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Elisabeth Charlotte Rist, dite Pipilotti Rist, est une plasticienne, productrice et réalisatrice de vidéos suisse, née le 21 juin 1962 à Grabs dans canton de St. Gall. Elle vit entre Zürich, Bâle et Leipzig. Over the past 30 years, Pipilotti Rist has achieved international acclaim as one of the pioneers of experimental video art and multimedia installations. Incorporating video and sculpture, her dazzling environments plunge viewers into colourful kaleidoscopic projections which explore the relationship between nature, the body and technology. The exhibition Pipilotti Rist : Sip my Ocean presents the spectrum of Rist's groundbreaking practice, from her early single-channel videos of the 1980s to her large-scale audio-visual installations and recent immersive environments. Her work is inspired by the natural world, the home and the body and draws from the living, mythological elements that surround us - earth, air, fire and water. Rist is one of the first generations of artists to grow up with a televisions in their living rooms. Her work references the history of video and television, with her early works presented on monitors and later works projected across ceilings, floors and walls. From the beginning Rist has been an innovator, readily engaging with advances in technology and new ways of making art. Her work reflects the symbiotic relationship between technology and biology, presenting both as an intrinsic part of human experience. Pipilotti Rist: Sip My Ocean is the most comprehensive exhibition of Rist's work in Australia to date.
Art vidéo --- Installation-art --- Multimédia --- Rist, Pipilotti
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Que penser du déferlement des technologies nouvelles dans notre quotidien ? Faut-il craindre leurs effets sur nos modes de vie, de perception, voire de conception de notre condition humaine ? Que penser de l’automatique ? de la robotique ? de l’informatique ? Doit-on craindre pour l’avenir de l’homme ? Telles sont les questions qui accaparent irrésistiblement l’esprit du visiteur du dernier opus des deux artistes luxembourgeois Martine Feipel et Jean Bechameil. Non point une œuvre, mais un parcours qui se vit un peu comme un spectacle. Intitulé Theatre of Disorder, celui-ci se veut mener « une réflexion sur notre espace de vie contemporaine et s’interroge sur les transformations récentes dues à la technologie ». Tout se joue dans la grande pièce centrale, volontairement occulté, du Casino, dont l’architecture fait penser à une salle de bal d’un temps révolu. Là, Feipel et Bechameil ont rassemblé toutes sortes de travaux s’offrant à voir comme les éléments scénographiques d’un improbable ballet que rythme un dispositif de lumière blanche à l’allumage alternatif et qu’enveloppe une bande-son volontiers invasive. On y trouve aussi bien une figure sans tête, mi-humaine, mi-techno, trônant sur un socle, des objets de communication fossilisés, une imposante installation rotative aux formes et aux couleurs néo-plastiques, enfin un immense bas-relief de la même veine que dévoile régulièrement un rideau de scène. Toutes ces pièces présentent des parties qui se mettent en mouvement par surprise, ce qui les charge d’une certaine part d’énigme quant au sens qu’elles suggèrent. « En marche » – comme le note Kevin Muhlen, le directeur de l’institution et commissaire de l’exposition –, la statue aux allures de commandeur semble contrainte par tous les fils disposés dans sa moitié arrière évidée qui la transforment en cyborg. Tandis qu’englués dans des gangues cimentées et peinant à se mouvoir ou à battre, magnétos et enceintes avouent leur désuétude, la rotative, le rideau et le grand relief ne s’activent que par à-coups, comme dans un sursaut nostalgique d’une époque dépassée. C’est qu’il y va d’une œuvre qui, si elle n’a pas l’ambition de relever du concept d’art total, vise au bout du compte à questionner par-delà le concept passe-partout de modernité le devenir de toute avant-garde.
