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276 =71 --- 276 =71 Latijnse patrologie --- 276 =71 Patrologie latine --- Latijnse patrologie --- Patrologie latine
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Evêque d'Arles pendant quarante ans (502-542), saint Césaire exerça un rayonnement qui dépassa considérablement les limites de son diocèse. Il s'acquitta de sa charge de primat avec conscience et eut une influence certaine en Gaule et en Espagne, tant sur les conciles que sur l'épiscopat et le clergé. Héritier de saint Augustin, il intervint efficacement et durablement sur des questions fondamentales.Il joua un rôle déterminant pour défendre et affirmer la conception catholique de la relation existentielle entre Dieu et l'homme, entre la grâce et la liberté. Il remit de l'ordre dans les diocèses à l'occasion de conciles régionaux. A sa mort, il laisse une oeuvre considérable et reste, parmi les latins, le Père de l'Eglise le plus prolixe après saint Augustin. Il est encore présent dans les textes conciliaires de Trente, Vatican I et Vatican II.Il est référencé dernièrement dans l'exhortation apostolique Gaudete et exsultate, du pape François du 19 mars 2018. Césaire retrouve ainsi aujourd'hui sa véritable stature de Père de l'Eglise. De quasi ignoré au début du XXe siècle, il est reconnu comme le pasteur zélé qui aime et éduque son peuple et apparaît comme un vrai théologien. Ceci notamment grâce aux recherches de Dom Germain Morin, moins bénédictin, qui a su éditer ses oeuvres complètes avec l'appui direct des papes Pie XI et Pie XII.
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Les œuvres conciliaires de Césaire d’Arles (470-542) présentées ici en français sont la traduction du texte latin publié par dom Germain Morin en 1942, aux éditions de l’abbaye de Maredsous.La traduction et les notes sont présentées par Yves Lefauconnier (Professeur agrégé de Lettres Classiques). On y découvrira particulièrement les canons du concile d’Agde de 506 et les canons du concile d’Orange II de 529 sur la Grâce. Ce sont des textes constitutifs de l’histoire de l’église, textes cités dans plus de 60 conciles jusqu’à la fin du Moyen-Age, lors du concile de Trente (1542-1563), du concile Vatican I (1869-1870), du concile Vatican II (1962-1965) et récemment par le pape François en mars 2018 (exhortation apostolique «Sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel»). Suivent des notes et commentaires de dom Joël Courreau (1936-2001†, Abbaye de Ligugé) sur le concile d’Orange (529) et une communication sur les apports et les réformes de Césaire d’Arles à l’église universelle, parDominique Le Tourneau, à la suite de quoi Jérémy Delmulle (chargé de recherche, CNRS, Paris) nous rappelle l’influence du post-pélagianisme gaulois au temps de Césaire d’Arles. Enfin Marc Heijmans du Centre Camille Jullian à Aix-en-Provence nous présente «les suffragants de Césaire d’Arles : un jeu de chaises épiscopales».Les cahiers de Césaire d’Arles ont pour objet d’ offrir aux étudiants, aux chercheurs et au grand public des textes libres de droits, ainsi que des communications privées et des communications non encore publiées sur l’œuvre de Césaire d’Arles
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Augustin ne cherchait certes pas à bâtir une "civilisation chrétienne", ou à tracer les délimitations de ce que serait une "culture chrétienne" car la Cité de Dieu est d'un autre ordre que la cité des hommes et c'est vers cet ordre surnaturel, celui de la grâce et de la charité, que tendaient son effort et son désir. Pourtant, tout en cherchant inlassablement cet ordre de la grâce, il a dû mener un réel combat spirituel.Car non content d'être marqué par la culture de son époque, il en était également épris ! Il s'était passionné pour tous les reflets de la vérité qu'il avait pu percevoir çà et là, particulièrement chez les penseurs platoniciens. De manière suggestive, James Wetzel qualifie Virgile et Porphyre d'"ennemis intérieurs" pour Augustin ; leur pensée résonnait en lui, le convainquait, le séduisait — si fortement qu'il a dû, peut-être d'abord pour lui-même, et aussi pour ses lecteurs, entreprendre cette démarche de discernement spirituel consignée dans les vingt-deux livres du De Civitate Dei.Ce faisant, il a légué une oeuvre qui, au cours des siècles, inspire et guide les chrétiens dans leur effort pour habiter le monde ; car s'il faut "fuir Babylone", cela ne signifie pas fuir le monde mais plutôt, comme le dit de belle manière Peter Brown, développer un "art de vivre surnaturellement dans ce monde".
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The Reading Augustine series presents concise, personal readings of St. Augustine of Hippo from leading philosophers and religious scholars. John Rist takes the reader through Augustine's ethics, the arguments he made and how he arrived at them, and shows how this moral philosophy remains vital for us today. Rist identifies Augustine's challenge to all ideas of moral autonomy, concentrating especially on his understanding of humility as an honest appraisal of our moral state. He looks at thinkers who accept parts of Augustine's evaluation of the human condition but lapse into bleakness and pessimism since for them God has disappeared. In the concluding parts of the book, Rist suggests how a developed version of Augustine's original vision can be applied to the complexities of modern life while also laying out, on the other hand, what our moral universe would look like without Augustine's contribution to it.
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Le Fruit de l'Esprit, recueil d'articles sur Irénée de Lyon, traite de l'homme et de l'Église. Face aux gnostiques qui opposent la chair et l'esprit, Irénée affirme que " le fruit de l'Esprit, c'est le salut de la chair " et invoque la " règle de vérité ". L'Esprit est présent dans l'Église: " là où est l'Église, là aussi est l'Esprit de Dieu ". Il anime l'Église en répandant en elle ses charismes, en particulier les apôtres, les prophètes et les docteurs. Il ne faut donc pas opposer charisme et institution dans l'Église. Elle est une, sainte, catholique et apostolique et la " Tradition apostolique " est transmise par la " succession épiscopale ". Face aux divisions introduites par les gnostiques, Irénée est le docteur de l'unité: unité de Dieu, créateur et Père, unité du Christ, vrai Dieu et vrai homme, unité de l'homme, des testaments, des économies divines, unité qu'Irénée exprime par une image musicale: la symphonie du salut. Le Concile de Vatican II a retenu trois aspects de la pensée d'Irénée: 1. la Tradition apostolique et la succession épiscopale, ainsi que le " sûr charisme de vérité " donné aux évêques, 2. la récapitulation de tout dans le Christ, et 3. la Vierge Marie dans le dernier chapitre de Lumen Gentium.0Enfin ce recueil d'articles s'achève sur une présentation de l'oeuvre du Père Antonio Orbe S.J., professeur à l'Université Grégorienne à Rome et de sa Théologie des IIe et IIIe siècles. Celuici a dirigé la thèse de l'auteur: Homo vivens. Incorruptibilité et divinisation de l'homme chez Irénée de Lyon.
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The Institutiones humanarum litterarum – that is, the second book of Cassiodorus’ masterpiece, devoted to secular learning – have come down to us in three different textual forms: the ‘authentic’ recension Ω, corresponding to Cassiodorus’ final wishes, and two subsequent recensions, designated as Φ and Δ. In these two recensions, later interpolations were added on the basis of an earlier authorial draft, providing modern readers with valuable information both about Cassiodorus’ progressive revisions and about the early fortune of his work This volume provides a full commentary to the first critical edition of the interpolated recensions Φ and Δ (CC SL 99A). In doing so, it conveys a full picture of the complex history of the Institutiones saeculares, from their first appearance in the monastery of Vivarium to the Carolingian Renaissance, at which time they knew their greatest success and circulation
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