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2012 (11)

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Film
La Ferme Droogmans (le C.S.K.)
Author:
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Le C.S.K. (Comité Spécial du Katanga), créé par Léopold II en 1900, possédait des droits souverains dans la région et soutenait les initiatives qui visaient à son développement économique par la mise en valeur des terres. Ce film en met deux particulièrement en évidence. Parmi celles-ci, la Ferme Droogmans, du nom du président de la C.S.K. Hubert Droogmans, était un projet expérimental destiné à améliorer l’alimentation de la population blanche et noire d’Elisabethville alors en plein essor. Le documentaire se concentre sur certaines des activités de la ferme (labour, élevage, laiterie) avant de se tourner vers la Mission américaine de Bibangu, où un poste médical dirigé par le Dr Kellersberger qui y avait formé des infirmiers noirs pour le seconder dans diverses tâches (ponction lombaires, analyses microscopiques, injections intraveineuses). Le cinéaste filme les malades hospitalisés à la mission er les suit dans leur quotidien, ainsi qu’au marché de la mission. En guise de conclusion, Genval insiste sur l’œuvre du C.S.K. « dans toutes les branches de l’activités coloniales ». Le film est probablement incomplet, sans une première partie absente. Il est ainsi répertorié sous le titre La Ferme Droogmans


Film
Aspects de la colonisation européenne au Katanga
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Pour encourager la colonisation européenne, le Comité Spécial du Katanga (C.S.K.) organisa très tôt des missions d'études visant à déterminer les conditions les plus favorables au développement du colonat dans la région. Dès 1921, l'arboretum d'Elisabethville faisait des recommandations en matières d'espèces végétales propices ou non à la culture, et étudiait celles susceptibles d'être néfastes ou toxiques pour le bétail élevé. Les vétérinaires du C.S.K. s'occupaient de la lutte contre les maladies menaçant ce dernier, et des vaccins étaient mis au point dans les laboratoires dans ce but. Grâce à la ferme expérimentale Hubert-Droogmans, de précieuses indications étaient également révélées concernant l'élevage des vaches, porcs et chevaux. La laiterie mécanique du C.S.K., à laquelle la plupart des fermiers vendaient leur production laitière, la main d’œuvre autochtone se chargeait d'assurer la transformation en produits finis de qualité (lait contrôlé, beurre et fromages divers). Ceux-ci étaient ensuite livrés à domicile, tous les matins. D'après ce film, le lait frais, et ses dérivés, constituaient d'ailleurs la "base de la colonisation du Katanga". Ce film est probablement aussi connu sous le titre La Colonisation blanche au Katanga.


Film
Le Katanga industriel

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Abstract

Le film présente en détail les différentes étapes de production des gisements katangais. Il commence par une description de paysages hétéroclites : savane, rivière, chutes d’eau, termitières géantes. Le premier minerai présenté dans le film est l’étain. Les images sont intéressantes d’un point de vue esthétique car elles donnent un aspect étrange, organique à ces minerais. Les étapes de traitement sont toutes évoquées en détail : les mines à ciel ouvert sont créées par des explosions. Le minerai est déposé sur des transporteurs à courroies et passe dans des broyeurs. Après lavage, le minerai est ensuite placé dans les fours électriques pour obtenir du métal.Les étapes d’exploitation du cuivre sont présentées avec la même minutie, de même que l’usine d’électrolyse qui effectue le traitement des minerais oxydés provenant des mines de l’ouest.Cette exploitation minière est évoquée dans le cadre colonial, il s’agit donc de rappeler au public les changements occasionnés par celle-ci. C’est à ce niveau qu’intervient le discours de propagande, les « indigènes » profitant des bénéfices générés par l’exploitation minière dans toute une série d’activités calquées sur les normes fixées par les pays industrialisés occidentaux. C’est dans ce contexte que se développent l’infrastructure du pays, les activités liées à l’éducation et aux sports ainsi que des services sociaux récents comme la cantine destinée aux ouvriers et ouvrières des usines


