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Ce travail aborde la matière du droit au logement des sans-abri en Belgique. Il débute par la définition de trois notions pertinentes au regard de la problématique envisagée : la pauvreté, le logement et le sans-abrisme. En second lieu, il procède à une analyse succincte des normes internationales ayant consacré le droit au logement. Le droit de différentes organisations internationales y est abordé: le droit des Nations unies, le droit du Conseil de l’Europe et le droit de l’Union européenne. Pour chacune des normes examinées, les effets juridiques du droit au logement consacré sont envisagés. Dans une troisième partie, la question du droit au logement en Belgique, ainsi que son effectivité concrète est abordée. La consécration constitutionnelle du droit au logement est examinée ainsi que les interventions législatives dans ce domaine. Dans une quatrième partie plus « pratique », les différentes aides sociales mises à la disposition des sans-abri et qui sont rattachées au droit au logement sont envisagées. Nous distinguerons le droit à l’aide sociale du droit à l’intégration sociale qui forment tous les deux le droit de l’aide sociale. Enfin, en ce qu’il permet la collaboration entre les autorités publiques et les acteurs privés, le projet Housing First Belgium visant à favoriser l’intégration sociale des sans-abri est envisagé afin de clôturer ce travail.
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La question de la manifestation de la religion par les travailleurs sur leur lieu de travail génère actuellement de vifs débats dans le monde politique, médiatique mais aussi juridique. Cette problématique fera l’objet de mon étude qui sera toutefois limitée aux travailleurs du secteur privé car le secteur public présente des particularités qui ne pouvaient être traitées en l’espèce. Deux moyens s’offrent au travailleur qui souhaite protéger la manifestation de sa religion sur le lieu du travail. Il peut soit invoquer la liberté de religion, prévue notamment à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme, soit invoquer l’interdiction de discrimination pour des motifs religieux prévue notamment par la loi du 10 mai 2007 tendant à lutter contre certaines formes de discriminations. La liberté de manifestation de ses convictions religieuses est protégée par l’article 9 qui prévoit néanmoins une possibilité d’ingérence pour autant que celle-ci réponde à une triple condition cumulative. L’ingérence doit en effet pour être licite être prévue par la loi, poursuivre un objectif légitime et être nécessaire dans une société démocratique. La loi « anti-discrimination » du 10 mai 2007 prévoit que la distinction directe (traitement moins favorable d’une personne sur la base d’un critère protégé) ou indirecte (disposition apparemment neutre qui entraîne néanmoins un désavantage pour des personnes caractérisées par un des critères protégés par la loi) doit être justifiée pour ne pas être constitutive d’une discrimination. La différence entre le caractère direct ou indirect de la distinction est très utile car elle détermine les causes de justifications pouvant être invoquées. Il sera en effet beaucoup plus facile de justifier une distinction indirecte alors que la justification de la distinction directe sera admise plus difficilement. La religion est un des critères protégés par la loi et le travailleur s’estimant victime d’une discrimination sur la base de la religion pourra invoquer les dispositions protectrices de la loi du 10 mai 2007. Dans différentes décisions de jurisprudence belge, on peut relever de manière générale que les juges acceptent que le critère de la volonté de neutralité imposé par l’employeur justifie l’interdiction du port de signes religieux au travail. Il faut toutefois apporter deux nuances à cette affirmation. La première porte sur les apports de l’arrêt Eweida et autres c. Royaume-Uni qui reconnait une violation par le Royaume-Uni de son obligation positive de veiller à la protection de la liberté de manifester sa religion. Dans cette affaire, la Cour décide que l’employeur commet une ingérence en interdisant le port de la croix par Madame Eweida. Il convient toutefois de tenir compte de la particularité des faits caractérisant l’affaire. Remarquons néanmoins que, pour la première fois, la Cour semble accorder une plus grande place à la liberté de manifester sa religion et pratique un contrôle poussé des motifs invoqués par l’employeur. La seconde nuance concerne la question préjudicielle posée récemment par la Cour de Cassation à la Cour de justice de l’Union européenne pour préciser si l’interprétation selon laquelle l’interdiction de porter un voile sur le lieu de travail ne constitue pas une discrimination directe lorsque la règle existant chez l’employeur interdit à tous les travailleurs de porter sur le lieu du travail des signes extérieurs de convictions politiques, philosophiques et religieuses, est conforme à la directive 2000/78/CE. La réponse qui sera apportée par la Cour de justice pourrait orienter la jurisprudence future dans un sens différent de celui qu’elle avait adopté précédemment.
