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Sea surface temperature (SST) is a very important variable to assess numerous physical and biological phenomena, most notably the ocean’s impact on the recent climatic changes. It’s also a parameter that can be measured regularly and over the entire surface of the oceans and seas thanks to satellites. The major issue with those measurements are data breaches due to clouds. Numerous softwares can approximate the lacking data with various methods, one of those being the use of a neural network with a U-Net architecture (Siddique et al, 2021) named DINCAE (Data-Interpolating Convolutional Auto-Encoder) (Barth et al., 2020 et 2022).

This report aims to improve the reliability of the reconstructions made by DINCAE at differing scales, most notably small scales, with 5 or 6 neural layers. To achieve this, it will focus on the use of skip-connections between the input and the output of different layers. The reliability assessment will be done in 2 ways. +The first one is to evaluate the RMS error of the reconstructed data compared to the initial data, including purposefully removed data then restored. The second one is to assess the amount of variance kept by the software as reconstruction softwares are known to under-estimate it. This assessment is done annually and seasonally. The study zone chosen for this report is the Alboran sea, the most western part of the Mediterranean sea.

The work’s result shows the most optimal skip-connections to use are dependent on the scales and period studied. No configuration could be found to both minimize the RMS error as well as to maximize the variance, we thus need to find a trade-off between the two. However, a 6 layers configuration with a skip-connection on each of the first 5 layers has been found to minimize the RMS error, while a 6 layers configuration with a skip-connection only on the second layer has been found to keep the most variance in the system over the entire year at most scales, although it’s not the best over each and every one of the season.

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L’étude présentée ici porte sur l’espèce Megaptera novaeangliae et tente d’expliquer l’évolution au cours du temps de la présence de ce cétacé dans la baie de Skjálfandi (Islande). Ce lieu est bordé à l’Est par la ville d’Húsavík, qui dépend aujourd’hui du whale watching pour une partie importante de son économie. Il est ainsi intéressant de comprendre les facteurs qui attirent les baleines dans la baie afin de déterminer si ces animaux pourront encore être présents à l’avenir. Ce mémoire contribue à cette compréhension en s’intéressant à l’effet potentiel de l’entrée de la masse d’eau Nord Atlantique baignant plus ou moins certaines années les côtes du Nord de l’Islande sur la présence des baleines à bosse dans la baie de Skjálfandi. Après analyse de l’ensemble des résultats de ce mémoire, il semble que ce courant n’affecte pas, à lui seul, l’évolution de la présence des baleines à bosse dans la baie d’intérêt. Toutefois, indépendamment du phénomène étudié, les variables de la vitesse du courant d’axe Nord-
Sud, de productivité primaire nette et de salinité sélectionnées dans le cadre de ce travail semblent agir de manière synergique sur cette présence. L’étude décrite ici confirme l’absence de significativité de la variable de la température de la surface de la mer déjà relevée dans les études précédemment menées dans la baie. Bien que l’hypothèse testée ne soit pas validée, les résultats obtenus encouragent les prochains travaux à une étude de l’évolution au fil des ans des phénomènes qui ont cours dans la baie. The study presented here focuses on the species Megaptera novaeangliae and tries to explain the evolution over time of the presence of this cetacean in Skjálfandi Bay (Iceland). This area is bordered to the east by the town of Húsavík, which today depends on whale watching for a large part of its economy. It is therefore of interest to understand the factors that attract whales to the bay in order to determine whether these animals will still be present in the future. This thesis contributes to this understanding by investigating the potential effect of the inflow of the North Atlantic water mass that bathes the coast of northern Iceland to a greater or lesser extent in certain years on the presence of humpback whales in Skjálfandi Bay. After an analysis of the results of this thesis, it seems that this current considered alone does not affect the evolution of the presence of humpback whales in the bay. However, independently of the phenomenon studied, the speed of the current in the North-South axis, net 
primary productivity and salinity selected in the framework of this work seem to act in a synergistic manner on this presence. The study described here confirms that the sea surface temperature does not act significantly as already noted in previous local studies. Although the hypothesis tested is not validated, the results obtained encourage future work to study the evolution over the years of the phenomena taking place in the bay.

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La langouste rouge, Palinurus elephas, est une espèce marine à une haute valeur commerciale et représente un important intérêt économique pour la pêche artisanale. Cependant on note de plus en plus une baisse considérable de sa production liés à de nombreux facteurs telles que les facteurs anthropique et environnementaux. Parmi les facteurs environnementaux il y’a la contamination par les éléments traces dont certains d’entre eux sont incompatibles à la vie de la langouste et de même peuvent causer des problèmes de santé au niveau humain suite à la consommation de ces spécimens. Cette étude a donc été réalisé dans l’optique de mettre en évidence une éventuelle bioaccumulation des éléments traces (ETs) au niveau du compartiment chair de la langouste. Elle a été mené en deux étapes dont la première à STARESO (Corse) a été focalisé sur la capture et le conditionnement des langoustes. La seconde étape fut les travaux d’identification des éléments trace de la chair de la langouste au laboratoire océanographique à l’université de liège. Deux objectifs spécifiques ont donné une orientation aux analyses statistiques. Un premier objectif a permis de comparer la concentration en ETs de la chair des langoustes provenant de BO, AJ et CC. Quinze ETs sont alors identifié dont le Al, As, Cd, Cr, Cu , Fe, Li, Mn, Ni,, Pb, Se, Sn, Sr, V, Zn. Un autre objectif a permis de vérifier la conformité de la chair de la langouste aux normes établies par le Règlement (CE) No 1881/2006 pour la consommation de la chair des langoustes. Ces ETs, à haut risque pour la santé humaine, abordé dans cette étude est le Cd, le Pb et le Sn. Après traitement et analyse des données on a obtenu que 60% des ETs, dont les fortes concentrations sont mesurées, proviennent des langoustes capturées à Ajaccio. 33% des fortes concentrations en ETs ont été enregistré dans la chair des langoustes pêchées à Cap-corse. De même on a observé que, pour certains ETs tels que le Mn, le Ni le Se et le Zn, il existe une différence significative entre les prud’homies. Bonifacio, prud’homie sur laquelle les faibles teneurs ont été enregistrées, s’est avérée significativement différente des deux autres. Pour ce qui est de la qualité de la chair des langoustes entrant dans la consommation humaine, une seule prud’homie présente des langoustes dont la consommation pourraient avoir des effets sur la santé des consommateurs réguliers au niveau humain. Il s’agit des langoustes provenant de Ajaccio qui avaient des teneurs en Pb supérieurs aux norme préétablies pour la consommation humaine.

