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Depuis plusieurs années, un grand nombre de secteurs économiques voient l’arrivée des concurrents digitaux comme une réelle menace. Les métiers actifs dans l’intermédiation à la vente sont généralement fortement impactés par cette nouvelle concurrence étant donné le développement rapide des outils digitaux qui permettent une mise en relation simplifiée entre l’offre et la demande. Le secteur de l’intermédiation en immobilier est jusqu’à présent plutôt épargné mais voit l’arrivé de certaines plateformes en ligne d’un mauvais œil. Des outils comme Biddit, Seloger.com ou encore Meilleursagents.com ne sont que quelques exemples de concurrents digitaux qui connaissent aujourd’hui un succès en forte évolution et qui commencent à clairement empiéter sur les activités des agents immobiliers belges. En poussant le raisonnement plus loin, il semblerait que cette menace soit d’autant plus forte sur le marché de la nouvelle construction. En effet, l’offre étant entre les mains de professionnels (les promoteurs immobiliers), il paraît légitime de croire que ces derniers pourraient utiliser ces nouveaux outils digitaux pour ré-internaliser leur service commercial en procédant l’intégration verticale du métier d’agent immobilier. L’agence immobilière Latour&Petit est leader sur le marché de la nouvelle construction à Bruxelles Est et Sud et aimerait se prémunir de ce risque. Très peu de littérature scientifique traite le sujet de l’ubérisation du marché immobilier. Dès lors, en plus de la revue de littérature scientifique, plusieurs interviews de professionnels ont été réalisées (promoteurs et autres) afin de connaître les réels besoins des promoteurs, mais également des clients-acquéreurs. Les résultats de ces différentes étapes s’accordent à encourager les agences immobilières à développer leur orientation client. Il apparaît en effet que ce soit le meilleur moyen de se démarquer de la concurrence digitale qui est quant à elle plutôt orientée produit. De plus, cela semble également combler les nouveaux besoins des promoteurs immobiliers. Pour ce faire, 3 recommandations sont proposées : développer son asymétrie de connaissances, devenir un facilitateur à l’acquisition et proposer un service de prospection de projets aux promoteurs.
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Aujourd'hui, l'industrie agroalimentaire est composée d'une pluralité d'acteurs. Parmi eux, la coopérative, un acteur récent, atypique et souvent de petite taille. Il y a aussi des acteurs capitalistes bien connus comme les grandes entreprises de distribution qui sont grandes, bien établies et présentes dans le monde entier. Ces dernières années, ce secteur multi-acteurs a été confronté à plusieurs reprises à divers scandales : lait à la salmonelle, graines germées tueuses, lasagnes à la viande de cheval ou œufs contenant des produits toxiques (Le Monde, 2018). Ces différents scandales ont entraîné une remise en cause publique des pratiques du secteur. Pour faire face à cette remise en question, nous pensons que le secteur a besoin de nouvelles initiatives. L'une d'entre elles pourrait être un partenariat entre une coopérative et une entreprise de grande distribution. C'est pourquoi nous avons voulu étudier et confronter ces deux types d'entreprises très différentes dans le but de répondre à cette question de recherche : Quels sont les avantages et les risques d'un partenariat entre le secteur coopératif et les entreprises conventionnelles dans le secteur agroalimentaire ?
coopérative --- société capitaliste --- partenariat --- agroalimentaire --- internationalisation --- diversification --- intégration verticale --- entreprise éthique --- dérive de la mission --- responsabilité sociale des entreprises --- réputation des entreprises. --- Sciences économiques & de gestion > Economie sociale
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