Listing 1 - 10 of 1040 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
1.L’étude de la prévalence de quelques dermatoses communes chez les enfants en âge scolaire a pu se réaliser jusqu’à son terme grâce à la collaboration active du Centre de Médecine Scolaire de l’UCL. Cet environnement de travail privilégié associé au turnover élevé de la population examinée a permis de cerner de manière précise l’amplitude relative des problèmes en région bruxelloise. Il n’y a pas d’étude similaire récente dans la littérature.
2. La prévalence du molluscum contagiosum chez l’enfant (0.85%) est quasi équivalente à celle rencontrée par Calderon et al en 1993 dans la population générale. Comme nous ne disposons pas d’un travail similaire en Belgique dans les années antérieures, il est impossible de statuer scientifiquement sur une amplification éventuelle du problème dans notre pays. Les travaux cités dans les références bibliographiques ne permettent pas de véritable comparaison de prévalence, car ils s’adressent à des population trop distinctes, vivant en outre des conditions climatiques variées.
3. La prévalence des verrues virales (3.6%) est 4 à 5 fois plus élevée que celles des molluscums contagiosums. Les verrues virales constituent donc un problème très fréquent en Belgique
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Au cours de nos diverses expériences, nous avons itérativement irrité la peau saine d’adultes selon une périodicité hebdomadaire et pendant 8 semaines.
Notre évaluation de la réaction de la peau à cette irritation répétée pendant la durée de ces expériences a été possibles grâce à plusieurs approches : fonctionnelles paramétriques, clinique, morphologique non invasive par biopsie de surface et histologique.
En dépit du protocole expérimental si particulier, cette étude a permis pour la première fois de connaître, de manière assez proche de la réalité vécue en milieu professionnel, l’évolution des perturbations fonctionnelles et morphologique d’une peau subissant des agressions chimiques répétitives.
bien que le phénomène d tolérance cutanée « hardening » soit décrit en clinique dermatologique, il reste non confirmé expérimentalement : maintien des perturbations fonctionnelles à un certain seuil sans retour à la normale, réexacerbation pendant le contact. Cependant on oserait dire que la tolérance de la peau à l’irritation répétitive est relative car les perturbations fonctionnelles ne dépassent pas le seuil initialement atteint. Elle est, au contraire en perpétuelle défense grâce à la réorganisation de son épiderme dont la couche cornée constitue un véritable barrage à l’agression chimique
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Listing 1 - 10 of 1040 | << page >> |
Sort by
|