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Aribinda : petite région burkinabé, dans le sud du Sahel. Chaque année, tous les groupes sociaux accomplissent un important rituel avant les pluies. Les hifuba, spécialistes des sacrifices et de la magie, entament une procession autour des massifs qui encadrent le bourg d’Aribinda, coeur historique et politique de la région ; leur circuit est ponctué de plusieurs haltes en des lieux déterminés où sont accomplis les sacrifices requis en bétail ou en biens. Par ce périple, les hifuba engagent un combat contre les puissances néfastes qui cherchent à s’emparer de « l’ombre » du mil et à menacer les récoltes. Dans ce rituel, les pratiques magiques rendent compte de l’enjeu crucial que représente l’agriculture. Or, depuis plus de deux décennies, la région, comme le reste du Sahel, connaît des difficultés dues à l’altération climatique et à la pression accrue de l’homme sur son environnement. Les paysans s’adaptent tant bien que mal à ces changements en opérant de nouveaux choix techniques et en adoptant de nouvelles stratégies de production. L’ouvrage, qui présente les résultats d’une recherche conduite sur le terrain entre 1982 et 1984, reconstitue la mise en place et le fonctionnement d’un système de production sahélien. La lente prise de possession d’un espace par des groupes humains de diverses origines, les mutations techniques, agricoles et pastorales sont évoquées dans une démarche qui montre l’interdépendance des phénomènes. Ce cheminement dans l’histoire et les différents domaines de la production permet de rassembler les éléments d’un diagnostic nuancé: sur le devenir de la région.
Economics --- Planning & Development --- élevage --- magie --- Burkina Faso --- rituel --- développement rural --- foncier rural --- agropastoralisme --- société rurale --- population rurale --- système de production --- mil --- histoire du peuplement --- droit foncier --- zone sahélienne --- stratégie paysanne --- agriculture traditionnelle --- céréale
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Espace partagé entre plusieurs systèmes d'activités (agriculture, pêche, élevage), le delta intérieur du Niger au Mali est aussi un espace conflictuel. La pression démographique et les sécheresses ont accru la compétition pour l'accès aux ressources naturelles dont dépendent les populations. Pour résoudre des conflits fonciers incessants et gérer l'ensemble de ces ressources, quel droit appliquer ? Ni le droit étatique, directement issu d'une conception occidentale, ni les systèmes traditionnels, ni la pratique locale ne parviennent à apporter de solutions pertinentes et durables. La décentralisation, malgré ses promesses, n'a pas encore restitué aux acteurs locaux la maîtrise de leurs ressources naturelles. Dès lors, il faut repenser, et même inventer, un modèle juridique qui soit à la fois légitimé par les populations et légalisé par l'État. Telle est l'ambition de cet ouvrage. Résultat d'un double travail, juridique et anthropologique, il allie la connaissance des pratiques foncières et environnementales dans le delta à l'analyse des droits existants. Par le recours aux concepts d'espace-ressource et de foncier environnement, il développe une approche juridique novatrice pour une gestion foncière et environnementale qui soit participative et responsable et il invite à repenser le devenir des droits africains.
