à ces deux " partisans de la politique " des essais qui constituent la première partie de ce recueil de textes fondateurs, pour la plupart inédits en français jusqu'à présent. Ils sont ici suivis d'un autre texte important, " La Rhénanie, objet de la politique internationale " (1925), dans lequel Cari Schmitt fait l'analyse de l'évolution du droit international, analyse qui conserve toute sa pertinence aujourd'hui. On trouvera également dans ce volume le texte intégral du célèbre essai sur " La situation de la science juridique européenne " (1950), méditation sur la tradition européenne du droit, qu'on a pu considérer, non sans raison, comme le véritable " testament " de Cari Schmitt. Y font suite une série d'articles, consacrés au " Nomos de la Terre ", ainsi qu'à l'affrontement de la Terre et de la Mer, dans lesquels Schmitt annonce, de manière prophétique, l'enjeu essentiel de notre temps : l'évolution du monde, soit vers un modèle unipolaire, qui consacrerait l'hégémonie de la puissance dominante, soit vers un modèle multipolaire, où de " grands espaces " géopolitiques et culturels pourraient jouer le rôle de pôles de régulation de la mondialisation. Ces textes, qui offrent au lecteur un large panorama de la pensée schmittienne, tant politique que juridique, sont présentés et commentés par Julien Brunet, Agostino Carrino, Günter Maschke, Paul Piccone et Gary L. Ulmen.
Schmitt, Carl, --- Clausewitz, Carl von, --- Machiavel, --- Pensée politique et sociale --- Machiavel --- Pensée politique et sociale. --- Schmitt, Carl --- Schmitt, Carl, - 1888-1985
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La notion de politique est le titre de l’ouvrage le plus célèbre et sans doute le plus marquant de Carl Schmitt. C’est aussi une expression par laquelle il entendait fixer le critère du politique, qu’il s’agisse d’une position, d’un contexte, d’une action ou d’un conflit politique. À travers ce critère, c’est l’essence même du politique qu’il déterminait et qu’il faisait résider dans la distinction ami/ennemi. Or ce que nous entendons montrer dans le présent ouvrage, c’est que ce prétendu critère et cette détermination de l’essence du politique relèvent du mythe. En un double sens : d’abord, au sens d’une fable et d’une fiction liées à d’autres fables et fictions par lesquelles Schmitt reconstruit imaginairement la réalité politique. Ensuite, au sens où le politique est arraché par Schmitt au domaine de la rationalité pour être déplacé dans l’espace d’une mythologie politique où les notions de katechon, de combat ultime, d’apocalypse, etc. occupent une place centrale. Cela reviendra à montrer que, contrairement à ce que certains, et même beaucoup, voudraient nous faire accroire, Schmitt n’est ni le penseur du politique, ni le penseur de l’État moderne ou postmoderne. Si on a pu le dire, c’est que notre temps est celui d’une confusion philosophique et politique telle que l’on peut faire passer la contrefaçon la plus grossière pour la chose même.
