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Situation. The incidence of melanoma is increasing in the West these last years. In Belgium, melanoma is the sixth tumor in prevalence in men and fourth in women (non-melanoma skin cancers excluded). Melanoma related mortality occurs primarily in patients diagnosed at late stages, hence the importance of early screening. A personal history of melanoma is an important risk factor for development of new primary melanomas. In fact, 5 to 10 % of patients with melanoma will develop one or more new primary melanomas. Objectives. The main objective of this study is to determine the risk factors for developing multiple primary melanomas among patient with a single melanoma. The highlighting of these risk factors could target, among patients with melanoma, those at risk for new primary melanomas, to ensure better monitoring for an earlier diagnosis. The secondary objective of this study is to realize a descriptive analysis comparing the characteristics of the first and second melanomas in patients who developed multiple primary melanomas. Materials and methods. The study aims to compare a population of 263 patients who presented one melanoma with a population of 174 patients with two or more melanomas, based on criteria selected in the literature. This is a retrospective study based on data’s from patients followed in dermatology and oncology at Saint-Luc University Clinics for melanoma. Results. In this study, patients who developed multiple primary melanomas are more frequently women and develop their first melanoma at an earlier age than patients who only develop a single melanoma. Significant risk factors related to developing a second melanoma emerging from this study are skin type I, major sunburns in childhood, a greater number of naevi, oncological history, and location of the first melanoma in the head and neck. The Breslow thickness of the first melanoma is also clear from these analyzes, but this result is probably biased. The second melanoma appeared before 14, 1 months in half of patients. In average, it is less advanced and preferentially localizes at the same site as the first melanoma.Conclusion. The results of this study are in general agreement with the results reported in the literature, but we do not find the association of some typically found factors such as family history to developing a second melanoma. Situation. L’incidence du mélanome est en augmentation en Occident ces dernières années. En Belgique, le mélanome est la 6ième tumeur en prévalence chez l’homme et 4ième chez la femme (cancers de la peau non-mélanome exclus). La mortalité liée au mélanome s’observe principalement chez les patients diagnostiqués à des stades tardifs, d’où l’intérêt d’un dépistage précoce. Un antécédent personnel de mélanome est un facteur de risque important de développer de nouveaux mélanomes primaires/ Une proportion importante des patients ayant présenté un mélanome développera un ou plusieurs nouveaux mélanomes primaires, avec des chiffres allant de 2,6% à 8,6% dans la littérature. Objectifs. L’objectif principal de cette étude est de déterminer les facteurs de risque de développer des mélanomes multiples chez des patients ayant présenté un 1er mélanome. La mise en évidence de ces facteurs de risque permettrait de cibler, parmi les patients atteints d’un mélanome, ceux à risque de développer des nouveaux mélanomes primaires afin de leur assurer un meilleur suivi pour un diagnostic plus précoce. L’objectif secondaire de cette étude est de réaliser une analyse descriptive comparant les caractéristiques du premier et du deuxième mélanome des patients ayant développé plusieurs mélanomes primaires.Matériels et méthodes. L’étude vise à comparer une population de 263 patients n’ayant présenté qu’un seul mélanome à une population de 174 patients ayant présenté deux mélanomes ou plus, sur base de critères sélectionnés dans la littérature. Il s’agit d’une étude rétrospective se basant sur les données recueillis chez des patients suivis en dermatologie et en oncologie aux Cliniques Universitaires Saint-Luc pour des mélanomes. Résultats. Dans cette étude, les patients qui développent plusieurs mélanomes sont plus fréquemment des femmes et développent leur 1er mélanome à un âge plus précoce que les patients qui ne développent qu’un seul mélanome. Les facteurs de risque significatifs liés au développement d’un deuxième mélanome qui ressortent de cette étude sont le phototype I, les coups de soleil importants dans l’enfance, un nombre plus important de nævi , des antécédents oncologiques, et une localisation du premier mélanome au niveau de la tête et du cou. L’indice de Breslow du premier mélanome ressort également de ces analyses, mais ce résultat est probablement biaisé. Le deuxième mélanome apparait avant 14,1 mois chez la moitié des patients. Il est en moyenne moins avancé et se localise préférentiellement au même site que le premier mélanome. Conclusion. Les résultats de cette étude sont en général en accord avec les résultats retrouvés dans la littérature, mais on ne retrouve pas l’association de certains facteurs classiquement retrouvés, comme les antécédents familiaux, au développement d’un deuxième mélanome.

Melanoma --- Risk Factors

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Suicide --- Risk factors. --- Psychology. --- Risk factors in suicide

