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Cotton --- Gossypium hirsutum --- Rural development --- Globalization --- Plant breeding --- breeding --- international relations --- world --- Africa
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Cotton --- Cotton industry --- Diversification --- Development policies --- classification --- farms --- Peasant workers --- Cameroon
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Le Mali, est un vaste pays aux zones climatiques variées et aux potentialités agronomiques importantes. Le karité, ou Vitellaria paradoxa est un arbre qui pousse uniquement en Afrique et dont les fruits sont prisés dans le monde entier, surtout pour la fabrication de beurre de karité utilisé par les industries du chocolat. Avec un parc de plus de 20 millions d’hectares, le Mali pourrait se placer parmi les premiers producteurs et transformateurs de karité. Cependant, faute de connaissance des stratégies des acteurs impliqués dans la chaîne de valeur (CV) du karité, l’exploitation des amandes est bien en dessous du potentiel estimé à 600 000 tonnes par an. (Nouvellet et al., 2006) OMADEZA, ONG malienne, travaille au renforcement des capacités des producteurs et productrices ruraux, dont les transformatrices de karité. Grâce à des enquêtes auprès de coopératives de productrices de karité, l’analyse fonctionnelle, économique, sociale et environnementale a été menée dans trois trois villages du cercle de Bougouni. L’analyse fonctionnelle a d’abord permis d’identifier les acteurs et les échanges de produits entre eux. Quatre niveaux de production en sont ressortis : la production primaire avec le ramassage des noix, la transformation avec la fabrication de beurre et le broyage des amandes, la commercialisation par des semi-grossistes à grossistes et la consommation finale. Le pouvoir de négociation des productrices face aux commerçants est faible en plus peu de stratégies de commercialisation. L’analyse économique a révélé une forte inégalité dans la répartition de la valeur ajoutée et une non inclusivité de la croissance économique. L’analyse sociale a confirmé les inégalités de genre constatées à l’échelle nationale et l’impact environnemental de la CV, bien que non mesuré, n’est pas à démontrer Mali is a vast country with varied climatic zones and important agronomic potentialities. Shea tree, or Vitellaria paradoxa is a tree that grows only in Africa and which fruits are prized around the world, especially for the manufacture of shea butter used by the chocolate industries. With a park of more than 20 million hectares, Mali could be one of the leading producers and processors of shea. However, lack of knowledge of the strategies of the actors involved in the value chain (CV) of shea, the exploitation of almonds is well below the potential estimated at 600 000 tons per year. (Nouvellet et al., 2006) OMADEZA, a Malian NGO, works to build the capacity of rural producers, including shea processors. Through surveys of cooperatives of shea producers, functional, economic, social and environmental analysis was conducted in three villages in the Bougouni circle. The functional analysis first identified the actors and the exchanges of products between them. Four levels of production have emerged: primary production with the picking of nuts, processing with the manufacture of butter and the crushing of almonds, marketing by wholesalers to wholesalers and final consumption. Producers' bargaining power against traders is low and there are few marketing strategies. Economic analysis revealed a high inequality in the distribution of value added and non-inclusiveness of economic growth. The social analysis has confirmed the gender inequalities observed at the national level and the environmental impact of CV, although not measured, is not to be demonstrated.
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Entre terres et mers, les territoires de mangrove se révèlent être des écosystèmes abritant une faune et une flore variée. Les ressources de la mangrove sont particulièrement convoitées par les populations locales comme les ressources halieutiques ou le bois de chauffe. L’état de l’écosystème a été projeté sur l’avant de la scène internationale, défendue par les organisations non gouvernementales et dans le but de contribuer à sa préservation. Des mesures de gestion et de conservation de l’environnement ont ensuite été transférées au sein des politiques nationales. De plus, le cadre institutionnel a instauré l’Acte de Décentralisation III qui a permis par la suite de transférer les compétences en matière de gestion de l’environnement aux collectivités territoriales. Ces acteurs étatiques sont considérés comme étant plus proche des zones d’intervention et de la population locale pour respecter les mesures. Ensuite, la mise en place des Aires Marines Communautaires Protégées a également vu le jour ayant comme objectif de préserver les espaces protégés avec et pour les communautés locales. Les méthodes de gestion participative dans le cadre de l’environnement font de plus en plus leur apparition sur le terrain, notamment avec l’aide des partenaires de développement. Ainsi, le Collectif 5Deltas et ses partenaires visent l’amélioration de la gestion et la valorisation des ressources naturelles dans les territoires de mangroves au Sénégal en insérant une dynamique de partage des connaissances autour des outils de la mangrove entre les bénéficiaires des projets. L’objet de cette étude est de comprendre comment s’organisent les territoires mangroves du Sénégal à travers les notions de stratégies, d’intérêts, de représentations et d’interventions. Les résultats de cette recherche expliquent l’ensemble de ces notions partagées par les acteurs enquêtées. Au fil des enquêtes, les acteurs ont abordé une série de préoccupations quant aux mécanismes des projets. La partie réflexive du travail évoque les thèmes parfois soulevés lors des enquêtes. Elle élabore les intentions parfois contradictoires autour des volontés de protection et en même temps celles de développement local. Cette partie discute également de la place des partenaires de développement sur le terrain, comme leur dimension sociale, leurs stratégies et leur légitimité. De ce contexte, l’étude aborde les différentes perspectives qui pourraient tendre vers un modèle de gestion et des activités de financement à l’échelle territoriale et locale de façon plus durable.
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Synthèse d'un travail entre des professeurs de la Faculté des Sciences agronomiques et l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, cette brochure reprend les réalisations des enfants sur base des explications scientifiques reçues.
water --- trees --- Plant water relations --- biology
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L’objectif de cette étude est de déterminer les enjeux socio-économiques et environnementaux du développement des plantations d'anacardiers dans la communauté rurale de Boundiali. Pour atteindre ces objectifs, une enquête a été menée auprès d’un échantillon de 47 producteurs d’anacarde et de coton dans huit villages du Département de Boundiali. En plus des producteurs, la direction régionale de l’agriculture et les acteurs de la filière (ANADER et CCA) ont été interviewés. Un questionnaire structuré en quatre parties et des guides d’entretien ont été utilisés pour la collecte des données. Les résultats de cette étude ont montré que l’anacarde est produit sur des exploitations familiales. Les superficies consacrées à l’anacarde sur les exploitions investiguées varient de 2 à 40 ha, avec une médiane qui se situe à 10 ha. Cette spéculation enregistre la plus grande surface emblavée par l’échantillon de producteurs (462 ha), suivie du coton (164 ha). Le maïs, le riz pluvial, l’arachide et l’igname produits principalement pour l’autoconsommation ont des superficies respectives de 134 ha, 107,5 ha, 76 ha et 16,5 ha. Ces superficies montrent que l’anacarde prend de l’ampleur dans les assolements des producteurs, mais n’impacte pas la production de cultures annuelles. Les principales raisons de l’essor de l’anacarde relevées auprès des producteurs sont la valeur commerciale des noix de cajou, le temps consacré à l’entretien des vergers, l’intérêt environnemental, la préparation de la retraite, la diversification des sources de revenus suite à la crise cotonnière et la sécurisation foncière. Cependant, les producteurs sont confrontés à certaines contraintes telles que le manque d’intrants, les dégâts causés par les boeufs, les feux de brousse, la fluctuation des prix, les problèmes fonciers et le vol des noix de cajou. Ces éléments impactent le rendement (400 Kg/ha) et le revenu agricole du travail et du capital familial. De plus, l’anacardier a un impact positif sur l’environnement et son revenu est complémentaire à celui du coton.
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