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Le monde du travail est actuellement en constante évolution. Certes, il existe toujours la frontière entre le travail salarié et le travail indépendant mais dans certains pays, nous pouvons voir apparaître une nouvelle catégorie intermédiaire en faveur des travailleurs indépendant économiquement dépendants. Le présent travail débutera par l’analyse du statut de ces travailleurs au sein de l’Union européenne. Nous verrons dans quelle mesure le législateur européen les prend en compte. Nous nous concentrerons, ensuite, sur la figure du travailleur économiquement dépendant en Belgique. Nous verrons que le Roi est intervenu et a étendu l’application du régime de sécurité sociale des travailleurs salariés à des personnes qui exécutent un travail selon des « modalités similaires » à celles d'un contrat de louage de travail. En outre, nous évoquerons la situation de l’Espagne. Ce pays est le premier à avoir adopté une législation conférant un statut spécifique aux travailleurs autonomes économiquement dépendants. Enfin, nous nous intéresserons à la législation française et aux éventuelles protections adoptées en faveur de ces travailleurs. Nous verrons que le débat sur les travailleurs indépendants économiquement dépendants est loin d’être terminé dans de nombreux pays. SAMENVATTING De wereld van het werk is op dit moment in volle gang. Er bestaat steeds een grens tussen de werknemer en de zelfstandige, maar in sommige landen, kunnen wij een tussencategorie bekijken voor de economische afhankelijke zelfstandigen. Dit werk zal met de analyse van de status van de werknemers binnen de Europese Unie beginnen. We zullen zien hoe de Europese wetgever er rekening mee houdt. Daarna zullen we ons concentreren op de economische afhankelijke werknemer in België. We zullen zien dat de Koning er tussengekomen is en heeft de sociale zekerheid van de werknemers uitgebreid aan de mensen die een werk uitvoeren volgens “gelijkaardige methodes” dan die van een contract van loonarbeid. Daarna zullen we de Spaanse situatie bespreken. Dit land is de eerste die de overdracht van de status die specifiek zijn voor economische afhankelijke zelfstandigen heeft vastgesteld. Ten slotte, zullen we ons richten naar de Franse wetgeving en de mogelijke bescherming aangenomen voor deze werknemers. We zullen zien dat het debat over economisch afhankelijke zelfstandigen in vele landen nog niet voorbij is.
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La notion de salaire, ou encore rémunération, est un terme usuel connu de tous. Cependant, cette notion recouvre des aspects bien plus techniques et complexes que ce qu'elle donne à penser. Cet écrit a donc pour objectif d'offrir une vision d'ensemble sur la mécanique mise en place derrière cette notion, avec une approche des éléments essentiels qui la composent, afin de mieux comprendre les différents engrenages et enjeux qui se cachent derrière ce mot « salaire ». Pour la première partie, trois pôles principaux se dessinent : la négociation salariale encore appelée concertation salariale, qui fixe notamment un revenu minimum mensuel moyen garanti, la norme salariale et l’indexation automatique des salaires. Ils feront chacun l'objet d'un approfondissement afin de voir en quoi ils consistent, de mieux les comprendre, de mettre en évidence ce qu’ils impliquent, mais surtout de voir comment chacun est mis en place. C’est pourquoi la concertation sociale, ou encore le dialogue social, sera envisagée. Un petit parcours historique sera présenté afin de comprendre l’organisation de cette concertation et de nommer les différents acteurs impliqués. Ensuite, ce sera au tour de la norme salariale d’entrer en scène. Elle sera analysée en partant de la loi du 26 juillet 1996 qui l’a créée. On verra pourquoi elle a été créée et quelle est son importance. Pour finir cette première partie, ce sera l’indexation automatique des salaires qui sera étudiée afin d’expliquer comment elle s’opère. On verra les aspects juridiques, évidemment, mais aussi un peu les enjeux