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Le diabète représente un véritable problème de santé publique dans le monde de par sa fréquence croissante, sa mortalité et son coût économique. Il est l'une des maladies non contagieuses le plus répandu dans le monde. En 2015, la fédération internationale de diabète (FID) estimait que dans le monde il y avait près de 415 millions de personnes diabétiques, soit 8,8% d'adultes de 20 à 79 ans et que, en 2040, ce chiffre atteindrait 642 millions, avec des augmentations plus marquées dans les pays en voies de développement. Jusqu'ici l'Afrique subsaharienne est encore le continent le moins affecté, mais avec un taux de mortalité dû au diabète plus élevé (76,4%) chez les personnes de plus de 60 ans. Dans l'avenir, la prévalence du diabète va considérablement augmenter dans les pays d'Afrique subsaharienne, compte tenu de l'augmentation de l’obésité, de l'urbanisation et de l'espérance de vie suite à la diminution de la mortalité infantile. Au Cameroun, la FID estimait en 2015, la prévalence du diabète de 6 à 8%, et cette prévalence était plus marquée dans les zones urbaines que dans les zones rurales et devrait également augmenter comme dans les autres pays de la région si des mesures de prévention ne sont pas prises. Malgré que les facteurs de risque associés au diabète de type 2 soient peu documentés, plusieurs actions ont été menées pour lutter contre cette épidémie dans la plupart des pays d'Afrique subsaharienne. C'est pourquoi il est très important d'identifier les facteurs potentiels associés au diabète de type 2 dans les zones urbaines du Cameroun comme Douala. Méthodes : Entre Janvier et Février 2017, nous avons mené une étude cas témoins. 253 patients ont été recrutés en consultations externes, dont 122patients diabétiques et 131 patients non diabétiques, dans les services de diabétologie et de traumatologie de l'hôpital Général et de l'hôpital Laquintinie de Douala au Cameroun. Le tour de taille, le tour de hanche, le poids des sujets ont été mesurés. Les données sur l'âge, la glycémie à jeun, la taille du patient, le statut socio-économique, le statut sociodémographique et l'hygiène de vie du patient ont été recueillies. Résultats : Hormis l'indice de masse corporelle (IMC), tous les autres facteurs cliniques étaient significativement associés au diabète de type 2. L'âge supérieur ou égal à 45 ans [autre ratio : 6,86 (intervalle de confiance à 95% : 3,37 - 13,96) ; p< 0,001 ], le fait d'avoir un parent ou un grand parent diabétique [OR :4,09 (IC à 95% :2,41-6,94) ; p < 0,001], le tour de taille > 94 cm chez les hommes et > 80 cm chez les femmes [OR :2,11 (IC à 95% :1,12-3,97) ; p=0,021] et le rapport de taille ?: 0,90 chez les hommes et 0,85 chez les femmes [OR :3,49 (IC à 95% :1,82- 6,69) ; p < 0,001], étaient significativement plus fréquents chez les diabétiques de type 2 que chez les contrôles (p-valeur < 0,05).Et après un ajustement sur les variables cliniques telles que l'âge, les antécédents diabétiques, la glycémie, le tour de taille et le rapport de taille, certaines variables socio démographiques (province d'origine), socioéconomique (revenu mensuel, assurance) et d'hygiène de vie (période de visite de restaurant) n'étaient plus associés au diabète de type2. Par contre, les diabétiques de type 2 étaient plus fréquemment en couple [AOR :3,20 (IC à 95% :1,07-9,56) ; p=0,037], avaient plus souvent plus de 40h par semaine de travail [AOR :4,22 (IC à 95% :1,37- 13,02) ; p=0,012], choisissaient plus souvent les restaurants mixtes [AOR :11,04 (IC à 95% :2,42-50,32) ; p=0,002], et étaient plus inactifs [AOR :2,92 (IC à 95% :1,09-7,85) ; p=0,034], que les non diabétiques. Conclusion: Cette étude menée dans les 2 grandes institutions hospitalières de la ville de Douala a révélé que les patients atteints de diabète de type 2 étaient généralement d'âge supérieur à 45 ans, avec des antécédents familiaux de diabète connus et se caractérisaient par une proportion élevée d'adiposité abdominale et une sédentarité prédominante marquée par l'utilisation des moyens de transport au dépend de la marche. Bien que la population ne soit pas représentative de la communauté dans son ensemble, cette étude montre que les comportements comme la vie en couple, le grand nombre d'heures de travail, la fréquentation des restaurants style mixtes (Européen) et l'inactivité physique sont potentiellement des facteurs associés au diabète de type 2 à Douala au Cameroun.

Diabetes Mellitus, Type 2 --- Risk Factors

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Cardiac arrest --- Cardiovascular system --- Treatment --- Diseases --- Risk factors --- Prevention --- Research

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The rate of suicides is at its highest level in nearly 30 years. Suicide notes have long been thought to be valuable resources for understanding suicide motivation, but up to now the small sample sizes available have made an in-depth analysis difficult. Explaining Suicide: Patterns, Motivations, and What Notes Reveal represents a large-scale analysis of suicide motivation across multiple ages during the same time period. This was made possible via a unique dataset of all suicide notes collected by the coroner’s office in southwestern Ohio 2000–2009. Based on an analysis of this dataset, the book identifies top motivations for suicide, how these differ between note writers and non-note writers, and what this can tell us about better suicide prevention. The book reveals the extent to which suicide is motivated by interpersonal violence, substance abuse, physical pain, grief, feelings of failure, and mental illness. Additionally, it discusses other risk factors, what differentiates suicide attempters from suicide completers, and lastly what might serve as protective factors toward resilience. Analyzes 1200+ suicide cases from one coroner’s office Identifies the top motivations for suicide that are based on suicide notes Discusses the extent to which suicides are impulsive vs. planned Leads to a better understanding on how to prevent suicide Emphasizes resilience factors over risk factors

Suicidal behavior. --- Suicidal behavior --- Risk factors. --- Risk factors in suicidal behavior --- Attempted suicide --- Suicide, Attempted --- Suicide attempts --- Unsuccessful attempted suicide --- Unsuccessful suicide attempts --- Self-destructive behavior --- Parasuicide