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In de masterproef wordt het begrip mission statement verder onderzocht. Er werd een organisatie gezocht die wenste deel te nemen aan het onderzoek. Bij het OCMW-Gent werd de perceptie en kennis van het personeel over het mission statement van hun organisatie onderzocht aan de hand van enquêtes bij twintig personeelsleden. De medewerkers wisten niet echt wat er in de missie en waarden stond, maar onbewust gedroegen ze zich wel naar de missie en waarden. Het OCMW-Gent kan haar missie en waarden wel beter communiceren naar het personeel toe.
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In dieser Arbeit präsentiert Avelino Bassols eine kontextuelle Untersuchung zu Missionsverständnis und Missionspraxis in einem extrem abgelegenen Ort in Nordkenia, in dem er seit 24 Jahren tätig ist. Die Untersuchung der Missionspraxis ordnet er in den allgemeinen missionswissenschaftlichen Diskurs der Kir-che ein, mit einem Überblick der missionstheoretischen Reflexion seit dem Mittelalter. Ziel dieser Untersuchung ist es, eine mögliche Missionsdefinition und Missionsmethode für die pastorale Tätigkeit der Kirche in abgelegenen Gebieten auszuarbeiten. Dazu beruft sich der Autor auf die Missionsgeschichte, indem er einige Beispiele aus der Geschichte herauskristallisiert, sowie auf neue Tendenzen innerhalb der gegenwärtigen afrikanischen Theologie. Die gesamte Arbeit ist von dem Realismus durchgedrungen, den eine 24-jährige Tätigkeit in extremen Wüsten- und Halbwüstengebieten, Gebieten erster Evangelisierung, verursacht.
Konvertierung --- Missionierung --- Ostafrika --- Nariokotome Mission.
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Colonie --- Cinéma --- Sources --- Mission catholique --- Congo belge
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Le film est consacré à l'enseignement dispensé aux filles, dans les milieux ruraux et urbains.Le premier plan se fixe sur les activités des femmes dans un village. Une voix métallique (ou dynamique) de femme commente le destin que ces images sont supposées annoncer. La répétition inlassable des mêmes gestes. Le commentaire souligne que le destin des nouvelles générations sera transformé grâce à l'éducation apportée par la colonisation : 'heureusement la cloche a sonné'.On retrouve les principes éducatifs à l’œuvre dans la société européenne à la même époque, le cadre disciplinaire et autoritaire de l'enseignement. Il en va de même pour le contenu des savoirs dispensés aux jeunes filles qui apprennent à devenir une bonne ménagère.La présentation de la maison modèle structure les activités de la «future femme de brousse», autrement dit la «femme de brousse du futur»: entretenir le foyer, préparer la cuisine, faire les courses. Celles-ci nécessitent une formation spéciale qui leur est dispensée à l'école. Dans une salle de classe, les jeunes filles jouent au marché, puis elles préparent le repas. En tablier rose, elles opèrent sous le regard attentif de la maîtresse. Le commentaire précise que les filles mangent sur une nappe. Le ton avec lequel est formulée cette remarque souligne qu'il s'agit là d'un exploit.La spécificité de ce film est le cadre de présentation qui postule un mode de vie «primitif» que l'éducation et le savoir permettront d'enrayer. En brousse les jeunes filles apprennent à gérer un potager, à préparer les repas, à entretenir la volaille, à coudre, à respecter les règles d'hygiène et la puériculture. En ville, à l'École du Sacré-Cœur d'Élisabethville, l'enseignement est davantage axé sur l'apprentissage pratique de la ménagère mais également sur l'apprentissage général réservé aux enfants des «évolués» (géométrie, français, botanique). Le commentaire souligne qu'il est comparable à celui que reçoivent les Européens.Par la femme congolaise, dit le commentaire, 's'achèvera l'avènement du monde congolais à la civilisation et au progrès'
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Femme --- Enseignement --- Mission religieuse --- Congo belge
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Pentecostal churches have grown over the last century but only a limited amount has been written about their ecclesiology. Much of the existing work focuses on congregational models and contemporary practice. This book argues the need for a pentecostal systematic approach to ecclesiology. Utilising the method of Amos Yong a pentecostal ecclesiology based on a network church structure is developed. Systematic issues of catholicity are addressed through mission insights on partnership, and a hospitable approach to contextualisation is developed. This book, therefore, suggests new ways forward in pentecostal studies and ecclesiology.
Church. --- Mission of the church. --- Missions --- Pentecostal churches --- Theory. --- Doctrines.