Art contemporain --- Installation-art --- Bechameil, Jean --- Feipel, Martine
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Les installations, photographies, films, sculptures ou encore performances de Nicolas Floc’h questionnent une époque de transition où les flux, la disparition et la régénération tiennent une place essentielle. Depuis une dizaine d’années, un travail centré sur la représentation des habitats et du milieu sous-marin a donné lieu à une production photographique documentaire liée aux changements globaux et à la définition de la notion de paysage sous-marin. À partir de projets au long cours, nourris d’expériences, de recherches scientifiques et de rencontres, naissent des œuvres ouvertes, ancrées dans le réel, où les processus évolutifs tiennent la première place. Les oeuvres de Nicolas Floc’h ont été régulièrement exposées en France et à l’étranger, notamment au SMAK (Gand), Centre Georges Pompidou (Paris), MAC/VAL (Vitry-sur-Seine), Palais de Tokyo (Paris), FRAC Bretagne (Rennes), FRAC PACA (Marseille), Matucana 100 (Santiago, Chili)… Une monographie, Glaz, publiée lors de l’exposition éponyme au FRAC Bretagne, paraît en 2018 chez Roma Publications, Amsterdam. Ses oeuvres font partie des collections photographiques du CNAP, du Fond Municipal de la Ville de Paris, du FRAC Bretagne, du FRAC PACA, du MAC/VAL, du FRAC Champagne-Ardenne, du FRAC Lorraine, du FRAC Grand-Large-Hauts-de-France et du MALI (Lima, Pérou). Nicolas est lauréat de la commande photographique nationale « Flux, une société en mouvement » 2018. Né en 1970 à Rennes, Nicolas Floc'h vit et travaille à Paris. Il enseigne à l’EESAB-Site de Rennes.
Installation-art --- Photographie --- Sculpture --- Performance --- Mer --- Floc'h, Nicolas, 1970-
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Memory (Philosophy) --- Installations (Art) --- Philosophy --- Installation art --- Art, Modern --- Environment (Art)
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Premier livre consacré uniquement aux couloirs de Bruce Nauman et à d’autres installations architecturales, Bruce Nauman: Spatial Encounters explore habilement l’importance de ces œuvres dans le développement de sa pratique artistique singulière, en les examinant dans le contexte de l’époque et en relation avec d’autres artistes comme Dan Graham, Robert Morris, Paul Kos et James Turrell.Conçues pour la participation des spectateurs, les installations architecturales de Bruce Nauman confondent souvent les attentes et induisent un malaise physique et psychologique. Les essais de ce livre examinent ces travaux, qui commencent en 1969 et se poursuivent dans les années 1970 et au-delà, en termes de pressions physiques, perceptuelles et psychologiques qu’ils exercent sur le participant. Trois perspectives imbriquées sur le sujet – l’aperçu historique de Constance M. Lewallen, l’étude de cas de Dore Bowen sur l’installation corridor avec miroir de Nauman en 1970 – Installation de San Jose (Double Wedge Corridor with Mirror) et un essai supplémentaire de Ted Mann sur les dessins de Nauman – fournissent une approche complète et approfondie.
Art --- installations [visual works] --- multimedia works --- corridors --- Nauman, Bruce --- Installation-art
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Naturalis Historia est un projet de Pauline Julier, fruit d'une recherche ambitieuse sur l'histoire de la nature. Portée par une approche encyclopédique du sujet, l'artiste tisse une multitude de récits faisant appel aux arts et aux sciences, qu'elle déploie à travers trois médiums : une exposition, un livre et un film. Cet ouvrage de plus de 500 pages comporte une riche iconographie, des textes originaux ainsi que des entretiens avec Philippe Descola et Bruno Latour. Pauline Julier peut être définie comme une artiste-chercheuse. Elle porte son projet Naturalis Historia depuis 2014, mais c'est en 2010 déjà qu'elle en a eu la première intuition. Cette recherche au long cours a finalement abouti à trois médiums complémentaires d'un même corpus : l'exposition, le livre et le film. En 2017, une exposition présentée en deux versions, d'abord à la Ferme-Asile à Sion puis au Centre culturel suisse à Paris, permettait de découvrir plusieurs œuvres par différents dispositifs – boîte lumineuse, projections de films 16 mm et de vidéo à même les murs, projections de diapositives et de film dans des micro-architectures – au cours d'une déambulation spatiale que chaque visiteur faisait à son rythme. Le présent ouvrage propose une articulation autonome de tous les éléments du projet sur 504 pages, qui nous emmènent de la découverte d'une forêt pétrifiée au nord de la Chine datant de 300 millions d'années au « suicide » contrôlé de la sonde Cassini dans l'atmosphère de Saturne en 2017. Quant au film, qui sera achevé en 2018, il permettra de s'immerger dans un montage cinématographique de l'ensemble des images de ce corpus.La nature, l'histoire de la nature, les rapports entre l'humain et la nature : le sujet est immense, et universel. Pour le « traiter » à partir de sa base genevoise, Pauline Julier a exploré de nombreuses contrées, des hôtels climatisés de Doha aux mines de charbon à ciel ouvert du nord de la Chine, des églises et musées napolitains aux versants enfumés du Vésuve, des grottes jurassiennes aux salles hantées par des animaux taxidermisés du musée de la Chasse et de la Nature à Paris. Cette exploration s'est aussi faite à travers des récits d'auteurs, qui l'ont portée de l'Islande à l'Amazonie équatorienne. Ses pérégrinations se sont déployées non seulement sur un plan géographique, mais aussi à travers l'histoire des idées par le biais d'auteurs et chercheurs comme l'écrivain et naturaliste Pline l'Ancien, le poète et philosophe Giacomo Leopardi, le romancier et dramaturge Alexandre Dumas, l'écrivain Jules Verne, l'anthropologue Philippe Descola, le philosophe François Jullien, le volcanologue Maurice Krafft, le professeur en paléobiologie Jun Wang ou encore le sociologue et philosophe Bruno Latour. Les textes rassemblés dans ce livre sont de natures diverses : citations, écrits de Pauline Julier, ainsi que deux longs entretiens qu'elle a conduits respectivement avec Philippe Descola et Bruno Latour. Quant aux images, elles permettent d'une part une immersion détaillée dans une version « livre » des films de Pauline Julier, d'autre part la découverte de nombreuses références iconographiques qui ont constitué les sources de sa recherche.
