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Cet essai met à l'épreuve l'hypothèse selon laquelle chacun appartient à deux ordres, celui de l'être et celui de la représentation. Pour tenter de caractériser le monde de la représentation, il analyse deux attitudes limites : le snobisme et le dandysme.
Self (Philosophy) --- Self-presentation --- Self-perception --- Moi (Philosophie) --- Présentation de soi --- Perception de soi
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Between Illusionism and Anti-Illusionism: Self-Reflexivity in the Chosen Novels of J. M. Coetzee takes as its premise J. M. Coetzee's distinction between "illusionism" and "anti-illusionism": the realist and the self-reflexive traditions in prose fiction. The aim of this critical study is to demonstrate that these two traditions are not opposed, but rather complementary to each other, and enrich the novel as a genre. Based on Marek Pawlicki's doctoral thesis, the book is a detailed analysis of Coetzee's oeuvre, paying particular attention to the impact of the writer's literary essays on his fiction. Insofar as it looks into the ways in which Coetzee's work as a critic has affected his novels, this book deals with the relation between fiction and literary criticism. Chapter One is an introduction into the topic of self-reflexivity. Chapters Two to Five, devoted to Dusklands, In the Heart of the Country, Age of Iron and Summertime, are concerned with the issue of subjectivity in confessional discourse and the boundary between fiction and autobiography. Chapters Six to Eight, concentrating on Foe, Slow Man, The Master of Petersburg, and Elizabeth Costello, offer insight into Coetzee's views on literary creation and the role of the writer in society. Between Illusionism and Anti-Illusionism also examines intertextual references in Coetzee's novels to the works of Tolstoy, Dostoevsky, Kafka and Beckett.
Perception de soi --- Dans la littérature. --- Coetzee, John Maxwell, --- Critique et interprétation
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Cette étude aborde les processus de développement identitaire et social durant l’adolescence en se focalisant sur les activités de loisirs. La plupart des auteurs différencient les activités de loisirs structurées des activités dites non structurées, pratiquées sans horaire ni règles de vie en collectivité. L’objectif de cette recherche était de dégager les bénéfices éventuels de la pratique d’activités structurées sur le développement identitaire et social des adolescents de niveau socio-économique défavorisés. Nous avons analysé les réponses de 20 adolescents de 15 à 18 ans lors d'un entretien semi-structuré portant sur les liens sociaux et les activités structurées qu’ils ont pratiquées ou non entre 10 et 15 ans. Ces informations sont complétées par les réponses des adolescents au test de Rorschach dont nous utiliserons les réponses et indices liés aux clusters perception de soi, affects et perception des relations. Nous n’avons pas pu dégager d'éléments significatifs confirmant notre hypothèse de départ. L’apport de cette étude au niveau des activités de loisirs tient de l’importance de la structuration par la vie en groupe, constituant une opportunité pour les adolescents de développer leurs habiletés sociales et de rencontrer une plus grande variété de pairs présentant des similitudes avec eux. Par ailleurs, cette étude a permis de dégager certaines attitudes des adolescents défavorisés vis-à-vis des activités de loisirs ainsi que des questions concernant le rôle des parents et des moniteurs dans la pratique des activités de loisirs ont pu être soulevées. Elle a permis de lancer une réflexion concernant l’utilisation du Rorschach dans le cadre d’une étude quantitative. Enfin, une perspective de recherche future pourrait être de réaliser étude exclusivement qualitative afin de recueillir le plus d’informations possibles concernant la pratique des activités de loisirs et les éventuelles interactions existant avec les caractéristiques des différents microsystèmes dans lesquels évoluent l’adolescent.
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Au moyen de récits où différentes situations se succèdent dans un ordre discret mais précis, M. Gribinski illustre le sentiment souvent exprimé chez le psychanalyste mais aussi ressenti dans d'autres situations de la vie : celui de ne pas vraiment avoir sa place, de n'être "à sa place" nulle part, d'être toujours plus ou moins à côté de soi, soit déplacé.
