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Music --- barokmuziek --- muziekgeschiedenis --- anno 1600-1699 --- Germany

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Quand on parle de mémoire, on pense presque toujours aux souvenirs, ceux qui font de chacun de nous des êtres singuliers. Personne n'a en effet la même vie, la même histoire...Mais il existe une autre mémoire, tout aussi essentielle, et qui ne contient aucun souvenir conscient. C'est elle qui organise, à notre insu, nos habitudes, nos comportements, nos relations, tout en étant très liée à notre vie émotionnelle. Quels sont les mécanismes auxquels obéit cette force souterraine qui peut tout autant, et sans que nous le sachions, nous donner le goût de vivre que nous enfermer dans la routine ? Que devient notamment cette mémoire « implicite » quand on vieillit ou qu'on développe une maladie neurodégénérative ? Faut-il y voir un nouvel inconscient ? C'est en tout cas ce que propose de montrer cet ouvrage. Un voyage au cœur d'une mémoire mal connue et qui, pourtant, gouverne une grande part de notre existence à notre insu. Antoine Lejeune est neurologue. Ancien responsable d'une consultation mémoire au centre Saint-Thomas à Aix-en-Provence, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le vieillissement et la résilience. Michel Delage est psychiatre. Ancien professeur du service de santé des armées, ancien chef de service à l'Hôpital d'instruction des armées Sainte-Anne à Toulon, il est thérapeute familial. Il a notamment publié La Résilience familiale, La Vie des émotions et l'attachement dans la famille ainsi que Famille et résilience (codirigé avec Boris Cyrulnik).

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En raison de leur taille importante et de leur localisation, la gestion des aires protégées peut représenter un véritable défi pour leurs gestionnaires. Les nouvelles technologies satellitaires représentent alors un outil d'aide précieux pour la gestion tant de la faune que de la flore. C'est ainsi le cas de la zone de gibier « Bangweulu » situé en Zambie, cadre de cette étude. Au niveau de la végétation, l'utilisation des images Sentinel-2 combinées à des relevés de terrain a mené à la cartographie de la végétation présente au sein de la zone d'étude. La carte, d'une résolution de 10 mètres, produite au moyen d'une classification orienté objet, décrit la répartition géographique et l'abondance de 16 classes de végétation au sein de la zone d'étude. La précision globale de la classification de la carte obtenue est de 81%. Au niveau de la faune, l'élaboration de stratégies de conservation d'une espèce passe par une compréhension des besoins écologique de cette espèce. Le Bec-en-sabot (Balaeniceps rex) est un oiseau endémique des zones marécageuses d'Afrique de l'Ouest. Sur base de données spatiale collectées via des dispositifs GPS, nous avons étudiez les déplacements, la taille des domaines vitaux et l'utilisation d'habitat, sur base de la carte de végétation produite, de cinq individus pendant trois années. Les résultats obtenus montrent que le Bec-en-sabot est une espèce très mobile, nécessitant un espace vital relativement grand. Cependant, une variabilité importante a été observée entre les individus. Au niveau de la sélection d'habitat, les résultats sont plus tranchés avec une surexploitation de la végétation flottante par l'ensemble des individus. Dans le futur, d'autres études avec une taille d'échantillon plus importante et une connaissance du sexe des individus devront être menées afin d'élucider d'avantages les variations observées.

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Dans le contexte économique actuel, l'objectif de cette étude est de développer des modèles prédictifs concernant la productivité des opérations de débusquage et de débardage au sein de l'entreprise CIB-OLAM, certifiée FSC. Pour collecter les données sur le terrain, cinq GPS Garmin 64 ont été embarqués dans les engins conjointement à une étude de temps en caractérisant les durées et types de délais. Pour le débardage, 514 cycles ont été enregistrés soit 194 heures, le débusquage concerne 180 heures d'enregistrement. Trois sites ont été étudiés, deux n'ayant encore jamais été exploités et l'un ayant déjà été exploité dans les années 80. Des modèles de temps et de productivité ont été réalisés pour les opérations de débusquage et de débardage. La distance d'ouverture de piste par arbre est la variable qui influence le plus la durée d'ouverture de piste par arbre. La productivité moyenne horaire des débusqueurs est de 2,6 arbres positionnés. Le coût unitaire par billon positionné est de 18,72€. Concernant de débardage, la productivité nette obtenue par cycle est de 56,91 m³/h, pour un coût unitaire de 0,98€/m³. Le volume commercial moyen d'un billon est de 14,56 m³ pour une distance moyenne de débardage de 1,13 km. La variable distance permet a elle seule une bonne prédiction du temps net de débardage. Les deux variables retenues pour prédire la productivité sont la distance et le volume de charge. La présence d'un observateur sur le terrain couplée à l'utilisation du GPS permet à la fois la collecte des données liée aux déplacements et de relier les volumes débardés aux temps de délais afin de déterminer la productivité des engins.