Rapport culture-nature --- Photographie --- Paysage --- Paysage (thème) --- Installation-art --- Film --- Science --- Nature --- Nature, thème --- Julier, Pauline
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Une rétrospective consacrée au travail de l'artiste visuelle cubaine A. Mendieta, pionnière dans les domaines de la performance, de la vidéo et du land art, et pour qui le sang fut un matériau de prédilection. ©Electre 2019
Mendieta, Ana --- Catalogues d'exposition --- Earthworks (Art) --- Body art --- Video art --- Exhibitions. --- Exhibitions --- Mendieta, Ana, --- Film d'artiste --- Performance --- Installation-art --- Photographie
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Woods, Frederick ; Leo and Diane Dillon ; Imes, Birney ; Orupabo, Frida ; de Clippel, Catherine ; Riis, Jacob A. ; Henzell, Perry ; Lawson, Deana ; Bearden, Romare; Smith, Ming ; Akomfrah, John ; Hoey, Dana ; Herriman, George ; Marshall, Kerry James ; Adjaye, David ; Sayeed, Mallik Hassan.
Blacks --- Blacks in art --- Installations (Art) --- kunst --- film --- video --- video-installaties --- installaties --- fotografie --- twintigste eeuw --- eenentwintigste eeuw --- Verenigde Staten --- Jafa Arthur --- 7.071 JAFA --- Installation art --- Art, Modern --- Environment (Art) --- Negroes --- Ethnology --- Race identity --- Jafa, Arthur. --- Jaffa, Arthur --- Jafa Fielder, Arthur --- Fielder, Arthur Jafa --- Exhibitions --- Arthur Jafa --- Black persons --- Negroes in art
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Cette publication émane d'un projet éponyme réalisé entre 2015 et 2018 par Uriel Orlow, à travers lequel l'artiste suisse interroge les liens entre botanique et politique en Afrique du Sud et en Europe, les plantes étant considérées aussi bien comme des témoins que comme des acteurs de l'histoire, comme des agents dynamiques se situant à la jonction entre les humains et la nature. Un projet pluridisciplinaire faisant appel à la vidéo, au son, à la photographie et à l'installation, présenté dans cet ouvrage à travers une partie documentaire et une série d'essais inédits. Le corpus Theatrum Botanicum (2015-2018) résulte d'une recherche au long cours d'Uriel Orlow à travers des modes aussi divers que le film, la photographie, le son ou encore l'édition. Partant du double point de vue de l'Europe et de l'Afrique du Sud, Theatrum Botanicum explore les liens entre l'écologie des plantes et la construction de l'identité nationale. Les plantes endossent ici les rôles d'acteurs, de témoins ou d'instruments œuvrant à l'organisation de l'espace, à la délimitation des frontières et à l'exploitation. Cet univers botanique permet ainsi de révéler ou de réévaluer des narrations politiques, sociales, économiques, mais aussi spirituelles. La publication est composée de deux livres entrelacés : l'un documente les travaux de Theatrum Botanicum, le second est un recueil d'essais visant à un aperçu accessible des questions complexes et multiformes qui informent et sont soulevées par les œuvres d'art. Les essais, à la fois indépendants et interdépendants, s'adressent directement aux œuvres d'art ou suivent des pistes d'étude parallèles, couvrant des perspectives issues d'études culturelles postcoloniales, de critique et d'histoire de l'art, d'histoire naturelle et de botanique (y compris l'ethnobotanique et la botanique économique), de questions liées à la conservation, à la jurisprudence et aux études juridiques critiques. Uriel Orlow (né en 1973 à Zurich, vit et travaille à Londres) réalise des installations modulaires et multimédias (vidéo, photographie, dessin) qui réactivent la mémoire cachée de lieux marqués par l'histoire, en combinant des recherches sur des matériaux d'archive, un environnement visuel et sonore suggestif, superposant différents modes narratifs afin d'interroger les représentations et les angles morts de l'histoire et de la mémoire. "This publication emerges from Uriel Orlow's Theatrum Botanicum (2015-18), a multi-faceted project encompassing film, sound, photography, and installation, which looks to the botanical world as a stage for politics. Working from the dual vantage points of South Africa and Europe, the project considers plants as both witnesses to, and dynamic agents in, history. It links nature and humans, rural and cosmopolitan medicine, tradition and modernity across different geographies, histories, and