Listing 1 - 2 of 2 |
Sort by
|
Choose an application
This book systematically discusses the workability, mechanical properties, water stability, and material design methods of ultra-high ductility magnesium phosphate cement-based composites (UHDMC) with PVA fibers, PE fibers, or hybrid fibers. The developed UHDMC possesses strain-hardening behavior, multi-cracking, and ultra-high ultimate tensile strain, which can be used in many engineering projects, such as rapid repair and strengthening of airport runways, roads, bridges, and military installations. Meanwhile, this book covers the development of sprayable UHDMC, which further expands the application scope of UHDMC. This book is expected to provide some technical guidance for the development and design of UHDMC. The book is intended for graduate students who are interested in the ductility improvement of magnesium phosphate cement-based composites, researchers investigating the mechanical properties (strength, toughness, etc.), water stability, microstructure, and sprayability of magnesium phosphate cement-based composites, and engineers working on rapid repair of concrete structures.
Building materials. --- Concrete. --- Building Materials. --- Cement composites. --- Magnesium phosphate.
Choose an application
Objectif : par une revue de la littérature scientifique, ce travail de fin d’études vise à objectiver dans quelles mesures et conditions le phosphore présent dans l’alimentation joue un rôle dans l’apparition de la maladie rénale chronique chez le chat. Résumé : la néphrotoxicité du phosphore alimentaire a été démontrée par de nombreuses études chez différentes espèces et ce, depuis assez longtemps. Cependant, la mesure et les conditions dans lesquelles le phosphore impacte les reins sont quant à elles bien plus nébuleuses et font l’objet de multiples études à l’heure actuelle. D’après différentes études menées sur des rongeurs, un apport excessif de phosphore alimentaire est à même de provoquer des lésions rénales. Parmi ces lésions, les plus fréquemment rencontrées sont de l’œdème, de l’infiltration et de la fibrose au niveau interstitiel et/ou tubulaire. Ces lésions sont d’autant plus fréquentes et sévères lorsque la masse rénale fonctionnelle est préalablement réduite. Les résultats des différentes études menées chez les chats montrent pour dire que les sources de phosphate alimentaire hautement disponible peuvent induire une atteinte de la fonction rénale. Cette affirmation est notamment objectivable par l’albuminurie, la glucosurie et la diminution du taux de filtration glomérulaire présentées par les chats ayant reçu du phosphate inorganique en excès lors des études. Actuellement, le consensus en matière de phosphore alimentaire pour le chat est de donner une alimentation comprenant au maximum 1 g/Mcal de phosphate inorganique : à cette dose, le phosphate inorganique n’est pas considéré comme néphrotoxique. Ce point de référence n’est cependant pas absolu car la néphrotoxicité du phosphore dépend également de nombreux autres paramètres tels que la source du phosphore, sa quantité, le rapport Ca/P, la quantité d’autres composants (fibres, cations divalents, …) dans l’alimentation, etc. Ces nombreux facteurs mais aussi les multiples mécanismes impliqués dans le métabolisme du phosphore devront faire l’objet d’études à l’avenir afin d’ouvrir la voie à de nouvelles stratégies de gestion nutritionnelle visant à améliorer la santé rénale des félins et à prolonger leur espérance de vie.
Maladie rénale chronique --- MRC --- Phosphore --- Phosphate --- Inorganique --- Chat --- Vétérinaire --- Nutrition --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Listing 1 - 2 of 2 |
Sort by
|