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Le point de départ est ici formé par les empreintes laissées par la mouvance communiste sur la société française, forgeant une culture populaire, capable à la fois d'intégrer - pour une part - exclus et marginaux, de faire pleine place politique à la classe ouvrière - et, au-delà, à tout un petit peuple des villes et des campagnes -, d'associer nombre d'artistes et d'intellectuels et de rassembler ces acteurs politiques singuliers dans des structures, des mouvements, des projets. Mais si le communisme a laissé des empreintes sur la société, c'est aussi parce qu'il a été investi par des acteurs sociaux qui l'ont identifié comme vecteur et support possible d'une politique populaire. L'empreinte communiste se fait ainsi, nécessairement, double : la spécificité du « parti de type nouveau » dialogue avec des héritages et des aspirations populaires tantôt intégrés, accolés, métamorphosés ou dépassés dans ces rencontres. Elle est aussi polymorphe, en ce quelle mêle tout autant des thèses identifiées comme politiques que des répertoires d'action, des symboles que des méthodes, des idées, des pratiques et des affects. Elle constitue enfin un objet qui fait problème, en ce que son spectre court de l'immédiatement identifié - voire revendiqué - jusqu'au labile, l'oublié, le nié. C'est une « nouvelle histoire » du communisme en train de se faire que propose cet ouvrage. Parallèlement, l'éclairage d'archivistes donne à voir une partie des nouveaux possibles en matière de sources. -- Quatrième de couverture
Communisme --- Communistes --- Vie intellectuelle --- Influence --- Actes de congrès. --- Aspect social --- Parti communiste français --- Histoire --- Sources --- Communism --- Communism and culture --- Communism and intellectuals --- History --- Histoire. --- History. --- Sources. --- Parti communiste français
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L'histoire du groupe « Socialisme ou Barbarie » ressemble à celle de toutes les avant-gardes : extrêmement isolé durant son existence (1949-1967), il est devenu quasi-mythique aujourd'hui sans que son apport théorique soit mieux connu. Ses analyses de la bureaucratie n'ont guère été lues par les courants de la gauche critique, et s'il a influencé la mise en cause du marxisme dans le champ intellectuel français à la fin des années 1970, c'est au prix d'une dénaturation profonde de ses idées dans la mesure où elle n'avait comme objectif que de dénoncer le totalitarisme communiste, passant sous silence ses critiques du capitalisme. S'il paraît impossible de saisir la part exacte qui revient à Castoriadis dans ces influences, du moins peut-on cerner son apport comme penseur original en tâchant de prendre la mesure des spécificités de son œuvre par opposition à celles de ceux qui l'ont côtoyé. Une chose, en effet, est l'accord sur l'analyse des systèmes bureaucratiques - qu'ils soient staliniens ou capitalistes -, une autre les propositions concrètes et les affirmations positives que l'on peut en tirer.
Extreem links --- Extrême gauche --- Frans intellectuelen in geschiedenis --- French intellectual history --- Intellectuels français dans l'histoire --- Left radicals --- Links extremisten --- Radical left --- Socialisme et intellectuels --- Intellectuels --- Activité politique --- Castoriadis, Cornelius, --- Critique et interprétation --- Socialisme ou barbarie (France) --- Socialisme ou Barbarie. Organe de critique et d'orientation révolutionnaire (périodique) --- Communism and intellectuals --- France --- Intellectuals --- Political activity --- Political participation --- Philosophy --- socialisme --- gauche --- extrême gauche --- activité politique --- barbarie --- réformisme --- désaccord --- émancipation
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