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Dans l’histoire de l’architecture, la fin du XXème siècle marque la remise en question d’un mouvement architectural qui tentait de rompre avec les codifications préétablies : le modernisme. En réponse à celui-ci est né, dans les années soixante, un courant plurivoque qui se voulait son successeur : le post-modernisme. Depuis le début des années quatre-vingt, l’architecte Charles Vandenhove, figure emblématique de l’architecture belge, est dépeint comme appartenant au courant post-moderniste. Néanmoins, la posture qu’il adopte au sein de celui-ci paraît aussi ambiguë que la délimitation rhétorique du courant lui-même. En effet, le mouvement aux contours imprécis que constitue le post-modernisme architectural semble n’être qu’une taxinomie généralisante et approximative où se retrouvent des architectures sémantiquement distantes comme celles de Robert Venturi et Leon Krier, ou encore de James Stirling et Charles Vandenhove. De plus, si Charles Vandenhove est qualifié de post-moderniste, c’est notamment en raison des emprunts qu’il fait à l’architecture classique. Or, toutes ces références au passé semblent n’avoir ni la même valeur, ni la même tonalité chez les différents architectes du courant. Ainsi, la distinction entre les multiples postures architecturales post-modernistes peut passer par la différenciation des tonalités sous-jacentes à l’emploi de ces emprunts. Dès lors, afin de mieux distinguer ces tonalités, il s’agit d’importer, dans le champ de l’analyse architecturale, des théories développées pour étudier la coprésence textuelle en littérature. Il est ainsi question de se servir des théories littéraires de transtextualité développées par le théoricien Gerard Genette pour différencier les ambitions rhétoriques et tonalités sémantiques sous-tendant l’utilisation d’emprunts chez les architectes post-modernistes : la colonne dans l’oeuvre de Charles Vandenhove servant de cas d’étude. Ce travail porte donc un double objectif : d’une part, éprouver l’utilisation des théories littéraires de transtextualité dans le champ de l’analyse architecturale à travers l’étude d’un emprunt typique de l’architecture de Charles Vandenhove; d’autre part, offrir une relecture de l’oeuvre de l’architecte liégeois en vue d’en discerner la posture au sein du courant post-moderniste.
Charles Vandenhove --- -Post-modernisme --- Rhétorique --- Transtextualité --- Colonne --- Sémantique --- Hypertextualité --- Intertextualité --- Gerard Genette --- Architecture --- Emprunts --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Ce travail de recherche vise à approfondir la compréhension du quartier de Liège-Guillemins, qui s’est vu profondément se métamorphoser ces dernières années. Pour ce faire, elle propose une nouvelle lecture du site en utilisant des méthodes basées sur le photomontage. Par la représentation d’actions et des scénarios d’aménagement sortant du cadre normatif, ils tendent à révéler les caractéristiques d’un espace produit par une architecture spectaculaire. De cette manière, les photomontages ont pour objectif de participer à l’émergence d’une prise de conscience citoyenne que des moyens alternatifs de fabriquer la ville sont possibles, et que dés le départ, les décisons prises en ce qui concerne l’aménagement du territoire sont trop éloignées des besoins des habitants, qui pratiquent quotidiennement les lieux. Ainsi, ce travail nourrit la réflexion de la situation présente du quartier, il prend une posture critique à l’égard d’un urbanisme interventionniste tablant avant tout sur l’espace négligeant le temps
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Ce travail de fin d’études s’inscrit dans un contexte de transition institutionnelle pour la Faculté d’architecture de l’Université de Liège. Cette situation génère un certain immobilisme. De ce fait, l’envie d’améliorer le cadre de vie et d’étude des élèves dans une nouvelle faculté qui cherche encore sa place dans l’Université a motivé cette recherche. Après avoir posé la problématique, ce mémoire sera divisé en deux grandes parties, la première portera sur l’aspect théorique de la recherche et mènera à la deuxième partie qui consistera à la mise en place d’une micro-intervention dans les ateliers d’architecture. Le cadre théorique tentera d’appréhender la notion de l’appropriation grâce à plusieurs domaines tels que la psychologie, la sociologie et même l’urbanisme. Via ces disciplines, nous essayerons de comprendre l’importance de cette notion pour l’homme dans ses lieux de vie, dans les lieux institutionnels et surtout dans un contexte d’apprentissage. La partie pratique de la recherche décrira les bénéficiaires du projet, le site d’intervention et les problèmes qui y ont été décelés. Ensuite, elle étudiera la planification et la mise en œuvre d’une intervention du type micro-politique, dans les ateliers d’architecture et tentera de comprendre son impact, sa réussite ou son échec et d’en étudier les résultats. Cette intervention sera temporaire et réduite, mais en découlera une réflexion sur le long terme et à plus grande échelle. Le but de cette recherche n’est pas d’apporter une solution miracle, mais de cibler un problème existant, actuel et inhérent à la Faculté, de le mettre en avant et de sensibiliser les utilisateurs pour les inciter à aller plus loin dans la recherche de solutions et la mise en place de projets.