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""A narrative of the restoration of the mission church at Acoma Pueblo and the process behind it, in which New Mexico's most famous architect, John Gaw Meem, played a major role"--Provided by publisher"-- " Built by Spanish Franciscan missionaries in the seventeenth century, the magnificent mission church at Acoma Pueblo in west-central New Mexico is the oldest and largest intact adobe structure in North America. But in the 1920's, in danger of becoming a ruin, the building was restored in a cooperative effort among Acoma Pueblo, which owned the structure, and other interested parties. Kate Wingert-Playdon's narrative of the restoration and the process behind it is the only detailed account of this milestone example of historic preservation, in which New Mexico's most famous architect, John Gaw Meem, played a major role. "--
Spanish mission buildings --- Adobe churches --- Mission buildings, Spanish --- Missions --- Building, Adobe --- Church buildings --- Conservation and restoration --- Meem, John Gaw, --- Meem, John, --- San Estevan del Rey Mission Church (Acoma, N.M.) --- San Esteban Mission (Acoma, N.M.) --- San Esteban de Acoma (Acoma, N.M.) --- San Pedro Mission (Acoma, N.M.) --- San Esteban del Rey Mission (Acoma, N.M.) --- San Esteban del Rey Church (Acoma, N.M.) --- San Estevan Rey Mission (Acoma, N.M.) --- San Estevan Mission (Acoma, N.M.) --- Mission of Old Acoma (Acoma, N.M.) --- Mission of San Estevan (Acoma, N.M.) --- San Esteban Rey (Acoma, N.M.) --- Mission San Estevan Rey (Acoma, N.M.) --- San Esteban del Rey Church and Convento (Acoma, N.M.) --- San Estevan Mission at Acoma Pueblo (Acoma, N.M.) --- San Estévan (Acoma, N.M.) --- Mission of the Pueblo of Ácoma (Acoma, N.M.) --- Acoma Mission (Acoma, N.M.) --- San Estévan del Rey Mission (Acoma, N.M.) --- San José de Acoma (Acoma, N.M.)
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Ce court métrage documentaire présente la vie quotidienne dans un couvent dominicain «au cœur de la forêt d'Afrique». Il se déroule chronologiquement du réveil des frères au son de cloche jusqu'au soir. Une douce musique donne un ton particulièrement chaleureux et convivial au sujet traité. La journée commence par la toilette, le commentaire du film décrit et nomme les différents attributs vestimentaires des «frères». Puis, il évoque les différentes occupations des jeunes prêtres qui sont, tour à tour, fermiers, menuisiers, maçons, charpentiers, mécaniciens ou tailleurs. Toutes ces activités répondent aux besoins de la communauté, où «le travail ne manque pas». La formation des candidats au sacerdoce dure sept années au cours desquelles ils se forment à la théologie et à la philosophie. Le film présente ensuite une séquence de repas communautaire, qui se passe en silence. La lecture d'un frère rythme le moment de « recueillement et de partage». Les images montrent ensuite les loisirs au cours desquels les prêtres peuvent laisser place à leurs «préférences individuelles», en jouant au volley-ball ou en faisant de la musique, en s'adonnant aussi à l'étude ou aux activités qui leur permettent de reprendre contact avec la nature.Le ton du film est fidèle au sujet qu'il traite. Ainsi, la conclusion du documentaire souligne la morale générale du couvent: «La modestie de chacun souligne la grandeur de la tâche commune».Il faut remarquer que ce film de commande s'attache à faire l'éloge du couvent et de la vie religieuse. Il semble que ce contexte particulier déjoue les hiérarchies raciales qui caractérisent souvent le système colonial. Subsumé par la foi chrétienne, Blancs, Noirs, riches et pauvres semblent vivre dans les mêmes conditions: tel est du moins le discours qui transparaît
Colonie --- Sources --- Formation --- Mission religieuse --- Rapport intercommunautaire --- Sacerdoce --- Loisir --- Congo belge --- Belgique --- Viadana
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Documentaire sur les jardins de Kisantu, œuvre du missionnaire Justin Gillet. Arrivé au Congo en 1893, il y consacra sa vie à la création d'un jardin botanique, d'un jardin potager et d'un jardin expérimental jusqu'à son décès en 1943. Il introduisit au Congo de nombreuses semences et espèces: bambous géants, teck, plantes aquatiques, orchidées, anthurium, gingembre, mangoustanier, noyer brésilien. Il y fonda également une école d'agriculture. En 1951, dans le prolongement de son travail, fût créée la Coopérative des agriculteurs de Kisantu. De très nombreuses variétés de légumes y étaient cultivées. Destinée à ravitailler les centres extra-coutumiers des villes, de la farine de manioc était en outre produite par la Coopérative. Les grands centres urbains étaient approvisionnés par ce biais également. Ce film a été réalisé dans le cadre de l'Exposition Internationale de Bruxelles en 1958, à la demande de l'Institut national pour l'Étude agronomique au Congo belge (INEAC) qui souhaite, par ce biais, montrer l'étendue et la variété des ses activités sur le terrain
