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ULiège (6)


Resource type

dissertation (6)


Language

French (6)


Year
From To Submit

2013 (6)

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Dissertation
Etude du développement phonologique de l’enfant francophone : émergence et variabilité des consonnes
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

La littérature actuelle manque de données concernant le développement phonologique en langue française. Par ailleurs, peu d’études se sont penchées sur la variabilité phonologique selon le contexte. Dans l’objectif de répondre à ces manques, une batterie d’évaluation composée de plusieurs épreuves phonologiques est développée à partir d’une tâche de dénomination d’images élaborée par MacLeod, Sutton, Trudeau & Thordardottir (2011). Quatre effets de contexte sont pris en compte : une tâche de production spontanée, une tâche de dénomination, une tâche de répétition de mots isolés et une tâche de répétition de phrases. Les mêmes mots sont testés dans chacune de ces tâches de manière à évaluer leur variabilité selon le contexte. La tâche de dénomination d’images est l’épreuve de base reprise pour étudier spécifiquement l’émergence des consonnes. L’évolution de la précision phonologique au cours du développement est finement mesurée à l’aide de trois types d’indices : pourcentage de mots corrects, pourcentage de consonnes correctes et proportion of whole-word proximity (PWP). La batterie est administrée à des enfants âgés de 30 à 53 mois. Chez les enfants plus jeunes, aucun effet du contexte ne s’avère significatif. En revanche, les résultats montrent un effet du contexte sur la variabilité des productions des enfants de 48-53 mois. La tâche de répétition de phrases est la moins bien réussie.


Dissertation
« Limarrote » ou « Limarotte » ? Les mystères de l’apprentissage orthographique. Étude des facteurs contribuant à la création et au maintien à long terme de nouvelles représentations orthographiques.
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Dans le cadre de notre étude, nous avons exploré les facteurs cognitifs intervenant dans l’apprentissage orthographique de nouvelles représentations orthographiques chez les adultes normo-lecteurs. Alors que de nombreuses études convergent sur l’idée que les traitements phonologiques sont indispensables à l’acquisition de nouvelles représentations orthographiques, notamment par l’auto-apprentissage chez les enfants, les données issues des recherches explorant ces facteurs indiquent que d’autres facteurs cognitifs, en plus des habiletés de traitement phonologique, interviennent. Dans les études développementales, les habiletés de traitement orthographique figurent parmi les facteurs expliquant une part supplémentaire de la variance dans l’apprentissage orthographique. Nous avons donc émis l’hypothèse que les habiletés de traitement orthographique pouvaient être définies par les capacités de rétention de l’ordre sériel des informations en mémoire à court terme, et les capacités d’intégration de ces informations en mémoire à long terme, et pouvaient ainsi expliquer une part spécifique et indépendante de la variance dans les performances lors de l’évaluation de l’apprentissage orthographique. Conformément à nos attentes, nous avons observé un lien entre les habiletés phonologiques, dont le recodage phonologique, et l’apprentissage orthographique. Cependant, concernant notre hypothèse sur le potentiel rôle de la rétention de l’ordre sériel à court et long terme dans l’apprentissage de nouvelles représentations orthographiques, aucun résultat significatif n’a été obtenu. Toutefois, nous avons pu observer une part explicative des capacités orthographiques générales dans l’apprentissage orthographique, et celle-ci est moins importante que celle expliquée par les habiletés phonologiques.


Dissertation
Etude sur la stabilité des productions phonologiques chez des enfants francophones entre 30 et 53 mois
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Le projet de ce mémoire est d’apporter des données francophones sur le développement phonologique d’enfants tout-venant. A l’instar de l’étude menée par MacLeod, Sutton, Trudeau et Thordardottir (2011) sur l’acquisition des consonnes d’enfants québécois francophones, notre recherche tente d’amener un apport dans le domaine de la stabilité des phonèmes consonantiques chez les enfants entre 30 et 53 mois. Pour cela, une tâche de dénomination de 65 items a été créée. Elle représente l’ensemble des consonnes du répertoire phonétique de la langue française dans les différentes positions au sein de la structure syllabique du mot. Ce test a été administré à trois reprises à 153 enfants francophones. Par la suite, les données récoltées et encodées ont été analysées pour les tranches d’âges 30-35 mois et 48-53 mois. Les tests statistiques ont été réalisés à l’aide de trois indices : le Pourcentage de Mots Correctement produits, le Pourcentage de Consonnes Correctes et le Whole-Word Proximity, afin d’étudier la stabilité entre les trois tests de la tâche ainsi qu’entre les deux groupes d’enfants. Les résultats de l’étude ont permis de mettre en évidence une stabilité de productions phonologiques chez les plus jeunes enfants comme chez les plus âgés. De plus, une différence de performances a été montrée entre les enfants de 30-35 mois et ceux de 48-53 mois au niveau des trois indices étudiés. Cet effet atteste de l’évolution du développement phonologique des enfants avec l’âge. La stabilité montrée dans les deux groupes d’âges converge avec les recherches de la littérature montrant cette même consistance des productions phonologiques. Cette donnée apporte une contribution intéressante dans le domaine clinique.


