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En dépit de progrès récents, la place accordée aux violences armées dans l'étude des cultures politiques médiévales en péninsule Ibérique et au Maghreb apparaît encore insuffisante. Elle est surtout inégale, et varie selon les types de violence observés. La proposition adressée aux auteurs du présent volume les invitait à renverser le point de vue généralement adopté sur ces questions : plutôt que de percevoir le recours aux armes comme un aléa dont l'irruption menacerait l'équilibre du jeu politique jusqu'à parfois annuler celui-ci, il leur a été demandé de l'envisager comme la conséquence d'un choix rationnel, pleinement intégré à la stratégie des acteurs. Leurs contributions traitent d'assassinats, d'émeutes ou de guerres : au-delà de l'ampleur et de la durée de la mobilisation, l'objet de la réflexion collective reste en effet l'articulation de la violence armée aux cultures politiques.
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Violence. --- Violence --- Violence politique. --- Sociologie.
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Violence politique --- Political violence --- Répression politique --- Political persecution --- History
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'Fighting for France' is the first book to examine violence between political extremists in interwar France and the ways in which contemporaries understood it. This has important implications for understanding twentieth-century French politics, not least the French experience of collaboration with the Nazis during the Second World War.
Political violence --- Radicalism --- Violence politique --- Politique et gouvernement --- History --- France --- Politics and government
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La 4e de couverture indique : "Le rapport privilégié que la religion entretiendrait avec la violence est devenu l'un des poncifs du débat public. En proie au djihadisme et au radicalisme politique du christianisme évangélique, l'Afrique semble être un cas d'espèce. Mais cette pseudo-évidence soulève plus de questions qu'elle n'apporte de réponses. De quelle violence, de quelles religions, et même de quelle Afrique parle-t-on ? La guerre, en Afrique, a été politique, et non pas religieuse. Elle a eu pour objet le contrôle de l'état et des ressources, plutôt que celui des âmes, même si elle a pu emprunter, ici ou là, le langage de Dieu. Le chassé-croisé de la violence et de la religion doit être analysé au cas par cas, à l'échelle des terroirs historiques. Aux antipodes des généralisations idéologiques apparaît alors un objet sociologique très circonscrit : des mouvements armés d'orientation religieuse qui participent d'obédiences diverses, aussi bien islamiques que chrétiennes, conduisent des insurrections sociales, mais occupent une place marginale dans les interactions entre Dieu et César. Au fil de cette réflexion, c'est toute l'histoire de l'état en Afrique qui apparaît sous un jour nouveau. Jean-François Bayart est professeur à l'IHEID de Genève, et titulaire de la chaire Yves Oltramare « Religion et politique dans le monde contemporain."
Religion et politique --- Violence politique --- Violence --- Violence --- Violence religieuse --- Aspect religieux --- Sociologie
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L'exécution en masse des ennemis politiques à la fin de la République romaine illustra un mot inventé pendant les guerres de Religion : le massacre. Au XXe siècle, la destruction de Carthage et les exterminations pratiquées en Gaule par César ont nourri la réflexion sur le génocide. En quoi ces considérations font-elles écho aux perceptions des Anciens ? Dans une analyse inédite des massacres perpétrés par les Romains entre le IIIe et le Ie siècle av. J.-C., Nathalie Barrandon plonge le lecteur au coeur de ces violences politiques et militaires. Récits littéraires, iconographie ou archéologie éclairent les conditions du passage à l'acte, les responsabilités, les choix opérés (tuerie, pillage, destruction matérielle, asservissement...) et dressent un portrait novateur de la société romaine. Car s'il n'y eut que peu de massacres, ces expériences de la violence de masse participèrent à l'élaboration d'un système de valeurs fondé sur le comportement des élites et leurs vices, donnant peu à peu matière à la figure du tyran.
