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Empathy. --- Caring. --- Empathie --- Humanité (Morale) --- Philosophical anthropology --- General ethics --- Aesthetics --- Humanité (Morale)
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Humanities --- History --- Humanités --- Histoire --- Humanidades --- Historia --- Humanités
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Nous avons perdu les deux repères qui permettaient autrefois de nous définir entre les dieux et les bêtes. Nous ne savons plus qui nous sommes, nous autres humains. De nouvelles utopies en naissent. D’un côté, le post-humanisme prétend nier notre animalité et faire de nous des dieux promis à l’immortalité par les vertus de la technique. D’un autre côté, l’animalisme veut faire de nous des animaux comme les autres et inviter les autres animaux à faire partie de notre communauté morale. Alors forgeons une nouvelle utopie à notre mesure. Ne cherchons plus à nier les frontières naturelles — celles qui nous séparent des dieux ou des animaux — et défendons un humanisme conséquent, c’est-à-dire un cosmopolitisme sans frontières.
Humanisme --- Homme --- Utopies --- Animalité --- Humanism. --- Humanity. --- Human beings --- Humanité (Morale) --- Animal nature. --- Humanité (Morale) --- Animalité --- Humanism --- Humanity --- Utopias --- Animal nature --- Humanisme. --- Utopies. --- Animalité. --- Human beings - Animal nature
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Que sont les « communs », les « biens communs », les « patrimoines communs », les « choses communes » ?Ces notions sont fortement mobilisées aujourd'hui dans nombre de disciplines des sciences sociales et actions de citoyens. Leur poussée traduit une évolution des pratiques sociales : sous la pression de la crise écologique et de la transformation numérique notamment, les biens seraient davantage mis en partage. Logiciel libre, encyclopédie et habitat participatif, vélos ou voitures en usage successif, entreprise qui serait le « bien commun » de toutes les parties prenantes : les notions des communs intéressent les domaines de la culture, de la protection de l'environnement, de l'urbanisme, de la santé, de l'innovation, du travail, etc. La mobilisation est intense car elles autorisent à penser le changement social sur la base d'un réinvestissement du collectif, des communautés, de l'usage et du partage. Elles permettent de proposer des réinterprétations des valeurs fondatrices des sociétés contemporaines tels le rôle de l'État, de la propriété et des formes d'expression de la démocratie. Elles appellent à la fois une réflexion théorique, un débat politique et se concrétisent dans des expériences citoyennes. Ce dictionnaire, à mi-chemin entre le vocabulaire et l'encyclopédie, se veut un outil de compréhension de l'ensemble de ces phénomènes.
Biens collectifs mondiaux --- Patrimoine commun de l'humanité --- Sociologie --- Comportement social --- Patrimoine
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A l’heure actuelle, les Hommes consomment plus que ce que la planète est capable de régénérer en un an, notre mode de vie entraine une surexploitation des ressources naturelles que la Terre nous offre. De ce fait, nous connaissons de multiples problèmes tels que la pollution, le changement de climat, la disparition des espèces de la faune et de la flore mais aussi l’épuisement des ressources. Dans le cadre de ce mémoire, nous avons voulu étudier une notion qui nous semble pouvoir être une des clés capable de résoudre l’ensemble de ces difficultés. Bien que ce principe ne soit pas le plus connu de ceux existants en Droit international public, il pourrait amener une solution durable à la crise actuelle. En effet, le concept, dans sa version la plus poussée, allie l’utilisation et la préservation des ressources ainsi qu’un partage équitable entre tous les habitants de notre monde. Cependant, alors qu’une solution universelle doit être trouvée afin que la vie humaine sur Terre puisse se poursuivre paisiblement, les États ne parviennent pas à s’entendre. En cause, des enjeux économiques et politiques conséquents aboutissants à des intérêts opposés entre d’une part, les pays développés et d’autre part, les pays en voie de développement. Néanmoins, le patrimoine commun de l’humanité a réussi à se faire une place dans le droit international moderne durant la deuxième moitié du XXème siècle lors de débats à l’assemblée générale des Nations Unies concernant le statut juridique des ressources situées au fond des océans et sur les autres corps célestes de notre système solaire. Il s’est peu à peu développé dans ces deux secteurs pour finalement s’étendre, c’est notre point de vue, à d’autres domaines. Il s’agit là du cœur de notre œuvre : délimiter le champ d’application, présent et futur, du patrimoine commun de l’humanité. Cependant, nous ne pouvons pas nous montrer exhaustif sur ce point tant les secteurs d’activité potentiellement impliqués sont nombreux. Ne faisant pas l’objet d’une définition unanimement admise, notre étude tente également de synthétiser les différentes caractéristiques qui sont reconnues à la notion en cause. L’exploitation des ressources abyssales et extra-atmosphériques pouvait nous paraitre encore très lointaine il y a peu. La réalité est toute autre aujourd’hui. La technologie avance à grands pas et l’utilisation de ces richesses se rapproche à la même vitesse. Le statut dont elles font l’objet n’étant pas forcément clair, nous avons donc tenté de faire la lumière dessus.