Environmental law --- Land use --- Environmental protection --- Law and legislation --- Land --- Land utilization --- Use of land --- Utilization of land --- Economics --- Land cover --- Landscape assessment --- NIMBY syndrome --- Environmental quality management --- Protection of environment --- Environmental sciences --- Applied ecology --- Environmental engineering --- Environmental policy --- Environmental quality --- Environment law --- Environmental control --- Law --- Sustainable development --- système agraire --- structure foncière --- zone sahélienne --- accès a la terre --- décentralisation --- communauté villageoise --- conflit foncier --- Mali --- agropastoralisme --- droit foncier --- gestion des pêches --- pâturage --- foncier rural --- écologie --- État --- Niger --- droit de pacage --- gestion foncière --- économie pastorale --- droit de l’environnement --- élevage --- exploitation des ressources naturelles --- ressources halieutiques --- patrimoine naturel
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Au Mexique, dans le sud-est de l'État du Michoacán, la société occupant la dépression du Río Balsas offre l'image d'un déséquilibre entre de grands domaines d'élevage et des exploitations minifundistes, pareille en cela à beaucoup d'agricultures latino-américaines. Tout au long de l'histoire, malgré une réforme agraire ambitieuse, l'élevage bovin, grâce au droit de vaine pâture sur les terres des communautés paysannes, a constitué la base des mécanismes d'accumulation différentielle et de concentration foncière. Pour les freiner, les petits paysans n'ont eu d'autre recours que la double activité et la migration saisonnière sur des distances qui s'allongent : les « hirondelles » se sont imposées comme la figure centrale de la société agraire des « Terres Chaudes » mexicaines. Aujourd'hui, leur survie en tant que producteurs agricoles est remise en question. L'élevage extensif est devenu la seule activité qui permette le maintien des revenus paysans, dans un contexte d'insertion croissante au marché et de perspectives d'intégration à l'espace économique nord-américain. Cette spécialisation s'exerce dans un espace largement saturé où la compétition pour les ressources fourragères marginalise les « hirondelles », à qui ne reste que l'espoir d'un « gros coup » lié aux activités illégales - la migration aux États-Unis, le trafic de cannabis - ou l'exode, cette fois définitif.
Economics --- Planning & Development --- système agraire --- politique agricole --- économie rurale --- petite propriété --- conflit foncier --- propriété foncière --- réforme agraire --- grande propriété --- Mexique --- crise agricole --- stupéfiants --- stratification sociale --- élevage extensif --- migration temporair
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Le Cameroun méridional est l'une des principales régions productrices de cacao du pays. Depuis le début du siècle, cette culture a peu à peu envahi les terroirs villageois, évinçant même le café. Vingt-cinq ans après l'Indépendance, sa progression continue. L'économie agricole régionale, extravertie, dépend des cours mondiaux du cacao qui ne cessent de se dégrader. La détérioration de la situation économique des planteurs va de pair avec le rapide essor de la capitale, Yaoundé, qui polarise de forts mouvements migratoires. Le problème crucial que pose actuellement l'avenir de la culture du cacao est analysé du point de vue des paysans, à travers deux cas concrets, deux villages très différents par leur environnement, leur population, leur degré d'enclavement. L'originalité de l'approche est double. D'une part, elle privilégie l'étude des terroirs, moyen d'investigation le mieux adapté pour saisir les rapports complexes unissant les paysans et l'espace qu'ils exploitent. D'autre part, en présentant les villages à deux époques différentes, l'étude acquiert une dimension temporelle permettant de discerner les tendances longues. Les multiples conséquences de la culture du cacao sur les systèmes de production, la concurrence entre les plantations et les cultures vivrières, la dépendance des paysans vis-à-vis des cultures de rente, sont autant de questions d'actualité, au moment où l'effondrement des cours laisse présager la chute de l'« empire » du cacao. Ce problème dépasse largement les frontières du Cameroun. C'est celui de tous les pays exportateurs de produits tropicaux.
