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2020 (2)

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Maar waar zijn die duiven dan
Author:
ISBN: 9789403182902 9403182903 Year: 2020 Publisher: Amsterdam : De Bezige Bij,

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Abstract

Op de dag dat Hugo Tempelman een brief ontvangt van zijn arts neemt hij zonder de envelop te openen een besluit. Jan Siebelink laat hem zijn auto starten. "De dag lag voor hem, zonder dat een morgen daagde. Geen dag als alle andere." De lezer volgt Hugo vanaf dat moment op de voet en leert hem ten diepste kennen; een vertrouwd personage dat feilloos past in het rijke oeuvre dat zich voornamelijk afspeelt op en rond de geboortegrond van de auteur. Toch is deze roman anders. Voor het eerst onderbreekt Jan Siebelink het verhaal om in gesprek te gaan met zijn hoofdpersonage. Daarmee legt hij zichzelf op de divan. "Probeer eens wat nuchterder, volwassener tegen deze dingen aan te kijken," maant Hugo hem. "Blijf niet zo op die dingen hameren. Laat het leven vloeiend zijn. Probeer wat minder zwaar op de hand te zijn. En, erover nadenkend, als ik heel eerlijk ben, vind ik je ook wel erg hypocriet." iet alleen speelt Jan Siebelink hiermee literair gevaarlijk spel, persoonlijker was hij nog nooit.

L’angoisse devant la mort : Journal
Author:
ISBN: 2859393757 2757426141 Year: 2020 Publisher: Villeneuve d'Ascq : Presses universitaires du Septentrion,

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Abstract

« Penser ma mort c’est aussi bien penser moi sans le monde que le monde sans moi, c’est penser à la rupture d’un rapport. Où l’angoisse commence c’est quand, au sentiment du monde comme réalité empirique, nous substituons une présence du monde en nous, qui serait le temps... Je n’étais pas plus satisfait du monde mais du moins je me sentais en sécurité dans un monde qui ne me satisfaisait pas. Ce sont ces deux conditions qui ont pu faire place en moi à l’angoisse de la mort : celle de disparaître non au monde (empiriquement) mais celle de disparaître au sens absolu... ». Par toutes sortes de détours ce texte ramène à un centre, la distinction entre la peur de mourir qui concerne le texte de la vie, et l’angoisse devant la mort, qui elle ne concerne « rien ». L’auteur, à qui le genre même du Journal permet de se contredire et dans ces contradictions mêmes de retrouver toujours les mêmes évidences, s’appuie sur trois refuges, la réflexion bouddhique (et indienne), celle d’Epicure, la pensée christique (le « il faut qu’il vive »). Des analyses particulières s’entremêlent, celle du suicide (« le suicide s’explique parce que l’angoisse de la mort ne peut contrebalancer le dégoût de la vie, sans quoi il n’y aurait pas de suicide »), la peine de mort, le couple... Aux trois points d’appui qui reviennent explicitement — érotisme, travail, art — le quatrième que l’auteur ne nomme pas, l’ami mort, est peut-être le plus présent. Le livre s’achève par un bref rappel de réflexions sur la mort, depuis la philosophie antique et celle de la Renaissance (Montaigne), puis Descartes, Pascal, Schopenhauer, des modernes enfin, de Bergson, Simmel, Heidegger à Jean-Paul Sartre et Paul Ricoeur ; enfin quatre littérateurs, Alain, Paul Valéry, Paul Léautaud et André Malraux.

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