Identity (Psychology) --- Self-perception --- Self-presentation --- Identité (Psychologie) --- Perception de soi --- Présentation de soi --- Identité (Psychologie) --- Présentation de soi
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Plusieurs études se sont intéressées à la relation pouvant exister entre perspective visuelle en mémoire et concept de soi indépendant et interdépendant. Celles-ci ont majoritairement montré un lien entre concept de soi interdépendant et perspective de type observateur. A notre tour, nous avons étudié cette relation, à l’aide d’un questionnaire permettant d’évaluer le concept de soi indépendant et interdépendant (dans une première expérience) et par le biais d’une tâche d’amorçage (dans une seconde expérience). Nos résultats, loin de confirmer notre hypothèse de départ, basée sur la littérature, montrent au contraire un lien entre concept de soi indépendant et perspective à la troisième personne. Ceux-ci semblent dépendre de l’utilisation de souvenirs spécifiques lors des études précédentes, impliquant une conscience de soi élevée, qui semble avoir un effet différentiel en fonction de la culture. En effet, dans des cultures ayant une orientation sociale indépendante, la perspective visuelle en mémoire ne semble pas véritablement influencée par cette variable, tandis que dans des cultures ayant une orientation sociale interdépendante, une conscience de soi élevée mènera plus souvent à un rappel à la troisième personne, et une conscience de soi peu élevée mènera plus souvent à un rappel à la première personne. Ainsi, loin d’être aussi univoque que postulé par le passé, la relation entre perspective visuelle en mémoire et concept de soi indépendant ou interdépendant serait modulée par une troisième variable : le fait d’être ou non au centre de l’attention sociale. Les implications pour la recherche sont diverses, dans le sens où l’utilisation d’un rappel relativement libre a mené à une récupération se situant proportionnellement plus à la troisième personne pour les sujets indépendants. Dès lors, il sera nécessaire, dans le futur, de déterminer si la relation existant entre orientation sociale interdépendante et perspective de type observateur est aussi généralisable que ce que l’on aurait pu croire au vu de la littérature.
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Le trouble bipolaire, jadis appelé maniaco-dépression, a fait l’objet d’un intérêt grandissant au fil des années. Ce dernier, étant caractérisé par des oscillations pathologiques de l’humeur, entraine une instabilité tant au niveau des comportements, des pensées et des émotions. Ainsi, cette recherche s’est penchée sur la stabilité identitaire, l’estime de soi et les souvenirs définissant le soi. Dans les thérapies cognitivo-comportementales, l’estime de soi est considérée comme un facteur de maintien d’un trouble. De ce fait, l’estime de soi est une cible idéale dans une thérapie. L’intérêt accordé aux souvenirs définissant le soi repose sur le fait que ces derniers sont intimement liés à l’identité. De plus, cette notion est relativement récente et jusqu’à présent très peu d’études l’ont investiguée dans le trouble bipolaire. Cette étude a, donc, poursuivi un double objectif. Les résultats principaux de cette étude sont que premièrement, les sujets bipolaires ont une identité moins stable d’une part et d’autre part moins claire que celle des sujets sains. Deuxièmement, l’estime de soi des sujets bipolaires est plus faible que celle des sujets sains alors que l’estime de soi implicite est comparable dans les deux populations. De plus, cette recherche a montré que l’estime de soi explicite est liée de façon significative à la clarté du concept de soi. Troisièmement, en ce qui concerne les souvenirs définissant le soi, cette recherche s’est focalisée sur certaines caractéristiques, jusqu’à présent, très peu étudiées dans le trouble bipolaire. Ainsi, nous avons trouvé que ces souvenirs contiennent moins de sens chez les sujets bipolaires que ceux des sujets sains. De plus et de façon générale, les souvenirs définissant le soi contenant un sens sont d’une part associés à des émotions actuelles positives et d’autre part ont tendance à générer une rédemption positive. Ces résultats sont particulièrement intéressants en termes d’objectifs thérapeutiques.
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Ces études abordent l'affirmation de soi et l'interrogation sur soi dans la poésie au cours de l'histoire : Homere, Pindare, Theocrite, Ovide, Stace, Marullo, Pontano, Campano, Jean Second, Rilke ou encore les poètes de la première partie du XXe siècle sont évoques. Ouvrage issu d'un colloque international organisé à l'Université Paris-Sorbonne en 2009.
