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Partout dans le monde, des mouvements contestent l’appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun.
Social change --- Political philosophy. Social philosophy --- Sociology of culture --- anno 2010-2019 --- anno 2000-2009 --- Common good. --- Communism --- Revolutions --- Political science. --- Bien commun --- Communisme --- Révolutions --- Science politique --- History --- Histoire --- Common good --- Political science --- Aspect politique --- 330.55 --- 338.317.0 --- AA / International- internationaal --- Coöperatief stelsel. --- Coöperatief stelsel: algemeenheden. Coöperatieve vennootschappen. --- #SBIB:321H30 --- 316.32 --- 316.32 Globale samenlevingsvormen --- Globale samenlevingsvormen --- Coöperatief stelsel --- Coöperatief stelsel: algemeenheden. Coöperatieve vennootschappen --- Hedendaagse politieke en sociale theorieën (vanaf de 19de eeuw): algemeen (incl. utilitarisme, burgerschap) --- Révolutions --- 334 --- 335.55 --- coöperaties - coöperatieve verenigingen (zie ook 658.114.7) --- communisme - leninisme (zie ook 141.823)
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Political science --- Liberalism --- Science politique --- Libéralisme --- philosophie --- liberalisme --- filosofie --- Libéralisme --- Capitalism --- Free enterprise --- Market economy --- Economics --- Profit --- Capital --- Liberal egalitarianism --- Liberty --- Social sciences --- Free markets --- Laissez-faire --- Markets, Free --- Private enterprise --- Economic policy
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Philosophy, Marxist. --- Social sciences --- Communism --- Philosophie marxiste --- Sciences sociales --- Communisme --- Philosophy. --- Philosophie --- Marx, Karl, --- Marx, Karl, - 1818-1883 --- Marx, Karl, 1818-1883 --- Marx, Karl (1818-1883) --- Critique et interprétation
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Libéralisme économique --- Libéralisme (philosophie) --- Changement social --- Capitalisme --- AA / International- internationaal --- 321.0 --- 330.52 --- De staat. De maatschappijen. De maatschappelijke klassen. Algemene naslagwerken. --- Liberaal systeem. Neo-liberalisme. Theorie van de onderhandeling. --- Libéralisme économique. --- Free enterprise. --- Liberalism. --- Capitalism. --- Free enterprise --- Liberalism --- Capitalism --- De staat. De maatschappijen. De maatschappelijke klassen. Algemene naslagwerken --- Liberaal systeem. Neo-liberalisme. Theorie van de onderhandeling --- 1990-....
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Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun. Les auteurs montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe siècle. Le commun appelle à une nouvelle institution de la société par elle-même : une révolution.
Sociologie --- Politique --- 21e siècle --- Capitalisme --- Intérêt général --- Choses communes (droit) --- Bien commun --- État providence --- Révolutions --- Aspect social --- Aspect politique --- Intérêt général. --- Aspect social. --- Aspect politique.
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Comment expliquer l'étrange survie des forces pourtant responsables de la crise économique de 2008, l'une des pires depuis 1929 ? Comment expliquer que le néolibéralisme soit sorti renforcé de la crise ? Au moment de son déclenchement, nombre d'économistes parmi les plus célèbres avaient hâtivement annoncé "sa mort". Ils n'ont vu dans la poursuite des politiques néolibérales que le résultat d'un entêtement doctrinal. Pour Pierre Dardot et Christian Laval, le néolibéralisme n'est pas un simple dogme. Soutenu par des oligarchies puissantes, il est un véritable système politico-institutionnel obéissant à une logique d'autorenforcement. Loin d'être une rupture, la crise est devenue un mode de gouvernement d'une redoutable efficaité. En montrant comment ce système s'est cristallisé et solidifié, le livre explique que le vérouillage néolibéral a réussi à entraver toute correction de trajectoire par la désactivation progressive de la démocratie. Accroissant le désarroi et la démobilisation, la gauche dite "gouvernementale" a contribué très activement au renforcement de la logique oligarchique. Ceci peut conduire à la sortie définitive de la démocratie au profit d'une gouvernance expertocratique soustraite à tout contrôle. Pourtant, rien n'est encore joué. Le réveil de l'activité démocratique, que l'on voit se dessiner dans les mouvements et expérimentations politiques des dernières années, est le signe que l'affrontement politique avec le système néolibéral et le bloc oligarchique a déjà commencé.