économiques qu’elle implique. En effet, il est difficile de séparer les deux aspects étant donné qu’ils sont étroitement liés. Ce sera l’occasion d’envisager le saut d’index, mesure gouvernementale prise afin de limiter l’indexation automatique des salaires. La deuxième partie du travail est, quant à elle, consacrée à la conformité du système mis en place dans l’ordre juridique au regard du droit européen et international. Il est très difficile à l’heure actuelle de faire une bonne analyse juridique en se cantonnant exclusivement au droit interne. Ce serait nier la réalité et oublier que la Belgique est impliquée dans une construction qui la dépasse et dans laquelle elle a cédé une partie de ses prérogatives souveraines. La Belgique est soumise à des autorités qui lui sont supérieures et se doit de conformer son droit aux exigences du droit européen d’abord et du droit international ensuite. Ici aussi, des choix ont été faits, et on appréhendera la conformité du droit belge relatif à la formation des salaires par rapport aux prescrits de la Convention européenne des droits de l’homme, ensuite de la Charte sociale européenne et finalement de l’Organisation internationale du travail, instances incontournables en la matière.
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Dans le cadre de ce travail, il s’agira de mettre en évidence les caractéristiques de la sous-traitance en droit social, les abus possibles ainsi que les protections particulières mises en place en faveur des travailleurs. Le premier chapitre décrit en quoi la sous-traitance se distingue des autres formes de collaboration entre employeurs. Longtemps le système de sous-traitance n’a pas connu de régime juridique propre, ce qui a conduit à de nombreux abus de la part des employeurs au détriment des travailleurs, ces abus seront analysés dans un second temps. Après avoir défini les notions de fraude, nous nous pencherons sur la prise en compte du phénomène par le législateur et son évolution. Il s’agira enfin de décrire les régimes de la fausse sous-traitance ainsi que du système des faux indépendants lequel se voit opposé une possible requalification de la relation de travail sur la base d’une loi de 2012. Ensuite, nous nous pencherons sur les régimes créés par les législateurs, belges d’abord, européens ensuite, qui tentent de contrer ces abus, de protéger les travailleurs. Le premier des régimes est celui de la responsabilité solidaire pour le paiement de la rémunération des travailleurs. Il se peut que l’employeur sous-traitant ne paye pas ses employés. Dans ce cas, le législateur a prévu un système qui permet aux travailleurs de se faire payer par les employeurs situés au-dessus dans la hiérarchie de la chaîne de sous-traitance. Dans cette situation, le législateur belge a distingué deux possibilités. Une première, lorsqu’il s’agit d’employeurs belges ou européens qui n’engagent que des travailleurs ressortissants des pays membres de l’Union et un second régime spécifique qui s’applique uniquement en cas de ressortissants d’États tiers en séjour illégal en Belgique. Le second régime concerne la responsabilité solidaire des employeurs pour le paiement des cotisations sociales dues. Dans ce deuxième cas de figure, les prémisses sont les mêmes que pour le premier régime, les conséquences aussi. Les travailleurs se voient privés du régime de sécurité sociale auquel ils ont droit avec le statut de travailleur. Le troisième, et dernier, cas analysé concerne le détachement européen de travailleurs et la lutte contre le dumping social. En Europe, les pays n’ont pas tous le même système de sécurité sociale ou les mêmes minimas de rémunération obligatoires. Il existe encore des distorsions, parfois énormes, entre les pays. Certains employeurs préfèrent dans ces cas recourir à des travailleurs ressortissants de ces pays afin de bénéficier du régime applicable à eux et ainsi pouvoir offrir des services à moindre coût. Il s’en crée une situation de concurrence inégale, nommée dumping social, contre laquelle le législateur européen a tenté d’agir.