Self-perception in literature --- Poets in literature --- Poetry --- Perception de soi dans la littérature --- Poètes dans la littérature --- Poésie --- Themes, motives --- History and criticism --- Thèmes, motifs --- Histoire et critique --- Perception de soi dans la litterature --- Poetes dans la litterature --- Poesie --- Themes, motifs --- Perception de soi dans la littérature --- Poètes dans la littérature --- Poésie --- Thèmes, motifs
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European literature --- Authors --- Self-perception in authors --- Littérature européenne --- Ecrivains --- Perception de soi chez l'écrivain --- History and criticism. --- Psychology --- Histoire et critique --- Psychologie
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Geek, otaku, nolife sont de nouveaux signifiants qui circulent librement dans nos sociétés et qui intéressent, intriguent et parfois inquiètent. Alors que le DSM trie, classe, catégorise, alors que les laboratoires pharmaceutiques inventent de nouveaux mots pour vendre leurs nouvelles molécules, les adolescents, eux, créent leurs propres signifiants afin de se trouver une place et se faire un nom dans notre société. Société qui véhicule un paradoxe qui n’est pas sans faire écho au processus adolescentaire. Avec l’internet, les réseaux sociaux, la téléphonie moderne, notre société prône une culture de la communication qui, dans le même mouvement, appareille chaque être parlant à son objet high-tech dans une certaine course solitaire à l’objet. Cette césure entre communication et solitude est également ce avec quoi l’adolescent a à se débrouiller. Comment être avec les autres tout en restant soi-même ? Comment communiquer sans pour autant se perdre dans l’Autre ? Et cette question vaut au niveau du désir, de la culture, du signifiant, mais aussi au niveau de la pulsion. Ainsi, nous tâcherons de comprendre comment la nomination peut venir faire lien social et en même temps, par l’objet, permettre au corps de jouir de lui-même. Cette étude tente de comprendre l’usage que font ces jeunes de leur auto-nomination dans ce moment si particulier qu’est l’adolescence.
Adolescents --- Imaginaire (psychanalyse) --- Perception de soi --- Auto-évaluation --- Geeks --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie sociale, industrielle & organisationnelle --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Les patients survivant à un coma peuvent évoluer vers différents états cliniques, selon leur niveau de conscience d’eux-mêmes et de l’environnement. L’apparition de la conscience est donc importante à détecter, et un des premiers signes de conscience observés est la poursuite visuelle (Giacino et al., 2002). Il a précédemment été montré que le miroir était le stimulus le plus efficace pour déclencher la poursuite visuelle, par rapport à une personne ou un objet (Vanhaudenhuyse, Schnakers, Brédart, & Laureys, 2008). Cette supériorité du miroir est confirmée par la première étude rétrospective présentée dans ce travail. Les cliniciens reportant un sentiment de facilité sur l’axe horizontal par rapport au vertical, une deuxième étude rétrospective compare directement ces deux axes, et adresse la question de l’utilité de l’évaluation de l’axe vertical. Les données montrent que l’axe horizontal est plus efficace que l’axe vertical, mais que ce dernier ne peut cependant pas être abandonné. Le miroir se révèle un stimulus particulièrement efficace pour détecter la poursuite visuelle, mais la raison de cette supériorité n’est pas claire. La première étude rétrospective montre que le miroir est plus efficace qu’une photo du patient et qu’une photo d’un visage familier. Cela ne conforte pas l’hypothèse autoréférentielle, mais d’autres tests sont nécessaires pour l’infirmer définitivement. La seconde étude compare le miroir à une photo du patient et une surface qui présente tous les aspects physiques du miroir (brillance et dynamisme) mais dans laquelle on ne peut se reconnaître. Une tendance s’observe : seuls le miroir et la photo du patient se distingueraient, indiquant que les propriétés physiques du miroir seraient responsables de sa supériorité. De futures études sont nécessaires pour confirmer cette hypothèse avec des résultats statistiques solides.
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