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Quelque chose a changé dans notre rapport aux animaux. La "cause animale" est à l'ordre du jour, et le vivant humain est désormais plus essentiellement animal qu'humain. Cela s'appelle un zoocentrisme : au centre de notre humanité, l'animalité. En apparence, nous avons tout à gagner à cette nouvelle image de l'homme. Elle nous vient de la biologie de l'évolution, qui nous a situés, quelque part dans l'ordre des primates, en bonne compagnie avec nos cousins les grands singes. Elle est aussi un appel à réformer et à moraliser nos relations avec les animaux que nous exploitons : on respecte d'autant mieux qui nous ressemble. Enfin l'animalité humaine fait de nous des esprits forts, qui ont su en finir avec les dualismes et les grands partages métaphysiques d'antan. Bref : c'est à tous égards une pensée progressiste, car ouverte à la science, généreuse envers les animaux, et philosophiquement éclairée. Il se pourrait pourtant que ces raisons d'en finir avec la différence homme-animal ne soient qu'un ensemble de pensées bancales qui, entre oubli des sciences humaines, réduction de la vie humaine à sa seule vulnérabilité et déni de ce que nous vivons en première personne, composent finalement le portrait idéologique d'un progressisme stérile. Pouvons-nous échapper au "complexe des trois singes", ces trois façons de méconnaître ce que nous vivons et faisons comme vivants humains ? Et pouvons-nous imaginer un progressisme de vérité conscient de tout ce que nous devons aux animaux sans pour autant renier ce que nous sommes ?
Human beings --- Human-animal relationships --- Relations homme-animal --- Animal nature --- Philosophy. --- Philosophie --- Animalité (philosophieHomme -- AnimalitéRelations homme-animal -- Philosophie --- Humanité --- Homme --- Animalité --- Animalité (philosophie) --- Humanité. --- Animals (Philosophy) --- Philosophy --- Animalité. --- Philosophie. --- Human-animal relationships - Philosophy --- Human beings - Animal nature - Philosophy
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Dans la physique contemporaine, il est fréquemment arrivé (que ce soit avec Einstein pour la relativité, ou avec "le chat de Schrödinger" pour la mécanique quantique) que les scientifiques présentent leurs problématiques sous la forme d'une "expérience de pensée". C'est à une telle expérience que nous invite Jacques Arnould : supposons qu'à force d'explorer les exoplanètes on finisse par avoir demain la preuve que la vie, et même des êtres sensibles, existent ailleurs que sur la Terre. Qu'en serait-il alors de nos religions ? Comment relire la Bible (et notamment le livre de la Genèse) ? Comment reconsidérer les rapports entre Dieu et l'humanité ? Et pour le christianisme, comment repenser l'Incarnation, qui (jusqu'à présent) est censée avoir eu lieu dans notre Histoire, dans un tout petit peuple occupant une part infime de notre planète ? Avec le talent pédagogique qui a fait le succès de ses autres livres, Jacques Arnould retrace l'histoire de cette problématique (car à vrai dire, elle ne date pas d'aujourd'hui, de tous temps les hommes se sont posé la question d'autres mondes habités, y compris dans la théologie médiévale). Il nous introduit ensuite dans les arcanes d'une théologie élargie aux dimensions immenses de la cosmologie actuelle, en s'appuyant sur les perspectives lancées par Teilhard de Chardin. Et cet exercice, que l'on soit croyant ou pas, nous fait nous interroger autrement sur le destin de notre humanité.