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Les sujets abordés dans ce numéro de fin d’année 2016 sont au nombre de cinq : le Tax shift et ses implications fiscales et parafiscales pour les employeurs et travailleurs, les pensions complémentaires, le congé-éducation payé, le nouveau paysage pour la formation en alternance régionalisée et les menaces et les attentats terroristes et leurs implications sur l’assurance-chômage.Les auteurs sont des praticiens de la matière : Nicolas TANCREDI, Gaël CHUFFART, Bertrand SIMONART, Marie-Lise POTTIER et Virginie GUTMER. Leurs contributions ont pour objet d’étudier les grandes actualités de l’année 2016, qu’elles soient législatives ou tendancielles. Ces « actualités sociales » permettent donc de résumer les grandes tendances de l’année écoulée, riche en modifications législatives et, malheureusement, en événements extérieurs, comme les attentats, qui ont également des répercussions sur le droit social.L’approche réalisée par les contributeurs est, comme pour chaque ouvrage de la collection, pratique. Le lecteur trouvera donc dans ce numéro de fin d’année, une première étude des nouveautés qui lui apportera la réponse aux questions qu’il se pose.
droit social --- tax shift --- terrorisme --- sociaal recht --- Social law. Labour law --- Belgium --- Social legislation --- Droit social --- Belgique
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A l’heure actuelle, les réseaux sociaux ont envahi notre quotidien. L’utilisation de ces nouveaux outils issus du web 2.0 ne cesse d’augmenter. Les entreprises elles-mêmes les ont intégrés dans leur stratégie, quel que soit le domaine (marketing, communication, ressources humaines, etc.). Les réseaux sociaux sont désormais omniprésents aussi bien dans notre sphère privée que dans notre sphère professionnelle. Cependant, ils ne sont pas non plus sans risque. En effet, les publications que nous diffusons sur les réseaux sociaux laissent des traces qui constituent notre identité numérique. Aujourd'hui, il est aisé de trouver des informations sur une personne juste en tapant son nom sur internet. De plus, les individus ont tendance à croire que, parce qu’ils y publient des informations personnelles, leurs publications sur les réseaux sociaux relèvent de leur vie privée. La plupart de ces utilisateurs 2.0 ne s’imaginent pas que ces informations puissent être vues par leur employeur. Dans ce cadre, nous nous sommes demandé si les employeurs consultaient les informations reprises sur les réseaux sociaux des salariés. Il est regrettable de constater qu’aucune étude, à notre connaissance, n’a été réalisée en la matière. Nous savons bien peu de choses sur le sujet si ce n’est les cas qui ont engendré un licenciement pour motif grave et qui ont donc joui d’une publicité dans la presse ou dans la jurisprudence. Nous allons, au travers d’une étude qualitative basée sur un échantillon de dix entreprises sélectionnées avec soin, tenter de répondre aux multiples questions que soulève cette problématique : les entreprises mettent-elles en œuvre une telle pratique ? Pourquoi ? Comment ? Qui s’en charge ? Et quelles sont les conséquences pour le travailleur ? Ensuite, cette pratique soulève également quelques questions d’ordre juridique. Il s’agit principalement de déterminer dans quelle mesure les employeurs peuvent consulter et utiliser les informations reprises sur les réseaux sociaux de leurs salariés sans enfreindre le droit au respect de la vie privée. En effet, diverses législations, tantôt générales, tantôt spécifiques, protègent le droit à la vie privée du travailleur. Nous découvrirons, au travers de cette recherche, que cette pratique est effectivement mise en œuvre dans la majorité des entreprises mais jamais de manière systématique. Nous verrons aussi que, dans la plupart des cas, l’employeur a le droit de les consulter et de les utiliser. Néanmoins, certaines nuances seront apportées au travers de la jurisprudence.
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Droit social --- Contrat de travail --- Règlement intérieur. --- Personnel --- Jours fériés. --- Horaires de travail. --- Droits.