Appropriation --- Environnement --- Lieu d’apprentissage --- Université de Liège --- Micro-intervention --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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L'Université de Liège en quête d'une identité institutionnelle cherche à réaménager ses espaces non utilisés grâce la pratique de l'upcycling de son mobilier institutionnel.
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Est-il toujours justifié d’enseigner au XXIème siècle dans des bâtiments universitaires conçus et organisés pour répondre aux besoins de la société du XXème siècle ? Mon travail de fin d'étude va s'attacher à déterminer en quoi l’organisation formelle des espaces d’apprentissage peut influencer l’utilisation d’une pédagogie innovante, qui réponde aux besoins des étudiants à l'heure du numérique.
Espaces d'apprentissage --- Pédagogie --- Universités --- Harald Herlin Learning Center --- Faculté d'architecture de Riga --- AUC Amsterdam University College --- Université de Liège --- HEC --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement
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Elaboration d'une grille d'évaluation des logements étudiants à Liège
Qualité --- Logement étudiant --- Grille critériée --- Grille d'évaluation --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des monuments commémoratifs de la Shoah ont été édifiés, et depuis quelques années maintenant on assiste à la construction de plusieurs musées à travers le monde. On constate également une évolution dans les projets muséologiques, ils ne présentent plus seulement la Shoah mais montrent l’histoire des communautés juives de l’avant-guerre dans un cadre plus large, comme par exemple le Musée juif de Berlin et le Musée Impérial de la guerre à Manchester. Nous étudierons comment l’architecture hautement symbolique des musées de Libeskind permet de communiquer la mémoire et si cette architecture de « déconstruction » est en effet à son service. Les notions de mémoire, de symbole et d’expérience s’entrelacent dans l’œuvre de l’architecte. Cette analyse se concentre sur l’étude de quatre musées les plus représentatifs de sa pensée : le Musée juif à Berlin, le Musée Impérial de la guerre à Manchester, le Musée d’Histoire militaire à Dresde et le Monument National de l’Holocauste à Ottawa.
Mémoire --- symbole --- expérience architecturale --- Daniel Libeskind --- musées --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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Le sujet de ce travail part d’une observation : chaque personne, dès le premier regard, peut importe l’élément observé, émet un ressenti. En architecture, la première chose que nous voyons d’un édifice est sa forme. Celle-ci varie suivant l’architecte, l’époque, le lieu, la fonction,... Elle peut être simple, cubique, courbe, travaillée, complexe, sculpturale, etc. Au cours de l’histoire, la forme des bâtiments a fortement évolué. Cette forme était liée aux matériaux utilisés afin de réaliser la construction de l’édifice. Grâce à la révolution industrielle, de nouveaux matériaux arrivent sur le marché avec de nouvelles techniques de construction. Ce progrès permet à l’architecte une plus grande liberté au niveau de sa création. À ce jour, dans l’architecture contemporaine, nous parvenons, grâce à la connaissance de ces diverses techniques de construction, à élaborer n’importe quelle forme pour un édifice. La forme est un élément commun à tous les bâtiments, quels qu’ils soient et qu’importe la fonction qu’ils abritent. Comment l’architecte arrive à celle-ci ? Quels sont les éléments qui mènent à cette forme? Ces différentes interrogations sont les bases de la réflexion du travail.
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Cette recherche vise à identifier un ou des site(s) propices au développement de lieux informels d'apprentissage à destination de la communauté universitaire au sein du campus du Sart-Tilman à l'Université de Liège dans un contexte pédagogique et technologique en mutation.
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