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The Wallflower Avant-Garde argues for the importance of a strain of modernist formalism based in ekphrasis, the literary imitation of the visual arts. Often associated with a conservative aesthetic of wholeness, permanence, and autonomy, ekphrastic writing also involves excess, failure, and mimesis, conjuring an aesthetic sense of closure and unity out of impossible imitations. This choreography of imitation and autonomy resonates with many of the foundational insights of queer theory: the way it situates identity as an effect of performativity, artifice, and mimesis. Unlike many queer theorists, however, this book insists that we value both the imitations and the aspirations that guide them, underlining not only the illusoriness of identity but also its allure. This more capacious formalism allows aspects of modernists aesthetic that have seemed regressive or repressive to be read as generative forms of stasis, quiet, reserve, shyness, and so on.
homosexuality --- American literature --- minorities --- Aesthetics --- ekphrasis --- anno 1900-1999 --- Théorie queer --- Ekphrasis --- Modernisme (esthétique) --- Modernisme (littérature) --- Ekphrasis. --- kunst en literatuur
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On a longtemps confondu la modernité avec la forme prise par le développement historique des sociétés occidentales. Selon Pierre-François Souyri, l’histoire récente montre au contraire que la modernité telle que nous la concevions n’était que l’aspect particulier d’un phénomène mondial.Au Japon, elle a émergé au moins autant de la pensée japonaise et chinoise que de concepts venus d'Occident : dans les années 1880, la lutte pour la liberté et les droits du peuple et pour un régime constitutionnel s’abreuve des classiques chinois plus que des idées rousseauistes ; celle contre la destruction de la nature par le système industriel puise ses inspirations dans une cosmologie de l’harmonie entre l’homme et l’univers ; le féminisme, qui apparaît dès les années 1910, trouve certaines de ses référence dans le shintô ; et le premier socialisme se nourrit d’une vision du monde largement confucéenne.Par ses remplois d’idéologies du passé, la modernisation japonaise oblige à relativiser le statut exemplaire de l’expérience occidentale. Cette modernisation a de fait fonctionné autant comme le rejet du modèle occidental que comme son adoption. Pourtant, son rythme et les questionnements qu’elle suscite ont été identiques à ceux de l’Occident. Pierre-François Souyri peut dès lors poser ce souriant paradoxe : une grammaire commune de la modernité peut-elle puiser à des sources différentes?
Japan --- History --- Japon --- Civilisation --- Influence occidentale --- Modernism (Aesthetics) --- J4129 --- J4000.70 --- J4144 --- Aesthetics --- History. --- Japan: Sociology and anthropology -- cross-cultural contacts, contrasts and globalization --- Japan: Social history, history of civilization -- Kindai (1850s- ), bakumatsu, Meiji, Taishō --- Japan: Sociology and anthropology -- cultural trends and movements -- modernism --- Intellectual life --- Civilization --- Western influences. --- Occidental influences --- Modernisme (Esthétique) --- Histoire --- Western influences --- Vie intellectuelle --- Modernisme (Esthétique) --- Japan - History
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