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ULiège (3)


Resource type

dissertation (3)


Language

French (3)


Year
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2018 (3)

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Dissertation
L'investissement des élèves de 5e année primaire dans la résolution de problèmes en mathématiques : testing de l'efficacité d'un dispositif visant à augmenter leur estime de soi
Authors: --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

En milieu scolaire, la résolution de problèmes en mathématiques est souvent considérée par les élèves comme une activité difficile à mener à bien. Pour certains d’ailleurs, leur estime de soi est mise à rude épreuve pendant le processus de résolution. Doute, perte de confiance, sentiment d’impuissance ou d’incompétence, stress, anxiété, sont des ressentis que les élèves en difficultés peuvent éprouver lors d’une « simple » tâche de résolution de problèmes. Ils choisissent parfois de renoncer plutôt que d’avoir à gérer un échec et une image négative de soi. Le but de cette recherche est d’aider les élèves à réactualiser des situations positives ou réconfortantes et à mieux se connaître pour les aider à être plus persévérants face à la difficulté d’une tâche complexe. Notre recherche s’appuie donc sur un dispositif quasi-expérimental classique. De fait, le dispositif mis en place avec une classe contrôle et une classe expérimentale permettra de vérifier l’impact d’activités renforçant l’estime de soi sur la résolution de problèmes pour des élèves de 5e année primaire.


Dissertation
L'apprentissage coopératif est-il une méthode pédagogique efficace pour améliorer les compétences mathématiques en résolution de problèmes des enfants de troisième maternelle ?
Authors: --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Bien que différents chercheurs aient prouvé l’efficacité de la méthode d’apprentissage coopératif en comparaison aux méthodes d’apprentissage compétitives et individuelles tant dans l’enseignement primaire que dans l’enseignement secondaire, l’apprentissage coopératif dans l’enseignement maternel s’avère, quant à lui, être peu étudié suite à l’âge des enfants jugé par certains comme non favorable à la coopération et aux difficultés auxquelles l’enseignant peut faire face lors de la mise en place de cette méthode auprès des jeunes enfants (Tarim, 2015). Slavin (1987, cité par Tarim, 2009) a pourtant mis en évidence l’importance des interactions coopératives entre les enfants de bas âge, notamment lors de la résolution de problèmes et lors de la réalisation de tâches communes, car les interactions coopératives permettent aux enfants de développer leur apprentissage. En 2009, Tarim réalise une étude expérimentale sur l’apprentissage coopératif en résolution de problèmes verbaux chez des enfants de dernière année d’enseignement préscolaire (« kindergarten » : enfants âgés d’environ six ans) afin de démontrer l’efficacité de l’aprentissage coopératif sur les compétences des jeunes enfants. Une progression au niveau des compétences mathématiques en résolution de problèmes a été constatée. En Belgique, il n’existe pas, à notre connaissance, d’études qui ont cherché à démontrer l’efficacité de l’apprentissage coopératif en résolution de problèmes dans l’enseignement maternel. L’objet de notre travail est de voir dans quelle mesure il est possible d’implanter un dispositif d’apprentissage coopératif pour travailler la résolution de problèmes avec des élèves de troisième maternelle.


Dissertation
Quel est l'impact d'un enseignement réciproque de stratégies métacognitives sur les performances en résolution de problèmes mathématiques, sur la persévérance, la motivation et sur les émotions ?
Authors: --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La résolution de problèmes mathématiques est au centre de nombreuses recherches car les résultats aux épreuves organisées en Fédération Wallonie-Bruxelles montrent des faiblesses chez les élèves à l’école primaire.
Les chercheurs mettent en évidence des facteurs d’ordre motivationnels ou émotionnels qui influencent les performances des élèves. 
Les différents types de motivation de la théorie de l’autodétermination (Deci & Ryan, 2008), motivation autodéterminé et non-autodéterminée, ont une influence sur les émotions et sur les performances des élèves. Sarrazin, Tessier et Trouilloud (2006) détaillent les moyens d’augmenter la motivation intrinsèque. 
La métacognition est considérée comme un facteur favorable à la réussite en mathématique (Berger, 2015). Improve (Mevarech, 1985) et Solve it ! (Montague, 2003) sont des pédagogies métacognitives qui s’adaptent parfaitement à la résolution de problèmes mathématiques. De plus, la métacognition donne des résultats positifs sur l’augmentation de la motivation intrinsèque (Mevarech & Kramarski, 2014).
La persévérance est un corrélée positivement aux stratégies cognitives et métacognitives (Verschaffel, Greer, & De Corte, 2000) et est une condition préalable fondamentale à la performance mathématiques (Fiedler & Beier,2014), pour leur part, présentent la persévérance comme une condition préalable fondamentale à la performance académique.

Les émotions font partie entière des apprentissages, elles peuvent être positives ou négatives. Pekrun (2006) réalise un modèle des émotions d’accomplissements ; celles-ci sont influencées notamment par la valeur accordée à la tâche et aux résultats de celle-ci par l’élève. Les émotions d’accomplissements sont également soumises au contrôle que l’apprenant pense avoir dessus.
L’enseignement explicite est reconnu pour permettre un apprentissage plus complet auprès des élèves. Il est essentiel pour enseigner des stratégies métacognitives aux élèves. 
La méthode Solve it ! propose une approche métacognitive dans un travail coopératif. L’enseignement réciproque est une forme de travail coopératif. Il permet aux élèves de s’entraider en explicitant à haute voix leurs démarches (Palincsar & Brown, 1984). 
Cette recherche a pour but :
-de mesurer les effets d’un enseignement explicite de stratégies métacognitives de résolution de problèmes, utilisées dans un enseignement réciproque combiné avec un travail sur les compétences émotionnelles et 
-de les comparer à l’utilisation de ces mêmes stratégies dans un enseignement réciproque sans travail spécifique sur les émotions. 
Les élèves concernés sont des élèves du cycle 4 soit de 5e et 6e primaire de la FWB.

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