Economics --- période coloniale --- histoire --- Cameroun --- changement social --- terroir --- relations ville-campagne --- société rurale --- population rurale --- système de culture --- économie rurale --- système de production --- culture vivrière --- économie de plantation --- émigration --- système foncier --- cacao --- superficie cultivée --- activité non agricole --- étude comparative --- stagnation économique --- Beti --- Eton --- Bulu
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L'économie de plantation en Côte d'ivoire forestière repose, dans son modèle dominant, sur une caféiculture et une cacaoculture extensives. La présente étude, produit d'une recherche de terrain conduite de 1983 à 1985, vise à cerner le devenir de ce modèle dans une ancienne zone pionnière de Basse-Côte, à partir de l'analyse approfondie d'une économie villageoise mise en perspective par des enquêtes réalisées dans d'autres villages de la région. La mutation de l'économie agricole est appréhendée à travers l'évolution des systèmes de culture, de production et d'exploitation. La dynamique des systèmes de culture est marquée par la disparition du caféier et du cacaoyer, par la régression de certaines productions vivrières, et par le développement de cultures comme le palmier à huile, l'ananas ou le manioc. La dynamique des systèmes de production est caractérisée par une monétarisation des coûts de production et une intensification de la production, à des degrés variables selon les cultures. La dynamique des systèmes d'exploitation conjugue la valorisation monétaire du facteur foncier et l'apparition d'un groupe de producteurs ayant un accès précaire à la terre, devenue une ressource rare. Les formes de rémunération de la main-d'œuvre sont modifiées ; des relations contractuelles se développent, liant les unités de production à des complexes agro-industriels. La mutation de l'économie agricole est expliquée, dans ses traits généraux, par la conjonction de plusieurs facteurs : épuisement des réserves forestières, blocage du renouvellement de l'économie caféière et cacaoyère dans le contexte agro-pédologique régional, et apparition d'opportunités de diversification des cultures liée à l'intervention de sociétés de développement. L'étude s'attache à faire apparaître la diversité des contraintes qui pèsent à l'échelle des unités de production, et des réponses qui leur sont apportées. L'analyse des décisions paysannes souligne la nécessité de concevoir la logique…
Economics --- Planning & Development --- polyculture --- café --- exploitation agricole --- système de culture --- économie rurale --- culture vivrière --- culture de rente --- économie de plantation --- Côte d'Ivoire --- hévéa --- accès a la terre --- stratégie paysanne --- plantation villageoise --- système foncier --- paysan sans terre --- zone forestière --- cacao --- palmier à huile --- arboriculture --- ananas --- cocotier
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El auge del cultivo de la quinua en Bolivia se produjo en una sociedad aparentemente aislada y ancestral, arraigada en el sur del altiplano andino, aunque en realidad, móvil y abierta al mundo. Este libro explora las transformaciones sociales y territoriales provocadas por el paso de una agricultura de subsistencia, sobre todo local, a una producción comercial globalizada. Globalizada... pero todavía en manos de pequeños productores y sus organizaciones. Es a través del prisma de la geografía social que se muestran las permanencias y evoluciones, apoyándose en un detallado conocimiento de las comunidades locales. Yendo más allá de las constataciones apresuradas y a veces alarmistas, este libro pone de relieve los recursos y la capacidad de adaptación de una sociedad rural en mutación. Nos sumerge en la intimidad de las trayectorias de vida de ios productores de quinua, anclados en sus comunidades y, al mismo tiempo, móviles y globalizados. Se destaca el genio de esta sociedad rural que, a través de la migración, combina lugares, actividades e identidades, articula ciudades y campos, gestiona el aquí y el afuera. Cultivar yéndose e irse cultivando: tal es la hazaña llevada a cabo por los productores de quinua. La sostenibilidad agrícola, socioeconómica y ambiental de estos territorios está en el corazón de las intenciones: ¿no debe, de hecho, ser tomada en cuenta en el movimiento?
Economics --- Planning & Development --- mondialisation --- développement durable --- mobilité --- développement rural --- foncier rural --- système de production --- exploitation agricole familiale --- Aymara --- Quechua --- interdépendance --- communauté amérindienne --- migration intérieure --- agriculture itinérante --- quinoa --- agricultura itinerante --- comunidad amerindia --- desarrollo sostenible --- desarrollo rural --- agricultura familiar --- tierra rural --- interdependencia --- migración interna --- movilidad --- globalización --- quechua --- quinua --- sistema de producción
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« Les tessons du canari ne sont plus immobiles », disent les Sereer. Dans les campagnes du Sine, au centre-ouest du Sénégal, les tessons de poteries qui jonchent les aires villageoises symbolisent la socialisation et la sacralisation anciennes des lieux ; ils témoignent de l’attachement des paysans sereer à leur terroir. Or, ce confinement dans les vieux pays a cessé, les jeunes gens partent travailler dans les Terres neuves situées à l’est et s’y fixent. Cette mobilité géographique s’accompagne de changements de tous ordres qui mettent à mal les représentations anciennes quelque peu figées du système agraire et de la société rurale des Sereer du Sine. Dans les Terres neuves, une dynamique socio-économique très forte se fonde sur l’extension des espaces productifs et offre des possibilités d’enrichissement aux paysans. Toutefois, les potentiels de production ne semblent guère ménagés pour l’avenir. Les terres de ces exploitants qui n’ont pas rompu avec ceux du Sine constituent un élargissement de l’espace agro-pastoral sereer.