Mots clés : Langouste, Eléments Traces, Prud’homies, chair, Consommation

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Cette étude se situe dans la continuité des recherches débutées en 2017 par l’Unité de Gestion des Ressources Aquatiques et Aquaculture (UGERAA) de l’Université de Liège. Ces recherches ont vu le jour, au vu de la nécessité de conserver l’anguille européenne (Anguilla anguilla), actuellement en état préoccupant de déclin en Europe et notamment en Wallonie. Le repeuplement de civelles est alors envisagé comme une des solutions pour ralentir/stopper le déclin de l’espèce. L’objectif principal visé est d’optimiser la pratique du repeuplement pour un recrutement maximal dans les rivières vidées de leurs stocks d’anguilles. 
La présente étude est réalisée, en 2022, après un épisode de crues majeures destructives des habitats survenu en juillet 2021, sur les anguilles ayant atteint le stade 5+ après leur déversement au stade des civelles en 2017, dans 6 rivières typologiquement différentes sur le plan hydromorphologique, physico-chimique et ressource trophique. Elle a consisté à rechercher les anguilles marquées dispersées par les crues ou les anguilles marquées installées dans de nouveaux habitats après destruction de leurs anciens refuges pendant les crues ou lors des travaux de réparation des berges par les engins de chantier. Les anguilles 5+, contrairement aux stades plus jeunes, vivent dans des eaux plus profondes. Le substrat de fond le plus utilisé est de type blocs et son utilisation augmente avec le stade de vie de l’anguille. Le plat courant est le faciès d’écoulement le plus utilisé et le taux de son utilisation augmente avec l’âge. De plus, quel que soit le stade de vie de l’anguille, une rivière avec une eau au pH légèrement alcalin, un niveau en ressources trophiques élevées et une forte couverture végétale est privilégiée comme milieu d’accueil des anguilles. 
Un autre enjeu a également vu le jour suites aux crues qui ont fortement touché la Wallonie et ont par conséquent impacté ces rivières. Malgré la destruction de leurs habitats, les anguilles ont été trouvées dans toutes les rivières étudiées et impactées à des degrés divers allant de rivières peu impactées (catégorie II) à celles très impactées (catégorie IV) par les crues. Les indices de mobilité observés, élevés, soutiennent cette forte mobilité qui a également été observé dans la Hoëgne, rivière très dégradée (catégorie IV). Ces connaissances peuvent servir d’appuis et de guide pour le choix des rivières lors des futurs repeuplements et pour d’éventuels futurs plans d’actions de conservation et sauvegarde de l’espèce et restauration des habitats altérés.

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Le biofloc est un système de production qui permet de combiner, dans une même unité de production des bactéries hétérotrophes, des algues et d’autres microorganismes pour la production d’organismes aquacoles d’intérêt adaptés tel qu’O. niloticus. Les résultats de recherche orientée vers l’optimisation des systèmes BFT ont montré que l'introduction de micro-algues comme source de protéines pourrait accroître l'efficacité de ces systèmes. La promotion de la croissance des poissons est l'un des attributs bénéfiques de l’utilisation de probiotiques par leur implication directe dans l'absorption des nutriments. La présente étude s’inscrivant dans le cadre de l’amélioration fonctionnelle et nutritionnelle d’un système biofloc avait pour but de comparer différentes conditions d’enrichissement microbiologique (micro-algues et probiotiques) par rapport à un biofloc témoin. Le dispositif expérimental était constitué de 4 bassins d’élevage en biofloc avec des conditions d’enrichissement microbiologique différentes : biofloc standard (témoin sans enrichissement), biofloc + N. atomus (algue), biofloc + bactéries probiotiques (Bascillus spp.), biofloc + N. atomus + bactéries probiotiques (Bascillus spp.). Les paramètres physico-chimiques des trois traitements sont restés dans les plages optimales pour l’élevage d’O. niloticus. Le meilleur taux de survie (56,25%) a été enregistré dans le biofloc standard. Toutefois, les performances de croissance n’ont pas significativement varié entre les traitements. Les résultats de l’identification des organismes planctoniques ont montré des changements d'abondance des différentes communautés de micro-organismes associés aux flocs au cours des 96 jours d'expérimentation. Les principaux groupes trouvés dans les flocs étaient les micro-algues, le zooplancton composé majoritairement de ciliés, de rotifères, de crustacés de la famille des Chydoridés, de nématodes, et de bactéries. La bonne compréhension des types, de l'abondance et de la diversité des espèces, ainsi que de leurs rôles dans la dynamique écologique ont été identifiées comme cruciaux pour une bonne gestion du système de BFT, prouver la cohérence et la prévisibilité des rendements des systèmes.

biofloc, enrichissement, probiotiques --- Sciences du vivant > Sciences aquatiques & océanologie