Film
Cuivre

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Abstract

Gérard De Boe a traité à plusieurs reprises de la puissance industrielle du Congo belge. Dans ce cas-ci, c’est à la production de cuivre qu’il se consacre. Détaillant les différents processus possibles pour extraire le minerai, ce reportage commandité par l’Union minière du Haut-Katanga pour célébrer le cinquantenaire de la naissance de la société, met surtout en évidence les gigantesques moyens utilisés. La voix off introduit le reportage en donnant un bref historique des expéditions menées au Congo léopoldien à la fin du XIXe siècle. Les commentaires se font sur des images de cartes géographiques de l’Afrique illustrant une partie des propos. C’est à cette époque que, lors d’une expédition visant à affirmer la présence belge au Katanga, le géologue Jules Cornet y décèle l’existence de gigantesques et riches gisements cuprifères. L’extraction et l’acheminement de ce précieux métal vers les côtes se sont avérés peu aisés mais le film rend hommage aux Belges qui sont parvenus à venir à bout des contraintes. La caméra nous transporte ensuite vers la mine à ciel ouvert de Kolwezi, puis vers celle de Ruwe. Des machines impressionnantes – symbole par excellence de la puissance industrielle – travaillent sans relâche sur le site, extrayant la terre et la transportant vers l’usine. La musique illustre les mouvements de ces monstres mécaniques, alternant leur course entre affolement et tranquillité. De longues séquences expliquent alors avec détails les différentes et nombreuses étapes (extraction, concassage, classification, classification, flottaison, cuisson, etc.) qui transforment le minerai en lingots, avant de passer à celles consacrées aux mines en sous-sol. Les conditions de travail y sont nettement plus dures qu’à ciel ouvert, les hommes étant contraints à remplacer manuellement les imposantes machines qui se déploient en surface. Le dernier plan met en image d’impressionnantes piles de lingots de cuivre qui attendent d’être acheminées vers l’Europe. La voix off précise que si, aujourd’hui, les gisements du Katanga représentent 7% de la production mondiale de cuivre, c’est grâce à 'l’énergie et à l’esprit de nos compatriotes qui ont donné le meilleur de leurs forces au Katanga et au Congo belge'

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Cuivre --- Mine --- Main d'oeuvre --- Technique --- Congo belge --- Belgique --- Katanga


Film
Cheminots du Congo
Authors: --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Jean Boulanger a été envoyé au Congo en 1958, année de l'Exposition Internationale en Belgique, afin de tourner une série de films sur les équipements industriels modernes du Congo et la place des Congolais dans l'économie du pays. Ce film, tourné à l'initiative du groupe «Formation Professionnelle», appartient à la série de ceux qui présentent ce type d'enseignement comme le meilleur gage de l'intégration économique des Congolais dans le monde du travail.Traitant uniquement de la formation dispensée par la Compagnie du chemin de fer du Bas-Congo (B.C.K.), le documentaire illustre l'utilisation massive de Congolais dans la société qui existe depuis 1916. Le commentaire insiste sur la pérennisation de cette politique qui emploie la main d’œuvre autochtone depuis sa création, notamment des mécaniciens. Cinquante ans plus tard, quelques 15 000 Congolais y travaillent dans les divers métiers que requiert l'aménagement du chemin de fer (artisans en construction métallique, électrique et du bois). Il met aussi en évidence qu'afin de réaliser le rêve des Congolais de conduire des trains, la B.C.K. a «cru de son devoir et de son intérêt de guider le jeune Noir dans cette voie». Pour ce faire, elle a mis en place un long cycle de formation à l'issue duquel les meilleurs éléments renforceront les membres déjà en place. Le documentaire met alors longuement en scène des Congolais intervenant à divers stades au sein du processus de fabrication du train et des voies de chemin de fer. Ces derniers sont montrés comme consciencieux et heureux du travail qu'ils accomplissent


Film
Cuivre
Authors: --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Ce documentaire, tout à la gloire de l'activité de l'Union Minière du Haut-Katanga, retrace avec force et brio l'essor de cette société dans le domaine de l'exploitation minière et de ses activités sociales dans cette région du pays qui, il y a trente ans, était "presque une tache blanche sur la carte". Grâce à l'action des Belges découvreurs de gisements cuprifères et stanniques, ces produits sont mis en valeur grâce à des réseaux de transports leur permettant d'être évacués vers l'extérieur. Le premier chapitre du film est ainsi consacré aux activités du groupe UMHK et retrace brièvement l'historique de la prospection minière, de l'installation de l'Union Minière dans la région et son développement. Après cette introduction, les étapes de la production industrielle du cuivre sont passées en revue, en même temps qu'est abordé le fonctionnement de plusieurs usines et mines (Kipushi, Lubumbashi, Shituru). La seconde partie du film concerne plus spécifiquement la main d'œuvre congolaise qui travaillait à l'époque dans le secteur minier au Katanga. Les principaux thèmes traités sont les soins de santé, l'hébergement, l'alimentation et la rétribution des ouvriers (salaire, maisonnettes, rations supplémentaires pour les employés mariés), les maternités et l'organisation de l'enseignement primaire pour les enfants. Assez contrastée, la vie bourgeoise des agents blancs est ensuite mise en évidence (villes, clubs et salles de fête, sports, magasins, écoles, etc.), les agents "bénéficiant de toutes les facilités de la vie moderne". En guise de conclusion, le commentaire récapitule l'ensemble des réalisations entreprises par l'Union Minière en trente ans d'activité au Katanga, illustré par un montage d'images tirées du film