Serer (African people). --- Farmers --- Agriculture --- Ethnology --- Senegal --- Rural conditions. --- Economics --- Planning & Development --- Sénégal --- changement social --- terroir --- système agraire --- foncier rural --- société rurale --- dynamique de population --- paysannerie --- système de production --- colonisation agricole --- savoir --- crise agricole --- stratégie paysanne --- migration rurale --- arachide --- zone soudano-sahélienne --- Sereer in Sine and Terres neuves --- Landholding tension --- Agricultural and animal farming practices --- Food and peanuts productions --- Social mobilities
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Cerca de Loma Larga, un poblado teenek de la Huasteca veracruzana se eleva un cerro en donde antes, se dice, vivía el Trueno pero que se fue a otro lugar porque no quería segur cerca de quienes fueron llegando a establecerse en los alrededores. El Trueno, el dios mesoamericano del viento y de la lluvia, ya no está entre los teenek de loma Larga, pero su presencia permanece viva en la memoria de este grupo indígena a pesar de la acción “civilizadora” que ha experimentado desde la conquista. “El Trueno ya no vive aquí es una aserción indígena que refleja un antiguo sistema de representación así como un proceso moderno de aculturación. Dicho enunciado forma la trama de este libro que analiza las representaciones simbólicas teenek influidas por el proceso de los cambios culturales. A través del examen de las realidades y concepciones del mundo y del microcosmos indígena frente a las de la sociedad global, Anath Ariel de Vidas desarrolla paralelamente un estudio etnográfico de la comunidad y un planteamiento teórico acerca del problema fundamental de la elaboración de la identidad étnica teenek actual. Las profundas desigualdades que oponen a los mestizos-ganaderos del norte de Veracruz y a los indígenas-campesinos son una clave do lectura de esta sociedad local y explican en gran medida, la firme percepción de identidad de los teenek Pero no es el único factor; la aprehensión complementaria de las categorías culturales indígenas de la alteridad se obtiene esencialmente a través del análisis de las prácticas cotidianas, de las representaciones autóctonas de la tradición, del parentesco, de la territorialidad, de la organización social y, fundamentalmente, de la relación teenek con la naturaleza y con lo sobrenatural, lo cual arroja luz sobre el universo sincrético teenek, su organización espacial y social, en el cual descansa la distinción que hacen entre Ellos y los Otros. Este libro revela cómo es adquirida, transmitida y constantemente reinterpretada la percepción…
Economics --- Planning & Development --- agriculture --- filiation --- artisanat --- croyance --- ancestralité --- mythe --- maïs --- identité culturelle --- médecine traditionnelle --- guérisseur --- système matrimonial --- pouvoir local --- intégration sociale --- légitimité --- cosmogonie --- droit foncier --- communauté amérindienne --- Nahua --- tenure foncière --- autosuffisance alimentaire --- transmission de terre --- agricultura --- ascendencia --- artesanía --- autosuficiencia alimentaria --- comunidad nativa --- cosmogonía --- creencia --- ley de la tierra --- filiación --- curandero --- identidad cultural --- integración social --- legitimidad --- maíz --- medicina tradicional --- mito --- poder local --- sistema matrimonial --- tenencia de la tierra --- transferencia de tierra