Violence politique --- Massacres --- Rome --- Political persecution --- Atrocities --- Histoire militaire --- History --- Political violence --- Répression politique --- Répression politique
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Et si l'Occident avait joué à l'apprenti sorcier ? Car loin de délivrer un message de paix, de liberté et de justice à un monde barbare fait d'obscurantisme et d'archaïsme, nos démocraties et leurs visées impérialistes ont heurté tous les continents, avec une violence parfois inouïe. Dorénavant, qu'elle provienne de Daech ou d'Al-Qaïda, nous la subissons à notre tour, tel un véritable choc en retour. Pour comprendre le terrorisme - et espérer en limiter les manifestations futures - il convient d'interroger les racines profondes d'un phénomène qui est, avant tout, une invention occidentale. En effet, dès le XVIIIe siècle, l'Europe, s'appuyant sur un impitoyable processus de déshumanisation des individus, se transforme en une véritable machine à produire de la destruction. Les deux guerres mondiales ne font que réactiver et amplifier ce funeste héritage, qui atteint une perfection macabre avec les totalitarismes fasciste, nazi ou communiste. Alors que les bases politiques et les techniques de la terreur sont solidement installées dans le monde, Didier Musiedlak exhume les origines de ce mal qui nous ronge, et dresse l'histoire implacable du laboratoire occidental du terrorisme. --Quatrième de couverture
Terrorism --- Political violence --- History --- Terrorisme --- Violence politique --- Histoire. --- History. --- Terrorism - Western countries - History --- Political violence - Western countries - History
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Comment l'élan démocratique de 1789 a-t-il pu donner naissance à la violence terroriste de 1793 ? Cette question obsédait déjà les contemporains, qui y voyaient non seulement un défi politique et une épreuve morale mais aussi un scandale logique. "Ce qui sera à jamais incompréhensible, c'est le contraste inouï de nos principes et de nos folies", écrit le révolutionnaire Dominique-Joseph Garat dès 1795. Timothy Tackett n'instruit pas le procès de la Révolution, il décrit le processus révolutionnaire. Dans un livre très neuf, s'appuyant sur les correspondances, pour la plupart inédites des acteurs des journées révolutionnaires, le grand historien américain restitue le sens des événements et des engagements, au plus près de la manière dont ils furent vécus, et des émotions politiques qui s'y exprimèrent. Après avoir expliqué dans Par la volonté du peuple (1997) comment l'on devenait révolutionnaire, l'auteur montre ici avec brio comment l'on peut devenir terroriste. -- Quatrième de couverture
Violence politique --- Révolution française (France ; 1789-1799) --- Grande Terreur (France ; 1793-1794) --- Terreur. --- France --- Histoire --- History --- Political violence --- Politics and government --- France - History - Reign of Terror, 1793-1794 --- France - History - Revolution, 1789-1799
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« Le nom “Action directe” a surgi lors d'une réunion dans un tout petit appart donnant sur le cimetière de Montmartre. Il avait été avancé par un camarade italien. Savait-il que la puissante organisation du syndicalisme révolutionnaire italien au début du XXe siècle était Azione Diretta ? Lorsque ce nom est apparu officiellement, nombreux furent les censeurs : ils n'y voyaient que référence au militarisme ou à l'anarchisme de la propagande par le fait. C'était oublier combien ce terme appartient au patrimoine de toute la classe prolétarienne, qu'on le retrouve dans les premiers congrès de la CGT et dans les luttes de libération nationale. » Du choix de la lutte armée à l'emprisonnement de 1980 et l'amnistie de 1981, de l'investissement avec les sans-papiers du quartier de la Goutte d'or au retour à la clandestinité en 1982 puis à l'arrestation de 1987 avec Nathalie Ménigon, Joëlle Aubron et Georges Cipriani en passant par les liens avec la Fraction armée rouge et les Brigades rouges, Jann Marc Rouillan raconte pour la première fois l'histoire interne d'Action directe. Analyse critique par l'un de ses protagonistes, ce livre est une pièce indispensable d'un fragment de l'histoire politique française et européenne. Si cette histoire attend ses historiens, elle ne se fera pas sans ses témoins.
Left-wing extremists --- Anarchists --- Terrorism --- Anarchists. --- Left-wing extremists. --- Terrorism. --- History --- Rouillan, Jean-Marc. --- Action directe (Terrorist group : France) --- History. --- 1900-1999 --- France. --- Extrême gauche --- Terrorisme --- Violence politique --- Action directe --- Extrême gauche
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