Liberalism --- Democracy --- Neoliberalism --- Libéralisme économique --- Capitalisme --- Économie de marché --- banken --- financiele crisis --- neoliberalisme --- banques --- crise financière --- néolibéralisme --- Capitalism --- Néo-libéralisme --- Démocratie --- Néo-libéralisme --- Démocratie --- Libéralisme économique. --- Capitalisme. --- Économie de marché.
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Communism. --- Soviet Union --- History --- Influence.
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À partir d’une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l’étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu’elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu’ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l’étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l’entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d’oppression.Le XXe siècle a été porteur d’innovations qui permettent d’envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l’imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d’envisager que travailleurs et usagers d’une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L’unité productive devient ainsi un commun à côté d’autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des revenus. C’est l’articulation de ces différents communs qui permet d’envisager la disparition totale de la propriété productive.
Collectivisme --- Choses communes (droit). --- Propriété. --- Collectivisme. --- Coopératives. --- Res communis. --- Propriété --- Cooperation. --- Industries --- Management --- Industrial sociology. --- Philosophie. --- Social aspects. --- Employee participation. --- Cooperation --- Cooperative societies --- Mutualism --- Collectivism --- Property
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"Il est courant de déplorer le déclin de la souveraineté de l'État-nation, qui semble devoir être aujourd'hui supplantée par la puissance du capital mondial. Restaurer la verticalité de l'État et son autorité serait ainsi la seule voie pour contester le globalisme néolibéral. C'est contre cette illusion, encore trop répandue à gauche, que Pierre Dardot et Christian Laval ont entamé ce long parcours dans l'histoire complexe et singulière de l'État occidental moderne, depuis sa naissance à partir du modèle de l'Église médiévale jusqu'à son rôle actuel d'État-stratège dans la concurrence mondiale. Comprendre les aléas et les détours de cette construction, c'est mettre à nu les ressorts d'une domination sur la société et sur chacun de ses membres qui est fondamentalement de l'ordre de la croyance : les « mystères de l'État », le culte de sa continuité qui oblige ses représentants par-delà leur succession, la sacralité dont ces derniers aiment à s'entourer dans l'exercice de leurs fonctions, autant d'éléments qui ont pu changer de forme, mais qui demeurent au principe de sa puissance. En retraçant cette généalogie, il s'agit pour les auteurs de montrer que l'on ne peut répondre aux défis de la mondialisation capitaliste et du changement climatique sans remettre en cause cet héritage. Car l'invocation de la souveraineté « nationale » est devenue l'alibi de l'inaction climatique et de la perpétration des écocides. Pour affronter ces enjeux globaux, il est indispensable de s'attaquer àun tel régime d'irresponsabilité politique qui dispense les gouvernants de rendre des comptes aux citoyens. C'est dire qu'il faut ouvrir la voie à un au-delà de la souveraineté étatique" (4ème de couv.)
État. --- Souveraineté --- Nation --- Philosophie --- Histoire. --- Sovereignty --- State, The --- History. --- History --- Western countries --- Politics and government --- SOVEREIGNTY --- STATE, THE --- Politics and government. --- Philosophy --- Sovereignty - History. --- State, The - History --- Western countries - Politics and government
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Il est devenu banal de dénoncer l'absurdité d'un marché omniscient, omnipotent et autorégulateur. Cet ouvrage montre cependant que ce chaos procède d'une rationalité dont l'action est souterraine, diffuse et globale. Cette rationalité, qui est la raison du capitalisme contemporain, est le néolibéralisme lui-même. Explorant sa genèse doctrinale et les circonstances politiques et économiques de son déploiement, les auteurs lèvent de nombreux malentendus : le néolibéralisme n'est ni un retour au libéralisme classique ni la restauration d'un capitalisme « pur ». Commettre ce contresens, c'est ne pas comprendre ce qu'il y a précisément de nouveau dans le néolibéralisme : loin de voir dans le marché une donnée naturelle qui limiterait l'action de l'État, il se fixe pour objectif de construire le marché et de faire de l'entreprise le modèle du gouvernement des sujets. Par des voies multiples, le néolibéralisme s'est imposé comme la nouvelle raison du monde, qui fait de la concurrence la norme universelle des conduites et ne laisse intacte aucune sphère de l'existence humaine. Cette logique érode jusqu'à la conception classique de la démocratie. Elle introduit des formes inédites d'assujettissement qui constituent, pour ceux qui la contestent, un défi politique et intellectuel inédit. Seule l'intelligence de cette rationalité permettra de lui opposer une véritable résistance et d'ouvrir un autre avenir.
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