Film
Panorama Star of the Congo copper mines
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Ce film est également identifié sous le titre français Cœur d’Afrique, mine de l’Etoile. Muet et anonyme, il constitue l’un des plus anciens films coloniaux existant encore à ce jour. Restauré et sauvegardé dans le cadre du cinquantenaire de l’Union Minière du Haut Katanga, en 1956, il constitue donc une archive exceptionnelle. Il est témoin visuel et privilégié et élogieux de l’exploitation minière et de l’industrie mécanisée au Katanga à cette époque. Des cartons rédigés en anglais indiquent les différentes étapes de ce reportage : vue panoramique de la mine de l’Etoile, fournissant un aperçu des conditions d’exploitation de cette période ; ouvriers munis de pioches remplissant de minerai des wagonnets ; machine Ingerstoll forant la dolomite afin d’y introduire de la dynamite ; grandes pelleteuses Bucyrus à vapeur creusant le sol et déversant la terre dans des wagons tractés par un câble épais jusqu’à l’usine ; bennes déplacées au moyen de câbles Bleichert et vidées dans des fours gigantesques ; refroidissement de la matière en fusion par douche d’eau froide ; hôpital pour Blancs et travailleurs locaux et le quartier des travailleurs ; pont sur la rivière Lubumbashi ; côté Nord : vers Kambove et le fleuve Congo ; à Kambove – où le travail s’opère manuellement, contrairement à l’Etoile – le transport de matières se fait aussi par wagonnets ; à Kambove, découverte d’une ancienne fonderie locale. Ce reportage industriel vise donc à fournir un panorama technique et humain global sur le travail minier dans la région, sans parti pris annoncé. Il filme uniquement la situation à titre informatif ; il aurait pu être tourné de la même façon dans n’importe quelle région minière durant le début du XXe siècle, tout en étant un éloge non dissimulé pour l’art de la mécanisation à la chaîne

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Cuivre --- Industrie --- Main d'œuvre --- Mine --- Santé --- Technique --- Transport --- Congo belge --- Belgique --- Katanga --- Lubumbashi --- Kambove


Film
Luapula-Moëro
Authors: --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Le Luapula est l'affluent du fleuve Congo qui prend sa source le plus au sud, sur les hauts plateaux du Katanga, aux environs de Kabunda. Ses eaux délimitent la frontière entre le Congo et la Rhodésie du Nord.Égrenant des paysages très variés selon l'endroit, le fleuve est longé par la caméra qui fixe ses éléments les plus remarquables. Ainsi, après les rapides de Johnston, les eaux deviennent plus paisibles, rendant la navigation possible. Cette zone peu boisée « met en valeur l'immensité des deux», le commentaire osant un parallélisme avec les paysages de Flandres, clin d’œil aux origines du cinéaste. Ses rives, calmes d'apparence, sont très poissonneuses et infestées de crocodiles. En remontant vers le nord, jusqu'aux falaises de Kasanga, le paysage change une fois encore. La rivière déborde bientôt de son lit et se transforme peu à peu en un gigantesque lac: le lac Moero.Le film se concentre alors sur la pêche lacustre. Grâce aux intenses activités artisanales et industrielles, les populations clairsemées de la région se sont regroupées dans des grands centres urbains en expansion qui se développent autour d'elles. La pêche dans le Moero est intense, qu'elle soit pratiquée selon les méthodes traditionnelles ou modernes. Les nasses sont relevées deux fois par jour tandis que les baleinières ne rentrent au port qu'une fois leurs cales remplies par les principales espèces du lac: tilapia, poisson tigre et silure. Une fois nettoyés, ceux-ci sont étalés sur des claies puis séchés et fumés dans des fours. Des milliers de tonnes de poissons en provenance du Moero sont chaque année fournies aux grandes agglomérations du Katanga