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La présente contribution a pour objectif d’analyser l’impact qu’une situation de pauvreté peut avoir sur les droits de l’enfant. A cette fin, plusieurs étapes doivent être suivies. La première consiste en une analyse des notions de pauvreté, de précarité et de pauvreté infantile. La seconde s’attarde sur quatre droits de l’enfant : le droit à être entendu et écouté, le droit à l’éducation, le droit à la vie familiale et le droit aux soins de santé. La dernière étape analyse les différents services d’aide qui peuvent intervenir dans un contexte de pauvreté infantile. Le premier chapitre s’articule autour de trois points qu’il convient de distinguer : la pauvreté, la précarité et la pauvreté infantile. En effet, les notions de pauvreté et de précarité sont souvent confondues alors qu’elles emportent des définitions différentes. De plus, les enfants subissent la pauvreté, dans la majorité des cas, au travers de celle de leurs parents, ce qui les place dans une situation particulière qu’il faut analyser. Le second chapitre tend à analyser les quatre droits de l’enfant qui ont été choisis. A cette fin, l’analyse se subdivise en trois. Tout d’abord, je dresse un état des lieux sur le plan international : quelles sont les conventions qui protègent ce droit et quel est le contenu de la protection qu’elles dressent. Ensuite, le regard se porte sur le droit national belge pour apprécier l’implémentation de ces droits. Enfin, la troisième sous-section emporte une analyse de l’impact qu’a la pauvreté sur ces derniers. En effet, les impacts ne se limitent pas à une simple considération monétaire et sont bien plus nombreux qu’on peut l’imaginer à première vue. Le troisième chapitre se concentre sur les services d’aide intervenants dans une situation de pauvreté infantile. Ils sont au nombre de deux : le Centre publique d’action sociale et le Service d’aide à la jeunesse. A première vue, chacun a un champ d’application bien défini. Cependant, dans les faits, de nombreux problèmes existent et nous assistons bien souvent à une partie de ping-pong entre les deux. L’analyse tente de préciser les compétences de chacun d’entre-eux. De plus, tant pour le CPAS que pour le SAJ, la présente contribution avance des pistes de réflexion autour d’une amélioration de la situation actuelle. Ces solutions potentielles sont basées sur les remarques des acteurs du système mais aussi sur une réflexion personnelle.
Pauvreté --- droits de l'enfant --- Réforme Madrane --- CPAS --- SAJ --- Droit, criminologie & sciences politiques > Droit social
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La majorité des fusions-acquisitions n’atteignent pas les résultats escomptés. Ces échecs sont souvent causés par un manque de considération en ce qui concerne les aspects sociaux et organisationnels de ces transferts. L’objectif de ce travail est dès lors d’identifier les facteurs, sur le plan organisationnel et social, qui font des transferts conventionnels d’entreprise un succès ou un échec. Cette analyse doit, selon moi, forcément passer par une analyse du contexte tant légal qu’organisationnel, c'est-à-dire les éléments internes des entreprises concernées par le transfert. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi d’utiliser l’analyse contextualiste. La première partie de ce travail sera dédiée à la construction d’un modèle qui permettrait d’expliquer les performances post-transfert. Après avoir expliqué comment le cadre d’analyse contextualiste peut aider à l’analyse des transferts conventionnels d’entreprise, je vais premièrement développer les différents éléments ou variables susceptibles d’avoir une influence sur leur succès. Dans un deuxième temps, je chercherai les différents liens et interactions qui relient ces différentes variables et les traduirai en facteurs de succès pour les transferts conventionnels d’entreprise. Dans la deuxième partie, je chercherai à établir la validité de ce modèle en le confrontant à un cas pratique. Ce cas me permettra de vérifier si les différentes interactions prévues par le modèle se vérifient dans la réalité. Pour ce faire, j’analyserai le cas sur base des facteurs de succès préalablement identifiés.
Gestion des ressources humaines --- Transfert conventionnel d'entreprise --- Fusion-acquisition --- Droit social --- Sciences économiques & de gestion > Gestion des ressources humaines --- Sciences économiques & de gestion > Gestion de l'entreprise & théorie des organisations --- Droit, criminologie & sciences politiques > Droit social
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