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ULB (5)


Resource type

film (5)


Language

French (3)

Undetermined (2)


Year
From To Submit

2011 (2)

2006 (1)

2005 (1)

2003 (1)

Listing 1 - 5 of 5
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Film
Il piu bel giorno della mia vita DVD
Authors: --- --- ---
Year: 2003 Publisher: Italie, Cattleya, Rai Cinema,

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Abstract

Irene est dans la soixantaine. Jeune de coeur et d'esprit, elle vit dans la grande demeure familiale chargée de souvenirs. Lorsque toute la famille se retrouve à l'occasion de la première communion de la plus jeune de ses filles, Chiara, les problèmes que connaissent les enfants vont éclater au grand jour. Entre le couple qui bat de l'aile, la femme seule qui élève son fils en pleine puberté et l'homosexuel inavoué, la petite Chiara a l'air bien perdue Elle ne comprend pas toujours ces ±grands, mais veut par-dessus tout que leurs déboires s'arrangent.

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Film
Le premier homme DVD
Authors: --- --- ---
Year: 2011 Publisher: France, Italie, Cattleya, Soudaine Compagnie, Maison de Cinema,

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Abstract

Jacques Cormery est un écrivain célèbre, âgé de 40 ans, qui va rendre visite à sa mère qui se trouve à Alger, la capitale d'Algérie, dans les rues de Belcourt. Il se rappelle son enfance pauvre, de sa grand-mère qui le battait, de ses années scolaires, de ses amis algériens mais surtout de M. Bernard, son instituteur, qui grâce à lui, donne à Jacques le privilège de faire des études.

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Film
La nostra vita
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2011 Publisher: [France] : Ad Vitam,

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Abstract

Claudio, ouvrier dans le bâtiment, travaille sur un chantier dans la banlieue de Rome. Il est très amoureux de sa femme, enceinte de leur troisième enfant. Un drame inattendu va soudain bouleverser l'insouciance de cette vie simple et heureuse. Pour survivre, Claudio va affronter avec rage l'injustice intime et sociale qui le touche. Le soutien de sa famille, de ses amis et l'amour de ses enfants vont l'aider à réussir le pari de la vie. La Nostra vita souffre d’abord, comme nombre de ses compatriotes, d’une écriture désincarnée qui ôte tout intérêt à son mélodrame. Tandis que Sorrentino ne semble s’intéresser qu’à ses effets de mise en scène, que Romanzo Criminale et Nos meilleures années (mêmes scénaristes qu'ici) se la jouent roman photo, et que Gomorra fait d’une grande histoire un no man’s land de personnages, La Nostra vita n’émeut jamais, manquant singulièrement de chair et de subtilité. Pire, le film se fait parfois un rien douteux avec ses considérations sur les immigrés (ah, ces travailleurs étrangers qui n’en fichent pas une et jouent au foot, heureusement qu’on les a remplacés par des ouvriers italiens qui eux bossent vraiment!) sans jamais les remettre en question (d’ailleurs, le seul personnage qui se dit raciste… est Noir), et devient carrément beauf quand on en arrive aux personnages féminins (mères, putes, Roumaine interchangeable, il faut dit-on s’en méfier comme des chiens). On nage donc en pleine finesse et dans le néant psychologique qui, s’il permet d’éviter le méga pathos, donne l’impression que la mort de l’épouse du héros (beauf lui aussi, dont la fadeur atomise toutes ses intéressantes ambiguïtés) aurait pu être remplacée par « l’épouse du héros va acheter une baguette » qu’on n’aurait pas vraiment vu la différence (on ne parle même pas du traitement de la mort du vigile, de l'annonce au fils, plus par-dessus la jambe tu meurs).