explorer l'espace --- la Terre --- religions --- la Bible --- le livre de la Genèse --- rapports entre Dieu et l'humanité --- le christianisme --- l'Incarnation --- théologie --- la cosmologie actuelle --- Teilhard de Chardin --- le destin de l'humanité
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Digital humanities. --- Humanities --- Humanités numériques --- Sciences humaines --- Research --- Computer network resources. --- Methodology --- Recherche --- Ressources Internet
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Responsability to protect (International law) --- Crimes against humanity (International law) --- Dictators --- Responsabilité de protéger (droit international) --- Dictateurs --- Government --- Human rights --- Criminal law. Criminal procedure --- Law of armed conflicts. Humanitarian law --- Atrocities --- Rationalism --- Crimes contre l'humanité --- Rationalisme --- History --- Genocide --- Political aspects --- Crimes contre l'humanité. --- Dictateurs. --- Rationalisme. --- Responsabilité de protéger (droit international) --- Crimes contre l'humanité.
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On est d’abord submergé d’épouvante. Duch, chef du camp S-21 au Cambodge à l’époque des Khmers rouges, est responsable de la torture et de la mort dans des conditions atroces de plus de 13 000 personnes. Et pourtant, il faut aller au-delà de la sidération pour comprendre ce qui s’est joué entre un individu ne souffrant d’aucune pathologie mentale et un régime responsable de la mort de deux millions de personnes sur une population totale de sept. C’est le travail auquel s’est livré Françoise Sironi, chargée de l’expertise psychologique de Duch au cours de son procès à Phnom Penh. Depuis vingt-cinq ans, elle soigne des patients victimes de tortures, de massacres, de déportations forcées, de crimes de masse. Mais il ne suffit pas de prendre en charge les victimes, il faut aussi comprendre la fabrication des bourreaux, « entrer dans leur tête ». Comment sont-ils devenus des êtres « désempathiques », déshumanisés, capables du pire ? Pour cela, la psychologie doit se réinventer, se situer à l’intersection de la vie psychique et de la géopolitique. Les Khmers rouges avaient créé l’Angkar, une organisation mystérieuse que chacun devait servir et que l’on nourrissait de sacrifices humains. C’était un « système perpétuel », une théopathie sacrificielle s’épurant en permanence. Pour déconstruire la mécanique d’un système à la fois psychique, politique et social, Françoise Sironi, grâce aux ressources de la psychologie géopolitique clinique, de l’ethnopsychiatrie et de la schizo-analyse, aux travaux d’Hannah Arendt, de Georges Devereux, Tobie Nathan ou Gilles Deleuze et Félix Guattari, nous donne de nouveaux outils non seulement pour comprendre comment l’impensable est arrivé, mais aussi comment déjouer les projets des futurs systèmes criminels susceptibles de nous menacer
Torture --- Criminal anthropology --- War criminals --- Crimes against humanity --- Psychological aspects --- Criminal psychology --- Criminels de guerre --- Crimes contre l'humanité --- Psychologie criminelle --- Criminels --- Crimes de guerre --- Psychologie --- Aspect psychologique --- Kang, Kek Ieu, --- Crimes contre l'humanité --- Kang, Kek leu --- Psychologie criminelle. --- Psychologie. --- Aspect psychologique. --- Douch --- Torture - Psychological aspects
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