Dissertation
Comparaison de l’efficacité d’une part, d’un entraînement à la conscience phonologique, et, d’autre part, d’activités de stimulation lexicale sur les premiers apprentissages du langage écrit chez des enfants dont le français n’est pas la langue maternelle
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

A l’heure actuelle, nombreuses sont les études qui défendent l’idée selon laquelle il existe des liens étroits entre l’apprentissage du langage écrit et la conscience phonologique. Gombert (1990) va même jusqu’à affirmer que l’enfant doit être cognitivement prêt à la maîtrise métaphonologique pour apprendre à lire. Cependant, des études plus récentes ont montré que d’autres compétences linguistiques comme les compétences lexico-sémantiques contribuent également à la maîtrise de la langue écrite. Dans ce contexte, l’intérêt de ce mémoire a été de comparer l’efficacité de deux entraînements collectifs, l’un à la conscience phonologique, l’autre à la stimulation lexicale, sur les premiers apprentissages du langage écrit, chez des enfants n’ayant pas le français pour langue maternelle. Le premier entraînement avait pour objectif de développer la manipulation consciente des unités linguistiques du français. Le second entraînement, quant à lui, visait à développer la compréhension lexicale en développant d’une part le stock des mots compris et produits et d’autre part, en affinant les représentations lexico-sémantiques. Les résultats de cette étude ont montré que le groupe entraîné à la conscience phonologique a obtenu des performances significativement supérieures à celles obtenues par le groupe entraîné à la stimulation lexicale pour les habilités de décodage, tant en lecture qu’en orthographe. En revanche, concernant le lexique actif, c’est le groupe entraîné à la stimulation lexicale qui a obtenu les meilleurs résultats. Ces données ont confirmé nos hypothèses de départ quant au fait que les deux facettes de la lecture, à savoir le décodage et la compréhension peuvent être entraînées et donc améliorées. En accord avec les données de la littérature, nous avons montré que l’entraînement à la conscience phonologique, associé à la connaissance des règles de correspondances lettres/sons exerce un impact positif sur l’acquisition du langage écrit.


Dissertation
Effets de l’entraînement à la conscience phonologique sur les premières acquisitions du langage écrit chez des enfants issus de l’immigration
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Nombreuses sont les études à avoir mis en évidence l’importance des habiletés phonologiques dans l’apprentissage du langage écrit. Un enfant présentant un faible niveau de conscience phonologique sera susceptible de devenir un mauvais lecteur. Par ailleurs, un déficit phonologique a été mis en évidence dans la dyslexie développementale (Sprenger-Charolles & Colé, 2006). En effectuant un travail sur ce facteur cognitif qui sous-tend spécifiquement l’apprentissage de la lecture (en association avec d’autres facteurs), les enfants qui connaissent des difficultés peuvent s’améliorer. Notre démarche consistait à étudier l’impact de ce travail sur les compétences en langage écrit auprès d’enfants ne parlant pas le français à la maison. Quarante-deux enfants, garçons et filles, scolarisés en troisième maternelle ont été recrutés. Ces enfants ont été répartis en deux groupes, l'un entraîné aux mathématiques composé de dix-huit sujets (originalement 20) et l'autre, entraîné à la conscience phonologique de dix-neuf sujets (originalement 22). Les entraînements se sont déroulés en petits groupes, deux fois par semaine à raison de trente minutes pendant six semaines, soit douze séances. Suite à l'entraînement, les données ont été recueillies auprès des deux groupes par des tests évaluant les habiletés métaphonologiques et leurs compétences en lecture et écriture. Les analyses statistiques ont mis en évidence une différence significative entre le groupe entraîné et le groupe contrôle au niveau des performances en conscience phonologique. Cependant, il n’y a pas eu de différence observée entre ces deux groupes concernant les compétences en lecture et écriture, contrairement aux hypothèses de départ. Mots-clés : Conscience phonologique, Entraînement, Statut socio-économique, Décodage


Dissertation
Vocabulaire et Lecture chez les enfants issus de l’immigration de L1 minoritaire scolarisés en français L2
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Nous nous sommes intéressés au développement du vocabulaire et des capacités de lecture chez les enfants issus de l’immigration de langue maternelle minoritaire, scolarisés en français L2. Nous nous sommes appuyés sur l’étude de Goldberg, Paradis & Crago (2008) qui ont suivi dix-neuf enfants issus de l’immigration, de langues maternelles minoritaires et scolarisés en anglais L2 dès la 1ère maternelle. Ces enfants avaient acquis en trente-quatre mois de scolarité un niveau lexical équivalent à celui de leurs pairs monolingues anglophones de même âge et de même niveau scolaire. En nous appuyant sur ces données notre étude a consisté, dans un premier temps, à déterminer si des enfants bilingues séquentiels (issus de l’immigration), de langue maternelle minoritaire et confrontés au français L2, uniquement dans le cadre scolaire, acquièrent un niveau de vocabulaire équivalent aux natifs monolingues de même âge et de même niveau scolaire après 34 mois de confrontation à la L2. Dans un second temps, nous avons observé la relation entre le niveau de vocabulaire en français et le niveau de lecture chez ces enfants bilingues issus de l’immigration. Nos résultats mettent en évidence que 34 mois de scolarisation en français L2 ne suffisent pas aux enfants de L1 minoritaire à acquérir un niveau de vocabulaire équivalent à celui de leurs pairs monolingues. Même après 60 mois de scolarisation en français, leur niveau de vocabulaire reste inférieur à celui de leurs pairs monolingues. Nous avons fait le même constat concernant les capacités de lecture. Nos analyses mettent en évidence que le faible niveau de vocabulaire est étroitement lié aux capacités de lecture limitées des participants bilingues de notre étude.

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