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Film
A corps perdus
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2005 Publisher: [France] : EuropaCorp,

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Abstract

Victime d’un grave accident de scooter, une jeune fille est emmenée d’urgence à l’hôpital. Son père, chirurgien dans l’établissement, refuse d’assister à l’opération. Tandis qu’il attend avec anxiété les résultats de l’intervention, Timoteo se souvient, quinze ans plus tôt, de sa rencontre avec une dénommée Italia. Dans une sorte de confession imaginaire, il raconte à sa fille cette étrange histoire d’amour... Partant d’une banale histoire d’adultère et de double vie, A corps perdus est un film bouleversant qui traite du mystère de l’amour et de l’attraction. Loin des clichés du genre, le second long métrage de Sergio Castellitto nous entraîne dans le tourbillon d’une étrange et improbable passion entre un chirurgien respectable et une pauvre fille au nom grandiloquent, certes, mais vulgaire, sale, sans éducation et qui vit dans un no man’s land effrayant. Comment de cette liaison violente, glauque, voire choquante (elle commence par un viol) naîtra un amour profond? Tout le mystère est là. Adaptant le roman à succès de son épouse, l’actrice et scénariste Margaret Mazzantini, Castellitto traite de la violence et de l’animalité qui existe en chacun de nous et ce sans jamais juger ses personnages: ni la bestialité de Timoteo, totalement submergé par ses pulsions, ni même la soumission d’Italia, maltraitée par la vie. Une belle leçon d’humanité et de tolérance servie par deux acteurs en parfaite alchimie: Castellitto lui-même et Penelope Cruz, méconnaissable, qui trouve enfin un rôle à sa mesure.

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Film
Va, vis et deviens
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2006 Publisher: [France] : France.TV Distribution,

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Abstract

1984, Israël lance une opération pour sauver les Juifs éthiopiens en les emmenant en Israël. Une Ethiopienne chrétienne ordonne alors à son fils de 9 ans de se déclarer Juif afin de l’arracher aux camps dans lesquels il est voué à périr lentement comme nombre d’entre eux. Arrivé en Israël, sous le nom de Schlomo, il est adopté par une famille française sépharade et commence une nouvelle vie avec deux lourds secrets: il n’est ni Juif ni orphelin... 7 ans qu’on attendait un nouveau film de Radu Mihaileanu! 7 ans qu’on souhaitait retrouver la poésie, l’humour et la beauté de « Train de Vie »! Entre temps, son téléfilm « les Pygmées de Carlo » nous avait fait craindre le pire tant il était décevant. Maintenant que l’attente est enfin terminée (jusqu’au prochain!), il faut se rendre à l’évidence: c’est mieux que sa livraison pour Arte mais on a connu le réalisateur plus inspiré. Dans les aventures d’un autre Schlomo, Radu nous invite à partager l’histoire méconnue d’un peuple, énième fragment tabou de ce vingtième siècle si riche. Riche, ce film l’est définitivement. Mais malheureusement trop, comme si le cinéaste n’avait pas su où s’arrêter. Ce film semble être la preuve d’un paradoxe pourtant bien réel: il est difficile pour un artiste de s’atteler à un sujet qui lui tient trop à cœur. Difficile car obligé de prendre un peu de recul et de décider de couper ça et là. En s’attaquant à ce sujet, Mihaileanu n’a manifestement pas pris pleinement conscience de l’ampleur du projet (son premier montage durait 3h30!). Il en résulte un trop grand emmêlement de détails à inclure, d’informations à faire passer, de séquences à mettre en valeur… Du coup tous les éléments semblent se marcher plus ou moins les uns sur les autres, afin de trouver leur place dans un espace-temps cinématographique trop étroit. Et le ton en pâtit également, Radu alternant entre des passages purement informatifs et réalistes (même si intéressants et parfois indispensables à la compréhension) et d’autres plus poétiques et oniriques, entre gravité et distanciation par l’humour (le mélange de drame et de comédie n’est pas un problème en soi mais une certaine alchimie est nécessaire), entre satire pudique et gênée et classicisme narratif laissant un peu de place à quelques clichés souvent larmoyants… Pourtant, si l’avis et le cœur du spectateur font des yo-yo au fil de l’histoire à cause de ce trop-plein, cela ne l’empêche pas de s’attacher à cette bouleversante histoire, au jeu tout en finesse des trois jeunes acteurs qui interprètent Schlomo à divers âges, à la ravissante Yaël Abecassis et la non moins ravissante Roni Hadar, à la belle cinématographie de Rémy Chevrin, au lyrisme de la musique de Armand Amar, au message humaniste et idéaliste, et surtout à ce mélange enivrant de langues et de cultures… Bref un beau film trop fourni!

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