systems of knowledge--exploring the variety of curative, spiritual, and economic powers of plants. The project addresses 'botanical nationalism' and 'flower diplomacy' during apartheid; plant migration; the role and legacies of the imperial classification and naming of plants; bioprospecting and biopiracy; and the garden planted by Nelson Mandela and his fellow inmates at Robben Island prison. This publication is made up of two intertwining books: one documents the works of Theatrum Botanicum, including the scripts for two films; the second is a compendium of brief, commissioned essays that aims to offer an accessible snapshot of the complex and multifaceted issues that inform and are raised by the artworks. The independent but interrelated essays, which either speak directly to the artworks or follow lines of inquiry alongside them, cover perspectives from postcolonial cultural studies; art criticism and art history; natural history, botany (including ethnobotany and economic botany), and conservation; jurisprudence and critical legal studies; and critical race studies"--Publisher's website.
Botan. systematics, taxonomy, nomencl. --- Art --- installations [visual works] --- photography [process] --- botany --- Plantae [kingdom] --- trees --- art criticism --- traditional medicine --- artists' films --- ethnobotany --- Orlow, Uriel --- South Africa --- Art vidéo --- Installation-art --- Art et politique --- Botanique --- Son --- Photographie --- Cinéma --- Ecologie --- Afrique du sud --- trees [woody plants]
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Experience Design, the enterprise of creating immersive worlds around people seems to be the biggest star in today's marketing firmament. No other medium is more promising in connecting people to stories, places and ideas. What is the story behind this movement? How did it evolve and what is the best way of navigating in this sector? In this revealing book, two pioneers reconstruct the past 25 years, showing how constructed experiencecame to be central in our lives. They arrive at an original conclusion: immersive experience design is not just the latest new media extension. It is related to our way of being, of finding our way in life. When used in the right way, it serves as an instrument for massive, multi agent change. The Art of Wonder not only gives a thorough analysis of the psychologicalfoundations of Experience Design and its rise into cultural and commercial realms, it also provides practical tips for how to build engaging worlds for your audiences. Larded with the light hearted history of their own XD-firm, one gets more than a feel for this way of work.From museums to theme parks and from A-brands to governments, Experience Design (XD) is paramount in today's creative industry. Imagination is becoming the ultimate canvas for connecting people to brands, stories, and places. It will be of interest to all students and professionals active in experience design, including their bosses and clients. Since the book contains a first person account of discovering what XD is, it will function as a companion for designers and senior managers alike, since a growing segment of todays' bigger organizations launches experiential marketing initiatives, posing new questions to their Marketing & Communication departments.Erik Bär (1969) and Stan Boshouwers (1968) studied Cognitive Artificial Intelligence at Utrecht University in The Netherlands. In 1991, they founded Tinker imagineers, now one of the leading experience design agencies in Europe.Bron: www.bol.com
Design --- Interactive art --- Installations (Art) --- Amusement rides --- 770.7 --- interaction design --- interactief design --- productdesign --- architectuur --- interieurarchitectuur --- kunst --- musea --- scenografie --- augmented reality --- virtuele realiteit --- storytelling --- Installation art --- Art, Modern --- Environment (Art) --- Participatory art --- Performance art --- Social practice (Art) --- Attractions (Amusement rides) --- Rides, Amusement --- Amusements --- Amusement parks --- Creation (Literary, artistic, etc.) --- Human factors in design --- Human engineering --- Human factors --- Psychological aspects --- Exhibitions --- interaction design, participatory design, social design --- Belevingseconomie --- Experience design --- Beleveniseconomie
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