Film
Katanga, pays du cuivre

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Abstract

Il s’agit d’un film commandité par l’Union minière du Haut-Katanga à l’occasion du cinquantenaire de sa fondation. Il s’attache donc à montrer, dans une perspective historique, la manière dont la société a instauré un nouveau mode de production et comment elle s’inscrit à son tour dans l’histoire du patrimoine industriel de la région, transformant le travail local et régional des « prospecteurs primitifs » et des fondeurs de cuivre en une activité économique rentable tournée vers l’industrialisation. De cette manière, les images se fixent d’abord au cœur de la savane où se dressent les termitières, exemples singuliers de la possibilité de modifier un environnement par le travail assidu des insectes. De manière anachronique également, les habitants « anciens » de la contrée exercent leur savoir-faire sur le cuivre, le battant, le filant, le coulant avant de l’échanger contre monnaie sonnante et trébuchante. Ces prémisses ont pour but de montrer au spectateur les « miracles » des minerais découverts dans le sous-sol katangais sous le couvert d’une modernité technique et technologique qui se déploie dans toute sa splendeur. Toutes les étapes d’extraction et de traitement du cuivre et du cobalt sont présentées en détails pour confirmer ce discours apologétique que renforcent des vues aériennes montrant l’immensité des carrières à ciel ouvert et les cités qui, à la manière des termitières, émergent de « nulle part » en un temps record.De la mine « Prince-Léopold », les travailleurs extraient du sol la malachite tandis que celle de Musonoï, exploitation à ciel ouvert, on extirpe le cobalt contenu dans le cuivre selon un traitement poussé. Les images insistent sur la mécanisation de pointe qui s’y emploie, les puissantes machines, renforcées par une musique cadencée, faisant allusion à des monstres d’acier.Les travailleurs européens (2000) et africains (21 000 ; 80 000 familles comprises) vivent dans des logements qui leur sont fournis par la Société : luxueux pour les uns, sommaires pour les autres. Le commentaire décrit d’ailleurs l’attitude paternaliste à l’égard de ces derniers qui disposent d’infrastructures sociales (écoles, hôpitaux, orphelinats, etc.).De nombreuses images sont issues du corpus de films industriels réalisés par le cinéaste dans cette région depuis des années. Replacées dans un contexte déterminé, ici l’anniversaire de cette puissante société, fleuron et ventouse de la région, elles sont agencées de manière à justifier l’exploitation minière dans le contexte colonial et à faire passer cette entreprise pour un miracle


Film
Étonnante Afrique

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Abstract

Le film est conçu comme une véritable fresque épique et historique qui tend à démontrer la transformation radicale des environnements naturels et humains du Katanga et du Kasai grâce à la pénétration européenne et à la modernité qu’elle véhicule. En retraçant les différentes expéditions qui ont contribué à la découverte de ces territoires quasi « vierges » et d’accès difficile, la fondation de l’Etat Indépendant du Congo en 1885 permet de former et de consolider les frontières du nouvel Etat. Sur base de témoignages des premiers arrivants belges (Le Marinel, Delcommune, Stairs, Bia et Francqui) qu’il cite longuement, le commentaire sous-entend que cette découverte, par ces derniers, de la terre, des hommes et des éléments de ces régions arides, a ouvert ce monde secret et étrange à la civilisation et au progrès. Ainsi, celle du cuivre apporte la renaissance au Katanga où ce métal est déjà connu et travaillé par la confrérie des fondeurs de cuivre et utilisé dans le commerce ou dans l’artisanat. Retournant sans cesse à la pénétration occidentale dans ces régions, leitmotiv de cette première partie du film, l’aspect visionnaire de ces explorateurs est mis en avant pour argumenter le fait que l’exploitation des richesses congolaises n’est pas due à une volonté politique préalablement organisée mais plutôt le fait d’un hasard calculé et ressenti sur place. En montrant de lentes séquences de trombes de pionniers belges, le commentaire met également en exergue le fait que ces expéditions n’étaient pas dénuées de risques et que le décès de nombreux jeunes hommes qui on « sacrifié » leur vie pour « la civilisation » est une preuve flagrante des objectifs louables qui nourrissaient leurs actions sur le terrain. D’autant plus que celles-ci apportaient la pacification auprès de populations « cruelles », bien qu’elles le fussent à cause d’un « passé précaire et sanglant». Les Blancs ont dû gagner leur confiance, après que leur arrivée ait provoqué le vide et la fuite. Mais ce passé est révolu et le présent est tourné vers un autre monde : les jalons une fois posés, l’industrialisation est alors en marche, grâce aux transports (chemins de fer, ports, automobiles, avions). Ainsi, des «véhicules nouveaux» sont conduits par des «hommes nouveaux», trait d’union entre des populations anciennement divisées. Aujourd’hui, les hommes affluent de toutes parts pour mener une «vie meilleure » dans ces régions « neuves ». Sur l’exemple de la famille Kalombo, le cinéaste présente alors le phénomène de l’émigration vers le Katanga : nouvel emploi, nouveau logement, nouveaux amis et nouveaux couples se forment. Les familles se réunissent, sur fond d’extraction et de traitement de métal précieux, pour former les générations de demain : un enfant nait, argument pour présenter les actions relatives à la prévoyance enfantine et aux stades de l’éducation des garçons et des filles, destinés à devenir, à leur tour, les modèles des générations futures

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