Colonie --- Sources --- Agriculture --- Enseignement --- Flore --- Mission religieuse --- Congo belge --- Belgique --- Kisantu
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« On médit parfois de l'action des Européens dans les territoires d'outre-mer. Elle a pourtant de forts bons côtés»: ainsi débute le commentaire de ce reportage, prononcé par le directeur du F.B.I. (Fonds du bien-être indigène) qui établit les bases du message véhiculé par le documentaire. En effet, précise la voix off, la présence blanche en Afrique a permis d'apporter à des «groupes humains restés il y a peu à l'âge de fer ou de bronze», l'hygiène et le confort matériel. De nombreuses villes modernes, ainsi que de puissantes industries et plantations ont été érigées au Congo grâce à leur présence. Ce discours constitue le leitmotiv du reportage.Le Fonds du bien-être indigène a été créé en 1947 et œuvre à «rendre la vie des villageois plus facile, plus saine et plus rémunératrice». Sur base d'images illustrant ses propos, la voix off va donner «un vrai aperçu de quelques-uns des problèmes qui se posent et des solutions qui y sont apportées». En matière d'hygiène, d'abord, des religieuses ont été équipées d'un dispensaire roulant leur permettant d'aller à la rencontre des groupes de Pygmées vivant dans la forêt équatoriale. Elles leur apportent du sel, du lait en poudre et des soins médicaux divers. De plus, le Fonds œuvre également à combattre la mortalité infantile et à apporter des soins adéquats aux nourrissons dans tout le pays. Des cours de ménage sont également mis à la disposition des Congolaises. Ces images sont montrées sur un fond de musique africaine rythmée par des tam-tams et des chants. Mais lorsque le commentaire affirme: « Les filles de la brousse ont désormais le désir de s'habiller décemment», alors le fond sonore change du tout au tout, des tam-tams africains à Mozart. Le F.B.I. a également entrepris des changements en matière d'aménagement sanitaire, et plus particulièrement de la gestion de l'eau. Des progrès ont été faits dans le domaine de la pisciculture. Plus de 22 000 puits et sources ont été aménagés par le Fonds. Les Congolais sont montrés en pleine activité (travail manuel, lessive, nettoyage), ils apparaissent heureux et souriants. En plus de l'aide apportée aux hommes, le F.B.I. s'investit également dans le soin apporté aux animaux. Des stations d'élevage ont été mises sur pieds et ont pour but de dresser les bovidés afin de les vendre à des agriculteurs congolais par la suite.Le reportage s'achève sur une fête montrant un village africain fêtant l'acquisition de nouveaux bétails. Ils dansent et chantent, tandis que la voix off déclare : 'A cette joie de la nouvelle acquisition, se mêle, on peut le dire sans exagération, un sentiment de reconnaissance envers une institution dont le Noir a pu apprécier les tangibles bienfaits. Au rythme prenant de ces grands xylophones, la brousse et ses habitants chantent la joie de vivre'
Colonie --- Agriculture --- Dispensaire --- Éducation --- Élevage --- Hygiène --- Oeuvre sociale --- Santé --- Mission religieuse --- Vie rurale --- Congo belge --- Belgique
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Ce documentaire est consacré à la vie quotidienne d'une communauté de religieuses congolaises. L'action se déroule à la maison de formation des sœurs dominicaines de Sainte-Catherine-de-Sienne, au bord de l'Uele, congrégation fondée en 1941 et qui compte une cinquantaine de membres. Pendant que l'image montre les sœurs qui vaquent aux tâches quotidiennes (nourrir les poules, couper des fleurs, cultiver les champs, puiser de l'eau, faire la lessive, repasser et coudre, dactylographier, aller au marché et préparer le repas traditionnel), une voix off commente l'atmosphère de paix et de sérénité dans laquelle la vie monacale permet de s'épanouir. Outre la prière et les activités quotidiennes liées à la communauté religieuse, les sœurs s'adonnent également à des activités sociales: plusieurs d'entre elles enseignent dans des écoles maternelles et primaires, tandis que d'autres accompagnent et soutiennent les mères villageoises des environs en leur donnant des conseils pratiques sur l'éducation et le ménage
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Activité sociale --- Enseignement --- Femme --- Mission religieuse --- Vie quotidienne --- Congo belge --- Uele
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