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Paysages et paysans merina sont au cœur d'une géographie intimiste des campagnes malgaches. Le paysage de ces hautes terres tropicales s'articule sur deux unités : la colline à fine pellicule de sols (la « chair de la terre ») et le bas-fond organisé autour de l'eau (« l'œil de l'eau »). Collines et bas-fonds sont perçus et interprétés par les paysans qui les valorisent et n'hésitent pas à les remodeler. La mosaïque rurale de l'Imerina est illustrée par les exemples de trois petits pays situés à faible distance de la capitale Tananarive. Leur personnalité résulte de combinaisons entre héritages historiques et permanences écologiques. Leur ruralité s'enrichit également de liaisons avec la grande ville qui suscitent de nouvelles activités. Chaque petit pays s'inscrit dans une dynamique sociale qui s'enracine dans le passé. À partir de ces histoires particulières, la crise des années quatre-vingt a joué un rôle d'accélérateur pour l'invention de solutions locales (eucalyptus, ananas, élevage laitier). La quête quotidienne de numéraire entame la production rizicole, fondement de l'alimentation. Contexte naturel, histoire des lieux et ruralité des sociétés construisent une identité merina que des initiatives paysannes ne cessent de recomposer. Le développement rural ne réussira pas en dehors de ces dynamiques locales, atout et gage d'espoir.
Peasants --- Agriculture --- Economic aspects --- Tropics. --- Imerina (Madagascar) --- Rural conditions. --- Tropical agriculture --- Farming --- Husbandry --- Industrial arts --- Life sciences --- Food supply --- Land use, Rural --- Peasantry --- Agricultural laborers --- Rural population --- Marks (Medieval land tenure) --- Villeinage --- Imerina, Madagascar --- Emyrne (Madagascar) --- Imaïrne (Madagascar) --- innovation --- système agraire --- colline --- perception de l'espace --- développement rural --- reforestation --- Madagascar --- riziculture --- paysannerie --- risque agricole --- économie rurale --- unité de paysage --- région --- changement social --- stratégie paysanne --- agriculture traditionnelle --- budget familial --- pratique culturale --- crise économique --- foncier rural
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Depuis les années 1990, de nombreux pays africains ont engagé des décentralisations administratives, soutenus en cela par les instances internationales. Ces réformes, qui s’inscrivent à une échelle globale, bousculent les équilibres antérieurs entre différents pôles de pouvoir et redéfinissent les relations entre États et sociétés civiles. À travers une décennie d’évolution, éclairée par une histoire de longue durée, des anthropologues, géographes, historiens, politistes, socio-linguistes analysent ces processus dans cinq pays d’Afrique. Ils décrivent les nouvelles formes de compétition autour des pouvoirs et du contrôle des ressources, mais soulignent aussi l’émergence de dynamiques novatrices, conjuguant communautés et citoyenneté. Une mise en regard avec l’histoire de la décentralisation et la genèse des « pays » en France apporte des éclairages inattendus sur les relations Nord/Sud, du double point de vue de la circulation des modèles et de l’existence de paradoxes communs. Ce livre intéressera tous ceux – chercheurs, acteurs ou institutions – qui travaillent sur la décentralisation, et, plus largement, sur les refontes des États en temps de mondialisation
Central-local government relations --- Decentralization in government --- Local government --- Centralization in government --- Devolution in government --- Government centralization --- Government decentralization --- Government devolution --- Political science --- Federal government --- Public administration --- Local administration --- Township government --- Subnational governments --- Administrative and political divisions --- Center-periphery government relations --- Local-central government relations --- Local government-central government relations --- Bénin --- chefferie --- décentralisation --- conflit interethnique --- période coloniale --- division administrative --- réseau social --- conflit foncier --- Mali --- discrimination --- France --- anthropologie politique --- administration publique --- État --- Niger --- projet de développement --- Ghana --- période précoloniale --- révolution pouvoir local --- pouvoir --- démocratie --- Sénégal --- collectivité locale --- histoire politique --- corruption --- conflit politique
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