Political philosophy. Social philosophy --- Political science --- Science politique --- Philosophy --- Philosophie --- Schmitt, Carl, --- Criticism and interpretation --- Philosophie allemande --- --Nazisme --- --Philosophie politique --- --Philosophy. --- Criticism and interpretation. --- Political philosophy --- Schmitt-Dorotić, Carl, --- Dorotić, Carl Schmitt-, --- Shumitto, Kāru, --- Shmitt, Karl, --- שמיט, קרל, --- Šmit, Karl, --- Schmitt, Carl --- Political science - Philosophy. --- Nazisme --- Philosophie politique --- Schmitt, Carl, - 1888-1985 - Criticism and interpretation. --- Schmitt, Carl, - 1888-1985
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Legal theory and methods. Philosophy of law --- Capitant, René --- Schmitt, Carl --- Cabinet system --- Representative government and representation --- Capitant, René --- Schmitt, Carl, --- Contributions in political science --- Capitant, René - Contributions in political science --- Schmitt, Carl, - 1888-1985 - Contributions in political science --- Schmitt, Carl, - 1888-1985
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National socialism and philosophy --- Nazisme et philosophie --- Schmitt, Carl, --- Criticism and interpretation --- Et l'antisémitisme --- Et l'antisémitisme --- Political theology --- Antisemitism --- aSchmitt, Carl, --- Views on Jews --- Criticism and interpretation. --- Et l'antisémitisme. --- Political theology - Germany --- aSchmitt, Carl, - 1888-1985 - Views on Jews --- aSchmitt, Carl, - 1888-1985 --- Schmitt, Carl (1888-1985) --- Critique et interprétation --- Et les Juifs --- Schmitt, Carl, - 1888-1985
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L'affaire est entendue, et Karl Jaspers l'a résumée : Carl Schmitt fait partie avec Heidegger de "ces professeurs [...] qui ont tenté de prendre intellectuellement la tête du mouvement national-socialiste". Depuis lors, nonobstant, des contradicteurs distingués, Strauss, Löwith, Peterson, Kojève, Blumenberg, Habermas, Derrida..., ont discuté âprement ses thèses, souvent pour les rejeter, comme il en va avec tous les classiques intéressants, de Platon à Wittgenstein. Aussi l'heure est-elle venue de "partir de Carl Schmitt", au double sens de reformuler des questions essentielles à partir de certains de ses travaux et de lui donner congé lorsqu'il ne nous aide plus à penser. Certains de ses concepts (le nomos de la terre, la constitution comme décision "existentielle"...) ou des concepts sur lesquels il a apposé son empreinte (le pouvoir constituant, l'Éttat de droit "bourgeois") éclairent différemment des questions telles que le rapport entre décision et rationalité ; l'enracinement des normes juridiques dans les institutions ; le statut de l'ordre constitutionnel et ses présuppositions ; les effets pervers du retour de la morale en politique internationale (droits de l'homme et démocratie forment-ils le couple uni que l'opinion dominante nous décrit ?). Mais cette fécondité se heurte à une limite fondamentale : Schmitt est plus efficace pour penser des ruptures et des instaurations que pour décrire le fonctionnement normal de l'ordre juridique établi. À jamais, il demeure un penseur du dissentiment.
Political science --- Science politique --- Philosophy --- History --- Philosophie --- Histoire --- Schmitt, Carl, --- Schmitt, Carl --- 5918 --- Criticism and interpretation --- Schmitt-Dorotić, Carl, --- Dorotić, Carl Schmitt-, --- Shumitto, Kāru, --- Shmitt, Karl, --- שמיט, קרל, --- Šmit, Karl, --- Critique et interprétation. --- --Schmitt, Carl, --- Schmitt, Carl, - 1888-1985 - Criticism and interpretation --- Schmitt, Carl, - 1888-1985
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Nach langen Jahren gegenseitiger Anerkennung gaben Jacob Taubes und Carl Schmitt die Distanz zueinander schließlich auf und wechselten zwischen 1977 und 1980 insgesamt 36 Briefe. In ihnen ist ein Gespräch zwischen zwei ebenso bedeutenden wie skandalisierenden Intellektuellen dokumentiert. Zwischen Schmitt und Taubes entwickelt sich ein Dialog über aktuelle Fragen des Staates und der Politischen Theologie. Der Hl. Paulus, Thomas Hobbes, Erik Peterson, Leo Strauss und Walter Benjamin – ihr Echo hallt in einer Korrespondenz wider, in der das Denken der Gewissheit von erlösender Offenbarung und katholischer Form unterworfen, vom apokalyptischen Affekt und vom Wirken des Katechonten bestimmt, schließlich im kalten Raum absoluter Entscheidungen verortet ist.
Philosophers --- Taubes, Jacob --- Schmitt, Carl, --- Scholars --- Schmitt-Dorotić, Carl, --- Dorotić, Carl Schmitt-, --- Shumitto, Kāru, --- Shmitt, Karl, --- שמיט, קרל, --- Šmit, Karl, --- Philosophers - Germany - Correspondence --- Philosophers - United States - Correspondence --- Taubes, Jacob - Correspondence --- Schmitt, Carl, - 1888-1985 - Correspondence --- Schmitt, Carl, - 1888-1985